Fondateur de l'abbaye de Lorsch Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
On sait seulement qu'Ingonde et Aregonde était soeurs. On ne sait pas si leur père était un esclave affranchi ou un homme libre d'humble condition. Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
La reine Arégonde fut enterrée à Saint-Denis. L'archéologue Michel Fleury découvrit sa tombe en 1959 ; l'examen minutieux de son contenu révéla la richesse de l'orfévrerie mérovingienne : la finesse de son exécution incite à nuancer le jugement porté sur une époque réputée "barbare" à tous points de vue. Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
Saint-Denis |
Named after the Thuringian people who occupied it around 300 AD, Thuringia came under Frankish domination in the 6th century, forming a part (from 1130 a landgravate) of the subsequent Holy Roman Empire. Source : http://en.wikipedia.org/wiki/Thuringia#History Bisinus, Basinus, Besinus, or Bisin (Lombardic: Pisen) was the king of the Thuringii (fl. c. 460 â According to Gregory of Tours, he supplied refuge from Childeric I, the Frankish king who was exiled by his own people. His wife, Basina, left him for Childeric and the two returned to Tournai together, after eight years. The historical Bisinus bears some resemblance to the Bisinus of Gregory, but the details are different. Bisinus was the leader of a Thuringian confederation on the Rhine and his wife was a Lombard named Menia. He left three sons, Baderic, Herminafred, and Berthachar, who inherited the throne from him. His daughter Radegund married the Lombard king Wacho. Source : http://en.wikipedia.org/wiki/Bisinus |
Seize quartiers par Jacques Saillot, in "Les 16 quartiers des reines et impératrices françaises", p. 15). Basina was queen of Thuringia in the middle of the fifth century. She left her husband king Bisinus and went to Roman Gaul. She herself took the initiative to ask for the hand of Childeric I, king of the Franks, and married him. For as she herself said, "I want to have the most powerful man in the world, even if I have to cross the ocean for him". This remark of her may have been related to Childeric's successful invasion of the Roman Empire and his attempt to settle a Frankish kingdom on Roman soil. Basina's name is probably Low Franconian for 'female boss'. She is the mother of the man who is remembered as the founder of the Frankish realm and modern France. She (not her husband Childeric) named her son Chlodovech, but he is better remembered under his Latinized name Clovis I. The simple fact that Chlodovech's name comes from Basina is remarkable since it was a common practice for the Franks to name a son after a member of the family of the male-line of ancestors. Through the ages historians have been intrigued by the story of Basina since she obviously acted as a player and not as bystander â Source : http://en.wikipedia.org/wiki/Basina%2C_Queen_of_Thuringia |
Berthaire roi des Thuringiens partageait son pouvoir avec ses frères Badéric et Herménefroid. Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
Faite prisonnière dans son enfance par les Francs lors de leur expédition de 531 en Thuringe, la princesse est élevée dans la villa royale d'Athie, en Vermandois. Le roi Clotaire l'épouse en 538. L'un de ses frères ayant été mis à mort, Radegonde se retire de la cour, vers 555, pour aller vivre dans son domaine de Saix, en Poitou. (MR d'après Robert Favreau (dir.), La vie de sainte Radegonde , 1995) Elle fonda en 561 le monastère de Sainte-Croix, à Poitiers. Elle s'y retirera quelques années plus tard. Elle a été canonisée à la fin du Moyen-Age. Sur le site du diocèse de Poitiers, elle est indiquée comme étant née en 518 à Erfurt. Biographie (source: diocèse de Poitiers). Radegonde née vers 518, fille du roi de Thuringe, Berthaire, sa famille fut massacrée en 531 par un fils de Clovis, Clotaire, qui la fit prisonnière, alors qu'elle n'avait guère plus de 12 ans. Elle fut emmenée comme captive à la villa royale d'Athies, où elle reçut une bonne éducation. En 538, Clotaire devenu veuf décide d'épouser Radegonde à Vitry en Artois. Elle s'enfuit, mais rattrapée, le mariage a lieu à Soissons. Très pieuse, elle se consacra à accueillir les pauvres, soigner les malades, consoler les affligés, elle fut une reine aimée de ses sujets. Radegonde avait un frère plus jeune qui partageait sa captivité. Il fut assassiné sur l'ordre de Clotaire, pour haute trahison, il était soupçonné d'entretenir des relations trop étroites avec Constantinople. A partir de ce moment la reine Radegonde refusa la vie commune avec Clotaire. Depuis longtemps attirée par une vie de prière et d'austérité, elle rechercha refuge auprès de Saint Médard, évêque de Noyon, et lui demande de lui donner l'habit religieux ; devant son hésitation elle le menace : " Si tu tardes à me consacrer et que tu craignes un homme plus que Dieu, le Pasteur te demandera compte de l'âme de ta brebis ". Elle obtint de se retirer à Poitiers où elle fonda, entre 552 et 557, un monastère qui allait prendre, plus tard, le nom de Sainte-Croix, lorsqu'elle recevra de l'empereur de Byzance une relique de la vraie Croix ; c'est à l'occasion de l'arrivée de cette relique de la Croix que le poète Saint Fortunat compose le Vexilla Regis et le Pange Lingua. Par humilité, elle refusa d'assumer officiellement la direction du monastère. Sur sa proposition, la communauté élit comme Abbesse Agnès, et Radegonde se soumit à son autorité. Craignant pour le devenir du monastère, elle va chercher à Arles la Règle rédigée par saint Césaire (qui restera en vigueur dans les abbayes de femmes pendant deux siècles, jusqu'à ce que celle de saint Benoît la supplante), elle obtient également la signature de sept évêques, dont Germain de Paris, pour garantir ce que l'on appellera plus tard l'exemption de son monastère. Bien qu'ayant renoncé à toutes les richesses, à toutes les facilités de la vie et à son titre de reine pour ne s'attacher qu'au Christ, elle continuait à intervenir, de l'intérieur du monastère, auprès des princes qui se déchiraient, pour arrêter ou éviter les conflits. Même retirée du monde, Radegonde garda une grande autorité dans tout le royaume jusqu'à la fin de sa vie. Elle meurt en 587 à Poitiers, l'église Sainte Radegonde abrite son tombeau. Radegonde fut l'amie du poète latin Venance Fortunat qui rédigea l'histoire de sa vie. |
Eglise Sainte Radegonde |
Lignage Adhémar de Monteil, page 7 : http://racineshistoire.free.fr/LGN/PDF/Adhemar-de-Monteil.pdf |
Religieuse de Port-Royal |
Lignage Adhémar de Monteil, page 7 : http://racineshistoire.free.fr/LGN/PDF/Adhemar-de-Monteil.pdf |
Religieuse à Port-Royal |
Il avait fait la conquête de la seigneurie de Lombers. Simon de MONTFORT, comte de Toulouse, la lui donna en fief. Source : BOISGELIN (Marquis de) - Les Adhémar - Généalogie - Vol 1 (1900) - Page 47 |
Les Adhémar - Généalogie - Vol 1 (1900) - Page 47 |
En premières noces pour la future Source : Coston, Histoire de Montélimar, I, 125 |
Mariée en 1435 avec Jean de La JUGIE, fils de Guillaume de La JUGIE de Puydeval (Né vers 1345) et de Catherine de MORNAY (Né vers 1355), mariés vers 1370 Source : Denis de RAUGLAUDRE |
Mariée vers 1420 avec Gausserand de MARSAN Source : Denis de RAUGLAUDRE |
Mariée avec Jean CARLES |
Descendance : - Jean BESIAT ca 1718 - Pierre BESIAT 1729 - Marie BESIADE 1732 - Catin BESIAT 1733-1740 - Catherine BESIADE 1736 - Jean-Pierre BESIAT 1738 Source : Michel DELMON |
2255595 - 529 |
Parrain : MALET Michel, ne signe pas Marraine : CHOCOL Antoinette, ne signe pas |
Cultivateur |
2255595 - 1240 |
28 pluviôse an III Acte de publication de promesse de mariage en date du 20 pluviôse an III, affiché le même jour à la porte de la maison commune à Orcival. Les époux sont cousins germains. Témoins : - GRATADEIX Michel (50 ans, cultivateur à Rouchaube) - ORIOL Michel (32 ans, cultivateur à Douharesse) - MINGAT Jean (43 ans, meunier à Orcival) - ROUCHON Jean (37 ans, tisserand à Orcival) |
mère de la future |
père de la future |
père du futur |
2255596 - 331 |
Déclarants : - MINGAT Jean (61 ans, meunier à Orcival), ne signe pas - ROUCHON Jean (51 ans, tisserand à Orcival), ne signe pas |
2255595 - 557 |
Présents : - MALLET François, ne signe pas - GRATADEIX Pierre, ne signe pas - TIXIER François, ne signe pas - CHOCOL Aymard, ne signe pas |
2255595 - 306-2 |
Parrain : TIXIER Joseph, ne signe pas Marraine : FAURE Antoinette, ne signe pas |
2255595 - 515-1 |
L'époux est majeur. Présents : - ROUEL Pierre, ne signe pas - ROUEL Etienne, ne signe pas - TIXIER François, ne signe pas - TIXIER Joseph, ne signe pas |
Sur son acte de mariage en date du 9 février 1803, elle est dite née le 16 juin 1776 Chez Chocol / Rochefort-Montagne. |
2255595 - 552 |
Parrain: MALET Louis, ne signe pas Marraine : TIXIER Antoinette, ne signe pas |
Cultivateur |
2255596 - 459 |
Déclarant : - CEYSSAT Claude (54 ans, cultivateur à Douharesse), voisin de la défunte, ne signe pas. |
époux de la défunte |
2255595 - 1286 |
20 pluviôse an XI Publications du mariage faites à Orcival et Rochefort-Montagne. Témoins : - ORIOL Michel (45 ans, cultivateur à Douharesse), cousin du futur, ne signe pas - TIXIER François (35 ans, cultivateur Chez Chocol / Rochefort-Montagne), cousin de la future, ne signe pas - MINGARD Jean (45 ans, meunier à Orcival), beau-frère de la future, ne signe pas |
cousin du futur |
2255595 - 283-2 |
Parrain : COUDER François, ne signe pas Marraine : FOURNIER Catherine, ne signe pas |
2255595 - 480-1 |
Parrain : TIXIER François, ne signe pas Marraine : CHOCOL Antoinette, ne signe pas |
Cultivateur |
Au 16 février 1795, il est dit habitant d'Orcival depuis plusieurs années |
Cultivateur |
2255595 - 1240 |
28 pluviôse an III Acte de publication de promesse de mariage en date du 20 pluviôse an III, affiché le même jour à la porte de la maison commune à Orcival. Les époux sont cousins germains. Témoins : - GRATADEIX Michel (50 ans, cultivateur à Rouchaube) - ORIOL Michel (32 ans, cultivateur à Douharesse) - MINGAT Jean (43 ans, meunier à Orcival) - ROUCHON Jean (37 ans, tisserand à Orcival) |
mère de la future |
père de la future |
père du futur |
2255595 - 576 |
Parrain : VANDANGE François, ne signe pas Marraine : MALLET Michelle, ne signe pas |
Témoins : - MONIER Girard (beau frère du futur, 42 ans, cultivateur à La Gratade) - ESBELIN Michel (frère de la future, 34 ans) - TARAVANT Jean (cousin de la future, 50 ans, cultivateur à Geolaire) |
2255595 - 329-1 |
Parrain : TIXIER François, ne signe pas Marraine : CHOCO Jeanne, ne signe pas |
Cultivateur |
Après le 9/2/1803 |
Laboureur |
2255595 - 515-1 |
L'épouse est majeure. Présents : - MORGE Michel, ne signe pas - MALHOT Joseph, ne signe pas - MALLET Louis, ne signe pas - MALLET Michel, ne signe pas |
2255595 - 274-1 |
Parrain : TIXER Jacques, ne signe pas Marraine : CHOQUO Jeanne, ne signe pas |
Laboureur |
2255595 - 516 |
Parrain : VANDANGE Jean, ne signe pas Marraine : MALLET Marie, ne signe pas |
2255595 - 567 |
Parrain : VENDANGE François, ne signe pas Marraine : MORGE Jeanne, ne signe pas |
Cultivateur |
Laboureur |
Témoins : - MORANGES Marin - MORANGES Jean - MORGE Jean - MORGE Pierre |
2255595 - 521-1 |
Parrain : TIXIER Joseph, ne signe pas Marraine : CARIAT Anne, ne signe pas |
2255595 - 666 |
A l'âge de 9 jours. Présents : - TIXIER Joseph, ne signe pas - TIXIER François, ne signe pas |
Ces pages ont été fabriquées avec le logiciel Oxy-Gen version 1.38j, le 03/01/2015. Vous pouvez le télécharger sur ce site.