DECES: Le 12/8/1740 à Rochefort à l'âge de 60 ans, époux de Catherine DUGAT |
2255596 - 328 |
Déclarants : - GRATADEIX Pierre dit Gorge (66 ans, cultivateur à Moleide), ne signe pas - GRATADEIX Pierre (80 ans, cultivateur à Moleide), ne signe pas |
2255595 - 491 |
Présents : - GRATADEIX Claude, ne signe pas - GRATADEIX Pierre, ne signe pas - QUINSAT Jean, ne signe pas - QUINSAT Louis, ne signe pas |
Mariée en 1484 avec Jean de PRÉVINQUIÈRES, fils de Jean IV de PRÉVINQUIÈRES (Décédé en 1484) et de Catherine de La PANOUSE Source : Denis de RAUGLAUDRE |
MARIAGE: Marié en 1504 avec Marquise d'ESTAING (dont 1 fils mort jeune), fille de Louis Ier d'ESTAING (Baron d'Estaing , Seigneur de Murols) et de Marguerite de COMBORN, mariés en 1489 Source : GIL Jean-Michel |
Mariée en 1576 avec Claude de NOGARET, fils de Guion de NOGARET et de Françoise de GOZON (née vers 1520), mariés vers 1550 Source : Jean-Michel GIL |
Lestang sur la commune de Goutrens (12) Source : Jean-Louis DEGA - 8/5/2007 - http://fr.groups.yahoo.com/group/genealogie_albigeois/message/3401 |
Mariée vers 1490 avec Jacques de MONTAMAT (Échanson du duc de Nemours. Né vers 1443), fils de Jean de MONTAMAT et de Marguerite de BÉNAVENT Mariée avec Rigaud de PESTELS (Seigneur de Pestels), fils de Guy de PESTELS (Seigneur de Pestels) et de Blanche d'APCHIER Source : Denis de RAUGLAUDRE |
Décédé avant 1481 selon Denis de RAUGLAUDRE |
Vers 1523 selon http://c.barret3.free.fr/mem/boudou/jean_boudou.htm |
Dame Gabrielle DESPAGNE d'après AD12 60J3 (ttt1598 de Marguerite de MORLHON sa fille) Source : Michel MANILEVE - http://fr.groups.yahoo.com/group/genealogie_albigeois/message/3336 Fille de Bernard de MURAT et Julie de LAFON-FINAYROLS Sources : - DE BARRAU H. - Documents historiques et généalogiques sur les familles et les hommes remarquables du Rouergue dans les temps anciens et modernes - Tome I, page 637 - NAVELLE André - Familles nobles.. du midi Toulousain - 1992 - Volume VII, page 273 Fille de Jean de MURAT et Gabrielle d'ESPAGNE Source : VASSEUR E. - Les Nobles aïeux de trois seigneurs rouergats du 17ème siècle - Edition 2002 (3e) La généalogie donnée par l'ouvrage de M. Eugène VASSEUR rectifie l'ascendance donnée par l'ouvrage de M. de BARRAU Hippolyte sur la base des sources suivantes : - généalogie de la famille d'Espagne par André NAVELLE, dont les sources sont principalement les registres notariaux et les registres paroissiaux de la Haute-Garonne et les archives du Parlement de Toulouse - "Généalogie de la maison de MURAT de LESTANG", par M. le Mis de Murat, avec la collaboration de M. le Vte Dugon (ouvrage épuisé) - divers documents d'archives originaux consultés aux AD12 par M. Thierry PELAT, directeur de publication du bulletin du CGR Source : Jean-Louis DEGA - http://fr.groups.yahoo.com/group/genealogie_albigeois/message/3337 et http://fr.groups.yahoo.com/group/genealogie_albigeois/message/3342 Non mariée 2 fois car sa soeur également prénommée Gabrielle (née vers 1509) se celle mariée en 1527 à Jean de LA VALETTE (Seigneur de Parisot, Gramond, Pradines). Source : http://c.barret3.free.fr/mem/boudou/jean_boudou.htm |
Tome I, page 637 |
Entre 1516 et 1517 selon http://c.barret3.free.fr/mem/boudou/jean_boudou.htm |
Tome I, page 380 |
Jean-Louis DEGA - 11/3/2007 - http://fr.groups.yahoo.com/group/genealogie_albigeois/message/3352 |
Réf. AD 12 : 21 J 275 Reconnaissance féodale à Germain de MURAT, seigneur de Lestang et de Monteils, absent; Gabrielle d'ESPAGNE veuve de Jean de MURAT sa mère faisant pour lui. |
Marié avec Marguerite de CORN, fille de Déodat de CORN (Seigneur de Sonnac. Décédé après 1479) et de Anne GARNIEURE (Née vers 1420) Source : Denis de RAUGLAUDRE |
Avant le 26 février 1538 selon Jean-Louis DEGA - http://fr.groups.yahoo.com/group/genealogie_albigeois/message/3352 Entre 1510 et 1516 selon http://c.barret3.free.fr/mem/boudou/jean_boudou.htm |
D'azur, à 3 fasces d'argent, crénelées, maçonnées de sable, la 1re de 5 créneaux, la 2e de 4, la 3e de 3, cette dernière ouverte de sable. Source : Denis de RAUGLAUDRE |
Vers 1500 selon http://c.barret3.free.fr/mem/boudou/jean_boudou.htm |
Mariée vers 1485 avec Jean de La ROQUE de Grun Source : Denis de RAUGLAUDRE |
Page 26 |
Page 26 |
Tome I, page 306 |
BIOGRAPHIE: Seigneur de la Bastide-Teulat Source : GIL Jean-Michel |
Marié avec Ne Benoit 975, dont : - Rodolphe +1008 - Gilbert ca 1005-/1060 Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
Notes relatives à la famille De MUROL : - Guillaume De MUROL, de bonne et solide noblesse auvergnate, a joui d'une longévité assez exceptionnelle : né vers 1350, il mourut en 1440. Son grand-père était déjà seigneur de Murol. Son père, Amblard, mourut en 1383. L'un de ses oncles fut cardinal de l'antipape Clément VII. Sa mère, Randone De PANHAC, était elle aussi de famille noble. Il avait un frère cadet, Amblard, licencié en décret, qui mourut doyen du chapitre de Brioude en 1427, et une soeur, Jeanne, qui se maria dans la noblesse locale. Lui-même se maria deux fois, à des filles nobles. De son premier mariage, il eut un fils, Jean (1386-1458), qui devint à son tour seigneur de Murol, et de son second mariage naquirent 6 enfants : 3 moururent en bas âge; sur les 3 survivants, les 2 filles épousèrent des gentilshommes de bonne lignée, et le fils hérita de l'oncle le chanoine. Nous sommes manifestement en présence d'un lignage bien implanté et bien apprenté. Un indice de prospérité est fourni par les 5 000 livres auxquelles se monta la dot de sa seconde épouse. Autre signe : il devint chevalier, à une époque et dans une région où le titre était déjà assez rare. Même s'il suivit un peu les guerres de son temps, même s'il se déplaçait à l'occasion, on le voit avant tout attaché à son horizon auvergnat, à son terroir. L'imposant château de Murol, au sommet d'une butte volcanique, dans la bassecour duquel se pressent quelques dizaines de maisons paysannes, constitue son lieu de résidence privilégié. Cela dit, il manquait de liquidités, il n'était pas sans problème de trésorerie : pour faire face à de grosses dépenses, il lui fallait engager ses biens fonciers ou des objets précieux, en échange de l'emprunt qu'il contractait. Pour sa part d'héritage, sa soeur n'eut que sa dot de 2 400 livres. Le reste des biens fut donc partagé entre son frère et lui. Après un long temps d'indivision, il eut dans son lot les quatre seigneuries de Murol, Chambon, Saint-Amant et Vialle, plus, en commun avec son frère, une vigne à Cournon et un hôtel dans la cité de Clermont. Il avait un procureur, permanent et salarié, chargé de défendre ses intérêts à Riom. La dot de sa fille aînée s'éleva à 2 250 livres. P. Charbonnier, Guillaume de Murol. Un petit seigneur auvergnat au début du XVème siècle, Clermont-Ferrand, 1973. Source : Ph. CONTAMINE - La noblesse au royaume de France de Philippe le Bel à Louis XII - PUF, 1997 (1ère édition) - ISBN 2 13 048763 7- pages 119 et 120 |
Ancêtres de Valéry GSICARD D'ESTAING, filiation : Gaspard d'ESTAING, seigneur de Lugarde x Jeanne De MUROLS -Louis d'ESTAING, vicomte d'Estaing --Gabriel d'ESTAING, vicomte d'Estaing +1561 ---François d'ESTAING, vicomte d'Estaing +1585 ----Jean d'ESTAING, vicomte d'Estaing 1540/-1621 -----Charles d'ESTAING 1585-1661 ------Joachim d'ESTAING 1610 -------Joseph Guillaume d'ESTAING 1648-1711 --------Joachim d'ESTAING 1682-1750 ---------Jean d'ESTAING °ca 1715 ----------Jean-Dominique d'ESTAING 1741-1813 ------------Lucie-Madeleine d'ESTAING 1769-1844 -------------Gilberte Elisabeth Marguerite COUSIN de La TOUR-FONDUE 1790-1858 --------------Théodore Jean Jacques GISCARD 1824-1895 ---------------Valéry GISCARD 1862-1916 ----------------Edmond GISCARD d'ESTAING 1894-1982 -----------------Valéry GISCARD d'ESTAING 1926 Source : Courriel de Jacques DEBARASC du 25/8/2007 - http://fr.groups.yahoo.com/group/genealogie_albigeois/message/3509 |
Prénommé Gérard sur l'hypothèse de Noël Mathieu. Prénommé Othon par Manuel Abranches de Soveral (on sait qu'elle est une descendante de Liétaud et d'Ermengarde. Or par l'hypothèse de N. Matthieu, on voit que cette descendance se fait par sa mère et non par son père)... Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
Exécuté pour trahison |
Assassiné à Verona |
Était un comte dont on ne peut déterminer le comté précisément... Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
Tué à la bataille de Guadalete où les Arabes écrasèrent et tuèrent Rodrige le dernier roi wisigoth. Source : M.Rérolle (Michel Rouche, l'Aquitaine, p. 111) |
Como salienta LMV de São-Payo, os investigadores modernos não se atrevem a adivinhar a origem longínqua dessa desse orgulhosa linhagem, ciosa da sua independência face às monarquias que a rodeavam, da Francia, das Astúrias e de Córdova, e consideram que foi seu tronco Lopo, duque da Gasconha, que em 769 se submeteu a Carlos Magno, mas que não se livra da suspeita de ter organizado a emboscada do desfiladeiro de Roncesvales, em que foi aniquilada a retaguarda do exército franco, quando este regressava da sua primeira expedição na Península (15.8.778). Ainda em meados do séc. XIX, historiadores e genealogistas não duvidavam de que esse Lopo era filho de Gaifer (745, +768), neto de Hunaldo (735-45, +756), bisneto de Eudo (735), que tinham governado o ducado da Aquitânia, defendendo tenazmente a sua autonomia contra a dinastia carolíngia; e esse Eudo, em muitos documentos intitulado rei, também combatera com incansável energia os sarracenos, derrotando-os (721) na batalha de Toulouse (a primeira derrota que eles sofreram naEuropa), e, onze anos mais tarde, vencido por eles, apelando para o seu inimigo Carlos, o mordomo do Palácio e duque dos Francos, que ao esmagá-los próximo de Poitiers (25.10.732), ganhou o cognome de âo como neto de Cariberto II rei da Aquitânia, irmão do grande Dagoberto; portanto com varonia merovíngia, que transmitiria à sua descendência. Este riquíssimo esquema histórico-genealógico vem descrito em pormenor âistoire Génerale du Languedoc», de 1872, referia como coisa assente que a chamada ârigem merovíngia, seriam mais antigas que a capetíngia. Na verdade, grande número das personagens nela citados não consta de documentos autênticos, além de que é impossível estabelecer uma cronologia minimamente compatível com o desenvolvimento das gerações, sendo fortemente de estranhar que os nomes gloriosos dos duques nacionais, Eudo, Hunaldo e Gaifer nunca voltassem a ser usados pelos seus alegados descendentes. Desde o século XIX mantém-se portanto misteriosa a origem do ilustre Eudo, que poderia ser filho aquele Lopo que se revoltou contra os Francos (671), se apoderou de Limoges e se faz proclamar duque, e mesmo rei, da Aquitânia, e se aliou aoduque Paulo que levantara a vizinha Septimânia contra o rei Vamba, e se apoiou nos Vascos, a cuja nação devia pertencer. Mas o rei Vamba esmagou esses temíveis guerreiros, e perto de Béziers, na Gália visigótica, pôs em fuga (675) o próprio Lopo, que viria a socorrer Paulo. Dele não se tem mais notícia depois de 676. A sua carreira prefigura tão bem a de Eudo e as sua pretensões a reinar como soberano na região entre Loire e Pirinéus, que é de facto possível queele fosse seu filho ou genro, o que de resto está muito de acordo com a cronologia. Mas D. José Manuel Trelles e outros autores espanhóis do séc. XVIII dizem que Eudo era filho de Andeca, que se intitulou duque da Cantábria, e de Memorana dos Francos, alegada filha de Lotário. Sobre esta Memorana não há notícia documental. Andeca, morto na batalha de Guadalete (711), seria filho (ou neto) de Lopo VII (ou VIII), duque das Astúrias e da Cantábria, descendente de uma longa série de soberanos destes territórios, onde dominavam os antropónimos Lopo e Zénon, estirpe a que deviam pertencer todos os indivíduos de nome Lopo que se documentam na alta Idade Média. Lopo (769, 778), príncipe dos Vascos, que foi reconhecido por Carlos Magno como duque da Gasconha (Vasconia, ao norte dos Pirinéus) seriaassim filho de outro Lopo, príncipe dos Vascos, e neto de Andeca, que se intitulou duque da Cantábria. O Lopo duque da Casconha não aparece com patronímico, ao contrário do que acontece com a sua descendência, como seu filho Sancio Lupi e seus netos Asnar Sancionis e Sancio Sancionis. O que indica que seu pai tinha o mesmo âe ele seria Lopo Lopes (Lupo Lupi), pois no ocidente da Península o patronímico era frequentemente omitido naquele cujo pai tinha o mesmo â De Lopo duque da Casconha e príncipe dos Vascos foram filhos Munia, casada com Froila I das Astúrias, Aldarico Lopes, duque da Gasconha (787) e conde de Fezensac, Centulo Lopes, + em 787, Sancho Lopes, duque da Gasconha e príncipe dos Vascos, + em 816, e Garcia Lopes, conde de Dax, + em 816. Sancho Lopes é o â Garcia Lopes possuía autoridade directa sobre o Alava, pois é tradição, transmitida desde o séc. XI em cartulários de vários mosteiros de entre Garona e Pirinéus, que mais tarde os Vascos tinham chamado Sancho âundo do cônsul de Castela. Ora, é certo que âiterior (que confunde com Sancho Lopes), com filho de D. Rodrigo Froilaz, conde de Castela, que os autores modernos, contra os antigos, não incluem na prole de D. Froila ou Fruela, irmão de Alfonso I. Na verdade, esse D. Rodrigo é pura imaginação e Castela ainda não existia. O seu núcleo chamava-se então Bardúlia, que confinava como o Alava, e que, mal integrada no estado asturiano, era defendida contra os árabes precisamente pelos Vascos, decerto orientados pelos seus príncipes, e que se foram infiltrando na região. Foi aliás da fusão dos hispano-godos com os Vascos que se foi constituindo a Castela, cujo nome só aparece em meados do séc. IX. Os príncipes dos Vascos não deixaram, ao norte dos Pirinéus, de ser vassalos dos soberanos francos. Sancho Lopes, decerto como refém, fora levado muito jovem, em 769, e criado no palácio real. Em 801 tomava assento no Conselho do rei LuÀ 2 CONC -s da Aquitânia. Sancho Lopes casou com uma irmã de Asnar Galindes, conde de Aragão. Como invoca Mussot-Goulard, seguindo K.F. Werner, +o nome é propriedade de quem o usa e de sua família;, e Sancho Lopes chamou Asnar ao seu filho primogénito. Este Asnar era ainda novo quando o pai morreu, pelo que os Vascos elegeram como duque Garcia Ximenes, seu primo, duro serrano de Bigorre, a quem os textos francos chamam Garcimuci ou Garsimir (de Garcia+emir), que foi morto em 818 em combate contra a autoridade carolíngia. Sucedeu-lhe Lopo Centules, filho de Centulo Lopes (irmão de Sancho Lopes), derrotado no ano seguinte (819) numa batalha em que morreu seu irmão Garcent (Garcia Centules) e exilado. Sucedeu então Asnar Sanches, o filho de Sancho Lopes, que se manteve fiel ao imperador Luís. Por sua morte tomou o poder seu irmão Sancho Sanches â Source : Manuel Abranches de Soveral |
JB de La Grandière 7 xi 2009 : Dans "Vicomtes et vicomtés dans l'Occident médièval" par Hélène Débax -PU du Mirail Toulouse 2008, page 73-74-75 , Didier Panfili au chapitre "Bas Quercy et Haut-Toulousain : un kaléidoscope à vicomtes", (accessible dans google books) énonce que 'Benoit vicomte de Toulouse, otage du comte Raimond est un neveu de Géraud d'Aurillac,le Géraud qui teste en 909 : Saint Géraud De ce Benoit I vicomte de Toulouse, sont issus les vicomtes de Toulouse Benoit I avait un frère cadet Rainard et une sÅur cadette Raingarde ainsi qu'un frère ainé 'Bernard, viguier d'Alzone père d'Aton I vicomte d'Albi,+>942 époux de Diafonisse d'où les vicomtes de Saint-Antonin ancêtres des premiers vicomtes de Lautrec ! Ces éléments amènent à modifier Settipani qui dit bien en français, dans son "Noblesse du midi carolingien" pp 154/159 -Gramat-édité à Oxford en 2004 qu'Avigerne était sÅur de Géraud d'Aurillac et, à l'aide de Didier Panfili, il faut dire qu'Avigerne est fille de Géraud sgr d'Aurillac et d'Adaltrude et donc soeur de Géraud + 909 c'est à dire l'abbé d'Aurillac, canonisé. L'autre sÅur du saint, Adaltrude est l'épouse d'Hildebert, vicomte de Limoges Didier Panfili insiste aussi pour dire que les auteurs d'Histoire du Languedoc (Dom Devic et Dom Vaisete) ont été largement responsables d'avoir rendu illisible une Histoire suffisamment compliquée en soi. Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
Viguier |
Marié avec Ne N, dont : - Aton d'Albi +942/ - Sicard de Saint-Antonin +940/ Fils probable d'Aton ------------- JB de La Grandière 7 xi 2009 : Dans "Vicomtes et vicomtés dans l'Occident médièval" par Hélène Débax -PU du Mirail Toulouse 2008, page 73-74-75 , Didier Panfili au chapitre "Bas Quercy et Haut-Toulousain : un kaléidoscope à vicomtes", (accessible dans google books) énonce que 'Benoit vicomte de Toulouse, otage du comte Raimond est un neveu de Géraud d'Aurillac,le Géraud qui teste en 909 : Saint Géraud De ce Benoit I vicomte de Toulouse, sont issus les vicomtes de Toulouse Benoit I avait un frère cadet Rainard et une sÅur cadette Raingarde ainsi qu'un frère ainé 'Bernard, viguier d'Alzone père d'Aton I vicomte d'Albi,+>942 époux de Diafonisse d'où les vicomtes de Saint-Antonin ancêtres des premiers vicomtes de Lautrec ! Ces éléments amènent à modifier Settipani qui dit bien en français, dans son "Noblesse du midi carolingien" pp 154/159 -Gramat-édité à Oxford en 2004 qu'Avigerne était sÅur de Géraud d'Aurillac et, à l'aide de Didier Panfili, il faut dire qu'Avigerne est fille de Géraud sgr d'Aurillac et d'Adaltrude et donc soeur de Géraud + 909 c'est à dire l'abbé d'Aurillac, canonisé.. L'autre sÅur du saint, Adaltrude est l'épouse d'Hildebert, vicomte de Limoges Didier Panfili insiste aussi pour dire que les auteurs d'Histoire du Languedoc (Dom Devic et Dom Vaisete) ont été largement responsables d'avoir rendu illisible une Histoire suffisamment compliquée en soi. Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
Viguier |
Brunulfe II, comte d'Ardennes, se glorifiait de descendre de Clodion (second roi des Francs). Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
"Pippinus rex Francorum" confirmed the rights of the abbey of Saint-Denis to market customs duties by charter dated 8 Jul 753 which names "fidelibusâauhone, Theuderico, Maganario, Nithado, Uualthario, Uulfario et Uuicberti comite palatii nostro"[433]. He owned land in Saalgau in 778. On ne peut rien dire à propos de l'ascendance paternelle d'Angilbert si ce n'est que son père se nommait Nithard et possédait des biens dans le Saalgau. Son père est marié à Richarde, fille du comte Jérôme, lui-même fils bâtard de Charles Martel. Source : Christian Settipani, La Préhistoire des Capétiens (Nouvelle histoire généalogique de l'auguste maison de France, vol. 1), éd. Patrick van Kerrebrouck, 1993 (ISBN 2-9501509-3-4) , p. 206 et 361 |
Lignage Adhémar de Monteil, page 7 : http://racineshistoire.free.fr/LGN/PDF/Adhemar-de-Monteil.pdf |
Lignage Adhémar de Monteil, page 7 : http://racineshistoire.free.fr/LGN/PDF/Adhemar-de-Monteil.pdf |
Sénéchal de Venaissin |
Lignage Adhémar de Monteil, page 7 : http://racineshistoire.free.fr/LGN/PDF/Adhemar-de-Monteil.pdf |
Ces pages ont été fabriquées avec le logiciel Oxy-Gen version 1.38j, le 03/01/2015. Vous pouvez le télécharger sur ce site.