| Le testament de Bertrand de TOURNEMIRE est le seul des documents présentés aux généalogistes officiels sur lequel figurent le nom de famille de la seconde femme de Bertrand et le prénom de l'un de ses frères, chanoine de Rodez. Ces deux- nom et prénom - ont été mal lus et, l'un et l'autre, ont été défigurés. Le nom de Cécile de GRAYNHA a été lu : GRASINHA. GRAYNHA c'est Grignan, au diocèse de Die, terre bien connue d'une branche de la maison des ADHÉMAR du Monteil (Les ADHÉMAR, ceux du moins du Monteil et de Grignan sont, croyons-nous, éteints), tandis que l'identification de GRASINHA parut aux collaborateurs de Chérin devoir être cherchée en Périgord où effectivement a existé autrefois unemaison de GRÉSINHAC. Tous les généalogistes à la suite de Chérin ont donné pour femme à Bertrand de TOURNEMIRE une Cécile de GRÉSINHAC qui n'a jamais existé. Il a fallu M. de BOISGELIN et ses " Généalogies provençales " pour rectifier publiquement cette erreur déjà relevée par nous même (Oncle Guillaume de TOURNEMIRE) Source : Denis de RAUGLAUDRE |
| Marié le 29 novembre 1450 avec Diane de MONTFORT (Duchesse de Trimoli), fille de Nicolas de MONTFORT (Duc de Termoli) et de Artebella de SANGIO Source : Denis de RAUGLAUDRE |
| Marié avec Aglaé de LESTRANGE, fille de Mondon de LESTRANGE et de Marguerite de DURAT Source : Denis de RAUGLAUDRE |
| Mariée avec Antoine de RYE (Seigneur de Cottebrune. Décédé le 22 septembre 1510), fils de Philibert de RYE (Seigneur de Rye) et de Alix de COTTEBRUNE (Décédée en 1484) Source : Denis de RAUGLAUDRE |
| Pour "Mozieys", Eugène VASSEUR indique qu'il s'agit d'un lieu du diocèse d'Albi (à confirmer) Pour "Creissels", Eugène VASSEUR indique qu'il s'agit d'un lieu situé à 3 km au Sud Ouest de Montpeyroux, dans le diocèse de Vabres. Le Creissels voisin de Millau est du diocèse de Vabres contrairement à Millau sur l'autre rive du Tarn qui est du diocèse de Rodez. On lit dans "Notice historique sur la vicomté et commune de Creissels" d'Artières Jules : "Les Mosueys étaient une famille noble habitant Creissels. Nous avons relevé, en 1471, le nom d'Antoine Azemar, sieur de Mosieys; en 1494 celui de Charles d'Azemar, sieur de Mossueys; en 1509 celui d'Antoine Azemar qui est peut-être le même personnage; enfin en 1574 celui d'Azemar de Mosieys, commandeur des Canabieres. Les Mémoires d'un Calviniste de Millau notent qu'au siège de 1562 par le religionnaire de Millau, "un fils de mosseur Mosueis faisait du capitaine" et que 7 ans plus tard, les catholiques reprirent creissels en s'introduisant dans la ville par la maison de "monsieur de Mosueis". En 1612, on voit Guillaume de Méjanés; sieur de Mosueys, faire hommage au roi (3 septembre 1612) le même vivait en 1651. Dans les archives du château de Vezins, on voit qu'en 1614, " le sieur de Mozueys vend au sieur Gaujal tout le domaine, rentes et censives qu'il avait dans la vicomté de creissels et notamment au Larzac" Source : courriel de C. Barret (3/5/09) - http://fr.groups.yahoo.com/group/genealogie-aveyron/message/102124 |
| Les Adhémar - Généalogie - Vol 1 (1900) - Page 64 |
| Il servait, avec son frère Bertrand, dans l'armée de Navarre |
| Tome I - 2nde édition (1770) - Pages 40 et 44 |
| Il signe le contrat de mariage de sa cousine germaine paternelle Marguerite d'ADHÉMAR par lequel cette dernière porte les droits sur la baronnie de Lombers à la Maison de COMINGES |
| Tome I - 2nde édition (1770) - Page 44 |
| On trouve des lettres-patentes du roi Philippe V, données en son parlement le 5/6/1318, dans lesquelles il est dit que procès s'étant mû au sujet de la baronnie de Lombers entre Hugues ADHEMAR et Guy de COMINGES plaidant une part. Guy de COMINGES demanda un ajournement des héritiers dudit Hugues, ce qui lui fut accordé. Il fit en effet ajourner Jeanne de NARBONNE, Gaucerande de COLONNES et Adhémar de CLARENSAYES, qui se dit cousin germain et le plus proche héritier de Marguerite d'ADHEMAR, fille unique dudit Hugues ADHEMAR son oncle. L'original en parchemin est dans les archives de Montpellier. On retrouve dans un autre acte, à la suite de ces lettres du roi, toute la longue histoire du procès de la baronnie de Lombers, et la manière dont il fut suivi, jusqu'à la mort de ladite Marguerite ADHEMAR; que la dame de NARBONNE et sa soeur, ses cousines germaines d'une part, et Adhémar de CLARENSAYES, son cousin germain, comme mâle et héritier plus prochain, et institué par le testament de la même Marguerite d'ADHEMAR d'autre part, se portèrent pour ses héritiers devant le sénéchal de la cour du roi à Carcassonne. Original tiré des archives de Montpellier, armoire des titres de Castres, liasse des Lombers, n° 20. Guy de COMINGES se fondait sur ce qu'il avait été mari de Marguerite, et sur une cession à lui faite par Adhémar de CLARENSAYES. Voy. les archives de Montpellier. Source : DE LA CHESNAYE-DESBOIS F.A.A. - Dictionnaire de la noblesse - Tome I - 2nde édition (1770) - Pages 43 et 44 |
| Les Adhémar - Généalogie - Vol 1 (1900) - Page 64 |
| Tome I - 2nde édition (1770) - Page 44 |
| Voir, pour les détails de ce procès : - Lacroix, Arrondissement de Montélimar, II, 279 et suivantes - La Chenaye, I, 96 La cour du roi rend un dernier arrêt dans lequel il est dit : vû que la comtesse de Vendôme a mieux prouvé son droit, toutes les parties de la baronnie de Lombers lui sont adjugées Ainsi prend fin le procès de succession pour la baronnie de Lombers contre les ayant-droits de Marguerite sa cousine |
| Les Adhémar - Généalogie - Vol 1 (1900) - Page 64 |
| Clarensayes, en latin Clarensayis Villelongue, autrefois Malemort On ne voit point qu'il ait pris le qualité de co-seigneur de Lombers On trouve des lettres-patentes du roi Philippe V, données en son parlement le 5/6/1318, dans lesquelles il est dit que procès s'étant mû au sujet de la baronnie de Lombers entre Hugues ADHEMAR et Guy de COMINGES plaidant une part, demandaun ajournement des héritiers dudit Hugues, ce qui lui fut accordé. Et en effet, il fit ajourner Jeanne de NARBONNE, Gaucerande de COLONNES et Adhémar de CLARENSAYES, qui se dit cousin germain et le plus proche héritier de Marguerite d'ADHEMAR, fille unique dudit Hugues ADHEMAR son oncle. L'original en parchemin est dans les archives de Montpellier. On retrouve dan un autre acte, à la suite de ces lettres du roi, toute la longue histoire du procès de la baronnie de Lombers, et la manière dont il fut suivi, jusqu'à la mort de ladite Marguerite ADHEMAR; que la dame de NARBONNE et sa soeur, ses cousines germaines d'une part, et Adhémar de CLARENSAYES, son cousin germain, comme mâle et héritier plus prochain, et institué par le testament de la même Marguerite d'ADHEMAR d'autre part, se portèrent pour ses héritiers devant le sénéchal de la cour du roi à Carcassonne. Original tiré des archives de Montpellier, armoire des titres de Castres, liasse des Lombers, n° 20. Guy de COMINGES se fondait sur ce qu'il avait été mari de Marguerite, et sur une cession à lui faite par Adhémar de CLARENSAYES. Voy. les archives de Montpellier. C'est à la perte de ce grand procès qu'on peut fixer l'époque du peu d'aisance et de l'oubli de cette branche ADHEMAR du languedoc. La baronnie de Lombers comportait plus de 30 villes ou villages. Il ne resta à Adhémar de CLARENSAYES que la seigneurie de Villelongue et sans doute aussi sa terre de Clarensayes; fondé sur la donnation qui en fut faite à Lambert, son grand-père, pour lui et ses enfants mâles à l'infini. Acte de 1237 motivé entre les deux frères. S'il ne posséda pas cette terre, du moins il en porta le nom. Il signa sous ce nom au mariage de Marguerite ADHEMAR, qui contracta en présence et du consentement d'ADHEMAR-de-CLARENSAC, son cousin germain. Egalement présent : Guillaume, vicomte de Lautrec, cousin maternel de la future CM en forme légale dans les manuscrits de la bibliothèque du roi, Vol. 38, fol. 240. L'original est au château de Foix. Source : DE LA CHESNAYE-DESBOIS F.A.A. - Dictionnaire de la noblesse - Tome I - 2nde édition (1770) - Pages 43, 44 et 45 |
| Lignage Adhémar de Monteil, page 3 : http://racineshistoire.free.fr/LGN/PDF/Adhemar-de-Monteil.pdf |
| Lignage Adhémar de Monteil, page 2 : http://racineshistoire.free.fr/LGN/PDF/Adhemar-de-Monteil.pdf |
| Il officialise un acte du 16/12/1095 passé dans l'église du Puy entre Giraud-Lambert, Giraudonnet, ses neveux, d'une part, et Hugues de Monteil, son frère, d'autre part, exclut ce dernier de toutes prétentions à la seigneurie de Monteil,à partager entre ses neveux. En compensation, il reçoit, dans le partage qui s'ensuit, la terre de Lombers en Albigeois et quelques fiefs en Dauphiné |
| frère d'Adhémar qui officialise l'acte |
| Lignage Adhémar de Monteil, page 2 : http://racineshistoire.free.fr/LGN/PDF/Adhemar-de-Monteil.pdf |
| Évêque |
| Les Adhémar - Généalogie - Vol 1 (1900) - Page 11 |
| Décédé de la peste à Antioche, Antakya, Turquie |
| Les Adhémar - Généalogie - Vol 1 (1900) - Page 10 |
| Il se trouve à la 1ère croisade de Jérusalem |
| V. Michaud, B.U. I, 176 Il se rendit célèbre à la première croisade, où il était légat du pape Urbain C'est probablement l'illustration de ce personnage historique qui fit prendre par ses neveux et garder par leurs descendants le nom d'ADHÉMAR, autre forme de celui d'Aimar Source : BOISGELIN (Marquis de) - Les Adhémar - Généalogie - Vol 1 (1900) - Page 11 |
| Les Adhémar - Généalogie - Vol 1 (1900) - Page 111 |
| Elle est nommée sur le testament de son époux |
| Non citée sur les testaments de ses parents Conséquences possibles : filiation fausse ou décédée avant le 11 décembre 1461 Les termes du testament de son mari semblent indiquer une parenté très rapprochée avec Rigal [d'ADHÉMAR époux de Cébélie de La BARRIÈRE], Alde serait donc soeur ou tante de Rigal Source : BOISGELIN (Marquis de) - Les Adhémar - Généalogie - Vol 1 (1900) - Page 111 |
| Les Adhémar - Généalogie - Vol 1 (1900) - Page 111 |
| Source : Courcelles, Histoire des Pairs, I, Armagnac, 3 |
| Courriel de T. Pelat (4/5/09) - http://fr.groups.yahoo.com/group/genealogie-aveyron/message/102178 |
| Quittance de dette portant sur 50 écus d'or "au coin de Toulouse", 1er versement d'une somme plus importante qu'Antoine Azemar "futur gendre" s'était engagé à verser à noble Jean de Luzencon du château de Creissels par conventions contenues dans le contrat de mariage avec sa fille Gaillarde de Luzencon. Il s'agit en fait d'un prêt puisque Jean de Luzencon s'engage à lui restituer la somme. Les raisons de cette convention ne sont pas indiquées. Le parchemin contient une autre reconnaissance, posterieure, pour le même montant, datée du 18 janvier 14?? pour le même montant. |
| Tige des seigneurs de Montsnaiz, etc... Armes : d'or à trois bandes d'azur, sur mi-parti de France et de Toulouse Source : BOISGELIN (Marquis de) - Les Adhémar - Généalogie - Vol 1 (1900) - Page 141 |
| Courriel de P. Corbière (3/5/09) - http://fr.groups.yahoo.com/group/genealogie-aveyron/message/102144 |
| Chez Maître Jean FARAYROLLES |
| Lignage Adhémar de Monteil, page 4 : http://racineshistoire.free.fr/LGN/PDF/Adhemar-de-Monteil.pdf |
| Les Adhémar - Généalogie - Vol 1 (1900) - Page 23 |
| Il confirma un accord antérieur fait avec Pons, prieur de Saint-Saturnin Source : Lambert, Catalogue descriptif et raisonné de la bibliothèque de Carpentras, III, 137 |
| Les Adhémar - Généalogie - Vol 1 (1900) - Page 23 |
| Il fut garant de la dot de Galburge de MÉVOUILLON, lorsqu'elle épousa Lambert ADHÉMAR, fils de Hugues, seigneur de Monteil et de la Garde Source : Cartulaire de Montélimar |
| Les Adhémar - Généalogie - Vol 1 (1900) - Page 14 |
| Il est institué comme héritier par sa mère sur son testament Sources : Archives de M. de Gallier; Dr Barthélémy, Invent. chronol. et analytique des chartes de la maison de Baux n° 347 |
| Les Adhémar - Généalogie - Vol 1 (1900) - Pages 23 et 24 |
| Le 2 des ides d'août 1253, il délimita avec Lambert (ADHÉMAR), seigneur de Lombers, le territoire de Frenouillet (ou Fenouillet), sur Pierrelatte Source : Archives Drôme, E. 3442 |
| Les Adhémar - Généalogie - Vol 1 (1900) - Page 24 |
| C'est probablement lui qui reçut en inféodation de Guillaume et Raymond de CHAMARET, leur part dans la seigneurie dudit lieu, moyennant 100 l. viennois Source : Lacroix, Arrondissement de Montélimar, I, 362 |
| Les Adhémar - Généalogie - Vol 1 (1900) - Page 24 |
| Il prêta hommage pour sa seigneurie de Grignan au comte de Provence qui, en retour, lui assigna sur le domaine de Marseille une rente de 50 l. viennoises, « dont la maison (d'ADHÉMAR) a toujours joui » Source : Pithon-Curt, Histoire de la noblesse du comté de Venaissin, IV, 26 |
| Les Adhémar - Généalogie - Vol 1 (1900) - Page 24 |
| Il est nommé comme oncle paternel de Giraud ADHÉMAR, co-seigneur de Montélimar (époux de Tiburge AMIC de SABRAN) Source : Cartulaire de Montélimar, 35 |
| Les Adhémar - Généalogie - Vol 1 (1900) - Page 24 |
| Il passa transaction, ainsi que Guillaume, son fils, avec le Chapitre de Valence Source : Inventaire des Archives Dauphinoises de M. Henri Morin-Pons n°6 |
| Les Adhémar - Généalogie - Vol 1 (1900) - Page 24 |
| Il fit son testament le 5 des ides de janvier 1273 chez Lambert Boniceri, notaire Source : Fillet, Journal de Die, 16/5/1869 |
| Lignage Adhémar de Monteil, page 4 : http://racineshistoire.free.fr/LGN/PDF/Adhemar-de-Monteil.pdf |
| Branche des comyes de Grignan En latin : Graina, Grainan, Grainnat, Grasinan, Graynhan, Greynhan, etc. Postérité : Guillaume (degré 8) Source : BOISGELIN (Marquis de) - Les Adhémar - Généalogie - Vol 1 (1900) - Pages 23 et 24 Epouse Clémence (Née vers 1210, décédée après 1272) Source : Lignage Adhémar de Monteil, page 4 : http://racineshistoire.free.fr/LGN/PDF/Adhemar-de-Monteil.pdf |
| Les Adhémar - Généalogie - Vol 1 (1900) - Page 13 |
| Abbé Source : Lacroix, Arrondissement de Montélimar, I, 318 |
| Les Adhémar - Généalogie - Vol 1 (1900) - Page 15 |
| Il rendit hommage au roi devant le sénéchal de Rouergue, Jean de BNNEHAUT |
| Il rendit hommage à Bernard, comte d'Armagnac |
| Il rendit hommage pour Mandagout, Thorène, Fons et Sérignac. |
| Il fit reconnaissance de ses biens devant Raimond FABRI, notaire à Rodez |
| Possède des biens à La Roque, Meyrueis et Rodez Source : A. de MASSARY |
| Les Adhémar - Généalogie - Vol 1 (1900) - Page 64 |
| Il servait, avec son frère Adhémar, dans l'armée de Navarre |
| Filiation probable (Source : Lacroix, Arrondissement de Montélimar, II, 280) Source : BOISGELIN (Marquis de) - Les Adhémar - Généalogie - Vol 1 (1900) - Page 64 |
| Lignage Adhémar de Monteil, page 7 : http://racineshistoire.free.fr/LGN/PDF/Adhemar-de-Monteil.pdf |
| Les Adhémar - Généalogie - Vol 1 (1900) - Page 63 |
| Evêque Source : Lacroix, Arrondissement de Montélimar, II, 274 |
| Il ne porta pas d'autre nom que celui de CLARENSAYES Source : DE LA CHESNAYE-DESBOIS F.A.A. - Dictionnaire de la noblesse - Tome I - 2nde édition (1770) - Page 45 |
| Volume 1 - Page 67 |
| Légataire de son père sur le testament de ce dernier |
| Bailli |
| Lignage Adhémar de Monteil, page 8 : http://racineshistoire.free.fr/LGN/PDF/Adhemar-de-Monteil.pdf |
| Ratifie avec son frère Hugues les accords de son père avec la branche aînée |
| son frère |
| Les Adhémar - Généalogie - Vol 1 (1900) - Page 64 |
| Il fut condamné avec son frère Hugues à rendre hommage à Beg de la BARRIÈRE (Barreria) |
| Tome I - 2nde édition (1770) - Page 43 |
| Etant mort avant son frère Hugues, il lui laissa ses droits sur la terre de Lombers |
| Villelongue alias "Malâ-morte" Frère cadet de Hugues. Il continue la branche du Languedoc. Il est le père de tous les ADHEMAR qui existent aujourd'hui dans le rouergue et le languedoc. Les preuves de sa filiation sont dans les archives publiques de Montpellier, de Paris et du château de Foix. Il se trouve nommé dans tous les actes qui ont rapport à Hugues, son frère. Il est rappelé dans l'hommage que son père rendit volontairement à son frère Bertrand de CLARENSAYES, évêque de Saint-Pol-Tois-Châteaux. Il est nommé dans le nombre des enfants que son père Lambert laissa. Cf. les articles donnés par Hugues en 1293, l'histoire de Saint-Pol-Tois-Châteaux et les manuscrits de la bibliothèque d'Aubezases. Comme son frère aîné Hugues, il fut condamné par les lettres à grand sceau, émanées de la cour du Roi. Cette condamnation obligera son petit-fils Galvan ADHEMAR à rendre hommage de la terre de Villelongue. Dans une requête, présentée au sénéchal de Carcassonne par les héritiers de MONTFORT, contre Messire Hugues ADHEMAR, chevalier, Briand son frère, damoiseau, et dame Vacquerie sa soeur, il est dit que lesdits Hugues, Briand et Vacquerietiennent injustement les ville et château de Lombers. Cette requête est énoncée à la tête d'un arrêt qui fut rendu en conséquence en août 1332, où il est dit que la susdite requête avait été présentée, il y a longtemps (dudùm). Effectivement, elle doit être antérieure à 1278, puisque Briand ADHEMAR n'y est qualifié que damoiseau et qu'il est qualifié chevalier dans les lettres à grand sceau de cette année. Source : DE LA CHESNAYE-DESBOIS F.A.A. - Dictionnaire de la noblesse - Tome I - 2nde édition (1770) - Pages 41 et 43 Il soutînt avec son frère Hugues les procès au sujet de Lombers Toute la filiation de cette branche et des rameaux qui en sont issus est donnée d'après les mémoires de Beaujon et de Chérin de Barbimont Source : BOISGELIN (Marquis de) - Les Adhémar - Généalogie - Vol 1 (1900) - Page 64 |
| Lignage Adhémar de Monteil, page 8 : http://racineshistoire.free.fr/LGN/PDF/Adhemar-de-Monteil.pdf |
| Lignage Adhémar de Monteil, page 7 : http://racineshistoire.free.fr/LGN/PDF/Adhemar-de-Monteil.pdf |
| Elle reçut la terre de Lombers en héritage de son premier mari dont elle n'avait eu qu'un fils, Lambert, mort jeune. Elle la porta en dot à son deuxième mari. Celui-ci n'ayant eu qu'un fils, Guy de MONTFORT, mort sans postérité, en 1254, la terre de Lombers revint à Briande, puis à son frère Lambert ADHÉMAR. Source : BOISGELIN (Marquis de) - Les Adhémar - Généalogie - Vol 1 (1900) - Page 47 |
| Lignage Adhémar de Monteil, page 7 : http://racineshistoire.free.fr/LGN/PDF/Adhemar-de-Monteil.pdf |
| En secondes noces pour la future Source : BOISGELIN (Marquis de) - Les Adhémar - Généalogie - Vol 1 (1900) - Page 47 |
| Les Adhémar - Généalogie - Vol 1 (1900) - Page 47 |
| En premières noces pour la future Source : Coston, Histoire de Montélimar, I, 125 |
| Mariée en 1475 avec Jean Antoine de SOUBIRAN (Vicomte de Paulin et d'Arifat. Ses armes étaient : "d'argent, à trois fasces d'or"), fils de Guillaume de SOUBIRAN (Vicomte de Paulin) et de ? Source : Denis de RAUGLAUDRE |
| Marié vers 1490 avec Louise de MONTPEYROUX, fille de Garin de MONTPEYROUX (seigneur du Bousquet) et de Louise de La PANOUSE (vers 1440), d'où : - Guillaume AZEMAR (écuyer, seigneur de Mozueys, habitant Creyssel. Teste à Albi le 6 mai 1562) marié le 13 janvier 1522 avec Delphine TUBIÈRES Sources : - Denis de RAUGLAUDRE - Courriel de C. Barret (3/5/09) - http://fr.groups.yahoo.com/group/genealogie-aveyron/message/102124 Marié en 1491 avec Louise de MERLE, fille de Garin (seigneur de Montpeiros, etc.) et de ?, d'où : - Guillaume (Seigneur de Montsnaiz) marié avec ?, d'où ... - Louis (Seigneur de Montsnaiz, Creissel, etc...) marié avec Jeanne MARTIN, d'où ... Source : BOISGELIN (Marquis de) - Les Adhémar - Généalogie - Vol 1 (1900) - Page 141 |
| Mariée en 1491 avec Jean de TEULAT, fils de Jean de TEULAT et de Marguerite de MONTVALLAT Source : Denis de RAUGLAUDRE |
| Volume 1 - Page 68 |
| Contrat rédigé par Jean BROA, notaire Archives de Panat, d'après Beaujon Courcelles donne à ce mariage la date du 4/2/1445 |
| Lignage Adhémar de Monteil, page 4 : http://racineshistoire.free.fr/LGN/PDF/Adhemar-de-Monteil.pdf |
| Les Adhémar - Généalogie - Vol 1 (1900) - Page 14 |
| Elle fut promise en mariage par ses parents, à Raymond de BAUX pour son fils Bertrand, lorsqu'elle serait nubile, en lui donnant en dot les châteaux de Gardanne, Roquevaire, Gémenos et le Plan-d'Aups, plus la moitié de ce que sa mère avait de sa propre mère Laure, à Saint-Julien-le-Montagnier, Artigues, Vinon, Ginasservis, Manosque, Rousset, Ceyreste, Rians, Pourcieux et Pourrières Source : Dr Barthélémy, Invent. chronol. et analytique des chartes de la maison de Baux n° 159 |
| Les Adhémar - Généalogie - Vol 1 (1900) - Page 14 |
| Elle confirma, ainsi que sa mère, au monastère de Saint-Pons, près Gémenos, la possession des domaines, situés à Roquevaire, tenus en arrière-fief par Audibert et Hugues, d'Auriol Source : Dr Barthélémy, Invent. chronol. et analytique des chartes de la maison de Baux n° 326 (La Major, Bouche-du-Rhône) |
| Elle eut en legs, au testament de sa mère, une rente de 50 l. de royaux coronats |
| En 1257 Source : Lignage Adhémar de Monteil, page 4 : http://racineshistoire.free.fr/LGN/PDF/Adhemar-de-Monteil.pdf |
| Les Adhémar - Généalogie - Vol 1 (1900) - Page 14 |
| Etant malade, elle fit son testament en la chambre de sa fille Mabile, au couvent de Saint-Pons de Gémenos, y nomme son père et sa mère, élit sa sépulture audit couvent de Saint-Pons, et institue son fils Hugues de BAUX, héritier universel de ses terres et seigneuries de Gardanne, Roquevaire, Gémenos et le Plan-d'Aups et de celles qu'elle avait eues en héritage de Laure, son aïeule, après la mort de sa mère Mabile. Elle lègue à sa fille Mabile 100 marcs d'argent fin, à prendre sur ses biens ; si son fils meurt sans enfants, Mabile sera héritière universelle de ses domaines, qui lui seront livrés pour sa dot, et, dans ce cas, elle donnera 100 marcsd'argent au couvent de Saint-Pons ; si elle meurt sans enfants, elle substitue à sa fille son frère Aimar, qui sera obligé de payer 100 marcs d'argent au susdit monastère. Source : Dr Barthélémy, Invent. chronol. et analytique des chartes de la maison de Baux n° 410 (Bibl. Nat. Fonds latin; n° 9239, ch. n°4, parch.) |
| Elle avait épousé, suivant contrat passé à Montélimar le 14/10/1213 (Dr Barthélémy, 159 (Bouche-du-Rhône - B. 308)), Bertrand de BAUX (Ep, en 2ndes noces, Alix N. (Dr Barthélémy, 464)), fils de Raymond et d'Alasacie de MARSEILLE Source : BOISGELIN (Marquis de) - Les Adhémar - Généalogie - Vol 1 (1900) - Page 14 Epouse Bertrand II des BAUX (Né vers 1220, décédé avant le 19/8/1266. Seigneur des Baux (13), Meyrargues (13) et Puyricard. Fils de Raymond 1er (IV) des BAUX et dâ Source : Lignage Adhémar de Monteil, page 4 : http://racineshistoire.free.fr/LGN/PDF/Adhemar-de-Monteil.pdf |
| Probablement Joséphine Source : Les Adhémar - Généalogie - Volume 1 - Marquis de BOISGELIN - Page 68 |
| Volume 1 - Page 67 |
| Légataire de son père sur le testament de ce dernier |
| Volume 1 - Page 67 |
| Légataire de son père sur le testament de ce dernier |
| Mariée avec Pierre de RAFFIN, fils de Pierre de RAFFIN et de Antoinette d'ARPAJON Source : Denis de RAUGLAUDRE |
| Source : BOISGELIN (Marquis de) - Les Adhémar - Généalogie - Vol 1 (1900) - Page 141 |
| Lignage Adhémar de Monteil, page 8 : http://racineshistoire.free.fr/LGN/PDF/Adhemar-de-Monteil.pdf |
| Mineur |
| Tome I - 2nde édition (1770) - Page 45 |
| Les Adhémar - Généalogie - Vol 1 (1900) - Page 65 |
| Il fait une réquisition à Lambert ADHEMAR, seigneur de la Garde-Monteil, des biens et terres de Clarensayes que son père Adhemar de CLARENSAYES avait dû posséder dans ce pays-là. Il semble n'avoir rien obtenu puisque ensuite on entend plus parler de la terre de Clarensayes. Par suite, cette branche, entièrement dépourvue de fortune devint tout à fait étrangère au Dauphiné et aux parents qu'elle y avait laissés. |
| Tome I - 2nde édition (1770) - Page 45 |
| Il fait hommage à Noble Guillaume de la BARRIÈRE (seigneur de Châteauneuf-Peirelès) de ce qu'il détient dans le château de Villelongue. Hommage en exécution de l'arrêt [ou lettres de la cour du roi] rendu en 1278 contre son grand-oncle Hugues et son grand-père Briand. Archives de Panat |
| Les Adhémar - Généalogie - Vol 1 (1900) - Page 65 |
| Hommage de son fils Rigal Archives de Panat |
| Mineur lors du décès de son père Il est parfois appelé AZEMAR Source : DE LA CHESNAYE-DESBOIS F.A.A. - Dictionnaire de la noblesse - Tome I - 2nde édition (1770) - Page 45 |
| Volume 1 - Page 65 |
| La Chenaye (I, 104) et Barrau (II, 583) disent que Galvan épouse, en premières noces, vers 1370, Hélène de BÉRENGUIER (armes : coticé d'or et d'azur en barres, V.Barrau, II, 578), dame en partie de Malemort, sans postérité |
| La terre de Villelongue, appelée autrefois Malemort, vint en entier à Galvan par son mariage avec Hélène BERENGUIERES, dame du château de Malemort. Mais comme ils n'eurent point de postérité, elle retourna aux héritiers de l'épouse. Source : DE LA CHESNAYE-DESBOIS F.A.A. - Dictionnaire de la noblesse - Tome I - 2nde édition (1770) - Page 45 |
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