Frédégonde et Clotaire tentent de profiter de la mort de Childebert II pour étendre leur territoire, mais Clotaire subit en 600 une sévère défaite qui lui fait perdre la plus grande partie de son royaume, y compris Paris et Chartresn qui vont à Thierri II, Meaux et Soissons à ThéodebertII, les fils de Childebert II. Il ne lui reste plus que les trois cités de Rouen, Beauvais, et Amiens. Cependant, les dissensions entre Thierri et Théodebert renforcent la puissance de l'aristocratie et permettent à Clotaire II, dès 603, de récupérer la région entre la Seine et la Loire. Les deux frères en viennent aux armes, et meurent tous deux en 612. En 613, Clotaire vainc à Andernach l'armée des partisans de Brunehaut (et de son arrière-petit-fils Sigebert II, roi d'Austrasie qui est encore jeune) et il met à mort ses cousins à l'exception de Mérovée son filleul. Brunehaut est aussi exécutée. Ainsi, le royaume franc est de nouveau entre les mains d'un seul roi, mais les "tria regna" sortent consolidés de ces épreuves. (d'après Régine Le Jan) Dans le livre de Pascal Arnoux , Clotaire est mort à Paris le 4 janvier 629 et il fut inhumé à Saint-Germain-des-Prés. Ses fils Dagobert et Caribert partagèrent son royaume. Roi de Neustrie à 4 mois sous le nom de Clotaire II. De quelle femme Clotaire II eut-il la sainte Enimie (nom latin : Enimia) ? Cette dernière est connue comme abbesse de Burle (Burlates) en 610. Sa légende dit qu'elle contracta la lèpre pour échapper au mariage. Elle résida à Bagnols-les-Bains, puis à Burlates (devenu Sainte-Enimie - Lozère), où elle fit construire un monastère dont elle fut nommée abbesse par saint Hilaire, évêque de Mende. Morte vers 628. Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
En l'église abbatiale de Saint-Germain-des-Prés |
Abbaye de Chelles |
Sans postérité connue. Fils présumé de Thierry III et de Clotilde. Charles Martel cherchait à imposer un souverain pour donner un caractère légitime et "dynastique" à sa lutte contre Chilpéric II ; il inventa peut-être cette filiation de Thierry III à Clotaire IV dont l'origine apparut singulièrementdouteuse. Le règne de cet homme de paille fut bref : il mourut en 719. Son lieu de sépulture est inconnu. Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
Prit la tête d'une révolte contre Leubovere, son abbesse |
Religieuse à Sainte-Croix de Poitiers |
Clodoald, plus connu sous le nom de Cloud, était le fils du roi Clodomir et petit-fils de Clovis et de sainte Clotilde. Après la mort de son père, ses oncles, Childebert et Clotaire, firent demander à leur mère Clotilde, de leur envoyer les enfants de Clodomir pour les proclamer successeurs de leur père. La sainte veuve revêtit Cloud, qui n'avait que deux ans, et ses deux frères de leurs plus beaux habits et les envoya avec confiance, ne se doutant pas que ses petits-enfants allaient être égorgés sans pitié par ses propres fils. Cloud fut sauvé du massacre et put échapper à toutes les recherches de ses oncles. Le jeune prince grandit en paix dans un monastère, et, trouvant toute sa joie au service de Dieu, il préféra la tonsure à la couronne. Il choisit plus tard, pour y finir ses jours, le monastère d'Agaune, dont les neufs cents religieux partagés en neuf choeurs, se succédaient tour à tour devant l'autel et chantaient l'office sans interruption, le jour et la nuit. Dieu ne voulut pas laisser longtemps ce trésor enfoui, car il accompagna les vertus du prince du don des miracles. Un jour qu'il se promenait aux environs de sa cellule, un mendiant à moitié nu se présente à lui, implorant sa charité. Le prince, devenu moine, n'avait rien; les pauvres vêtements qu'il portait étaient les seuls objets qu'il eût à sa disposition; il ne voulut pas cependant rebuter un membre du Sauveur Jésus, et, se dépouillant de son manteau, il en revêtit le mendiant. Le soir, celui-ci reçut l'hospitalité dans une chaumière voisine, et, pendant qu'il dormait, ô prodige! Le vêtement qu'il avait reçu rayonnait d'un éclat plus merveilleux que les brillants habits des princes. Cloud fut ordonné prêtre malgré les protestations de son humilité, et fut le premier des princes de France qui gravit les degrés de l'autel. C'est à Paris qu'avait eu lieu l'ordination; il obtint du roi Childebert, son oncle, une propriété voisine de la capitale pour y finir ses jours dans la solitude. Dès qu'on sut le lieu de la retraite du serviteur de Dieu, on y accourut detoutes parts pour se mettre sous sa direction; quelques cellules furent d'abord bâties, bientôt un monastère devint nécessaire; Cloud y vécut sept ans au milieu de ses frères, leur donnant l'exemple de toutes les vertus. Les vertus de saint Cloud avait attiré vers lui de nombreux disciples; ses miracles firent accourir des foules immenses à son tombeau, autour duquel se forma la ville de Saint-Cloud. La piété naïve de nos pères a porté les cloutiers àle choisir pour patron. Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
A Tournai |
Clovis I (variously spelled Chlodowech or Chlodwig, giving modern French Louis and modern German Ludwig) Le baptême de Clovis Le 25 Décembre 496, ou plutôt 498 ou 499, Clovis est baptisé, à Reims, par l'évêque Rémy. L'incertitude sur l'année provient du fait que les renseignements que nous en avons ont été fournis par Grégoire de Tours, qui naquit quelques années après la mort de Clovis et écrivit "L'Histoire des Francs", sans donner de dates très précises. Les travaux récents des historiens semblent donner pour improbable l'année 496, mais confirment le 25 Décembre, symbolique, étant le jour de la naissance du Christ. En se convertissant, Clovis prenait un risque vis à vis de ses guerriers païens (car tous ne se convertirent pas, du moins en même temps); il risquait la "déposition". Mais, fidèle à la parole donnée à Tolbiac et probablement sincèrement converti, il n'hésita pas à se faire baptiser. Il en tira un avantage certain, peut-être calculé, ou du moins espéré, l'alliance confirmée des évêques et l'amalgame voulu facilité entre les Francs et les Gallo-Romains. Bien plus encore que ses conquêtes, l'action principale de Clovis restera l'unification religieuse de son royaume. Son mariage avec Clotilde, princesse burgonde chrétienne, sera décisive. A la veille d'affronter les Alamans, Clovis, en position défavorable, se tourne vers ce dieu de Clotilde : "Si tu me donnes la victoire, je croirai en toi". Il fut victorieux, il tint parole et ajouta à son panthéon ce nouveau dieu. Il faut dire que les Francs, tribu guerrière, considéraient la religion comme un élément du succès de leurs armes. Les populations nouvellement conquises sont en bonne partie chrétiennes : se faire baptiser ne pourrait que lui assurer leur sympathie. Treize ans après être entré dans l'Église, Clovis fait un pas de plus, il réunit les évêques en concile à Orléans. Il tient à ce qu'ils renforcent l'organisation des communautés chrétiennes pour servir de modèle et d'appui à la structuration administrative de cette Gaule qu'il vient d'unifier. (source : Jean Mathieu, historien) Clovis Ier (en allemand Chlodwig ou Chlodowech, en latin Chlodovechus) a été roi des Francs de 481 à 511. Issu de la dynastie des Mérovingiens, du nom hypothétique de son grand-père, Mérovée, il est considéré anachroniquement comme le premier roi catholique officiel de France. Le nom de Clovis vient du franc (vieil haut-allemand) Hlodowig, composé des racines hlod (« renommée », « illustre ») et wig (« combat »), c'est-à-dire « Illustre dans la Bataille », « Illustre au Combat » : il donne en françaismoderne Louis, prénom de la majorité des rois de France, et en allemand Ludwig, aussi latinisé en Ludovic. Fréquemment utilisée par les Mérovingiens, la racine hlod est aussi à l'origine de noms tels que Clotaire (et Lothaire), Clodomir, ou encore, Clotilde. Nous connaissons Clovis à travers la longue description de son règne par l'évêque gallo-romain Grégoire de Tours, un proche du pouvoir, et dont l'Histoire, rebaptisée tardivement Histoire des Francs est riche d'enseignements, bien que ce texte à visée d'abord édifiante relève plus de l'hagiographie que d'une conception rigoureuse de l'histoire Lâ Ainsi as-tu fait au vase de Soissons ! Lâer, roi des Francs saliens au romain Syagrius et peu de temps après la prise de Soissons sa capitale. « En ce temps-là, écrit Grégoire, beaucoup dâans les erreurs du fanatisme » (quia erat ille adhuc fanaticis erroribus involutus). Câquâe le vase lui serait échu, il donnerait satisfaction à lâ Câdemande aux « très valeureux guerriers » de lui céder le vase en plus de sa part. Les hommes de bon sens (illi quorum erat mens sanior) lui répondent : « Tout ce que nous voyons ici est à toi, glorieux roi, et nous sommes nous-mêmes soumis à ton autorité (nos ipsi tuo sumus dominio subjugati). Agis maintenant comme il te plaira, personne ne peut te résister». Mais, tout le monde ayant parlé, un soldat - homme léger, envieux et impulsif (levis, invidus ac facilis) - à la stupéfaction générale, frappe le vase de sa hache en sâ Le roi avala lâtroquant une part de son lot. Au bout de lârre. Le soldat se baissa pour les ramasser et Clovis en profita pour lui briser le crâne dâ « Ainsi as-tu fait au vase de Soissons ! » Nota : la plupart des historiens sérieux pensent que cette histoire n'est qu'une fable [E.Polti ; 09.04.2009] Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Clovis_Ier |
Basilique des Saints Apôtres |
Assassiné |
Clovis est mort assassiné d'un coup de couteau à Noisy-le-Grand et enseveli sur place en décembre 580. En 584, sa dépouille est transférée à l'abbaye de Saint-Germain-des-Prés à Paris. Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
Abbaye de Saint-Germain-des-Prés |
Les maires du palais Aega et Flaochat gérèrent la Bourgogne ; Erchinoald s'occupa d'abord de la Neustrie et y joignit la Bourgogne après 643. Charitable et sage, Clovis II vécut trop peu pour agir. Il passa pour débauché et aurait souffert de troubles mentaux. Sur le conseil de l'orfèvre Eloi, il restitua au clergé des biens ecclésiastiques que son père Dagobert 1er avait confisqués (654). Il fit exécuter le maire du palais d'Austrasie Grimoald, capturé et livré par les leudes de ce royaume(657). Parce qu"'il n'avait rien fait", Clovis II hérita d'un surnom immérité qui qualifia tous ses successeurs et qu'une légende absurde propagea : le Fainéant. Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
A Saint-Denis |
Le roi n'étant qu'un enfant, c'est Pepin de Herstal qui exerce l'effectivité du pouvoir. Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
Sans postérité Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
Mariage du père inconnu, fils présumé Parfois oublié par les historiens qui ne reconnaissent pas son "règne", il ne faut pas le confondre avec Clovis IV (682 - 695). Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
Mort de la dysenterie peu après son baptême |
A Saint-Denis |
"Le bon roi Dagobert" est devenu avec Clovis, le plus populaire des souverains mérovingiens. Saint Louis avant la lettre, l'histoire a souligné son esprit de justice. Les chroniques le montrent parcourant la Bourgogne au début de son règne, s'arrêtant partout pour juger "les pauvres et les riches", infatigable à la tâche et prodigue en aumônes. Sa vie sentimentale fut fort agitée. Après la mort de Clotaire II en 629, Dagobert évinça son demi-frère Caribert dans le partage de l'héritage paternel, il se fit reconnaître roi de Bourgogne, puis, avec un peu plus de difficultés, roi de Neustrie. Il fixa alors sa résidence à Paris, mécontentant ses sujets austrasiens. Il imposa à l'Austrasie un traité qui réglait sa succession : à sa mort, la Neustrie et la Bourgogne seraient transmises à un de ses fils, le futur Clovis II, tandis que l'Austrasie resterait à Sigebert III. A l'inverse de ses prédécesseurs, Dagobert ne fut pas un homme de guerre, il semble avoir été un médiocre stratège, préférant la diplomatie au combat et ne se résolvant à faire campagne que contraint et forcé. Toutefois, conscient de sa puissance, non seulement dans ses Etats mais à travers toute l'Europe, il mena une politique étrangère énergique et habile. Dagobert est considéré comme le dernier grand souverain mérovingien. Après lui le le Regnum Francorum entre dans une période de grande décadence. Dagobert I (c. 603 âe first of the French kings to be buried in the royal tombs at Saint Denis Basilica. Dagobert was the eldest son of Chlothar II and Haldetrude (575-604). Chlothar II had reigned alone over all the Franks since 613. In 623, Chlothar was forced to make Dagobert king of Austrasia by the nobility of that region, who wanted a kingof their own. When Chlothar II granted Austrasia to Dagobert, he initially excluded Alsace, the Vosges, and the Ardennes, but shortly thereafter the Austrasian nobility forced him to concede these regions to Dagobert. The rule of a Frank from the Austrasian heartland tied Alsace more closely to the Austrasian court. Dagobert created a new duchy (the later Duchy of Alsace) in southwest Austrasia to guard the region from Burgundian or Alemannic encroachments and ambitions. The duchy comprised the Vosges, the Burgundian Gate, and the Transjura. Dagobert made his courtier Gundoin the first duke of this new polity that was to last until the end of the Merovingian dynasty. On the death of his father in 629, Dagobert inherited the Neustrian and Burgundian kingdoms. His half-brother Charibert, son of Sichilde, claimed Neustria but Dagobert opposed him. Brodulf, the brother of Sichilde, petitioned Dagobert on behalf of his young nephew, but Dagobert assassinated him and gave his younger sibling Aquitaine. Charibert died in 632 and his son Chilperic was assassinated on Dagobert's orders. By 632, Dagobert had Burgundy and Aquitaine firmly under his rule, becoming the most powerful Merovingian king in many years and the most respected ruler in the West. In 631, Dagobert led three armies against Samo, the rulers of the Slavs , but his Austrasian forces were defeated at Wogastisburg. Also in 632, the nobles of Austrasia revolted under the mayor of the palace, Pepin of Landen. In 634, Dagobert appeased the rebellious nobles by putting his three-year-old son, Sigebert III, on the throne, thereby ceding royal power in the easternmost of his realms, just as his father had done for him eleven years earlier. As king, Dagobert made Paris his capital. During his reign, he built the Altes Schloss in Meersburg (in modern Germany), which today is the oldest inhabited castle in that country. Devoutly religious, Dagobert was also responsible for the construction of the Saint Denis Basilica, at the site of a Benedictine monastery in Paris. Dagobert died in the abbey of Saint-Denis and was the first French king to be buried in the Saint Denis Basilica, Paris. The pattern of division and assassination which characterise even the strong king Dagobert's reign continued for the next century until Pepin the Short finally deposed the last Merovingian king in 751, establishing the Carolingian dynasty. The Merovingian boy-kings remained ineffective rulers who inherited the throne as young children and lived only long enough to produce a male heir or two, while real power lay in the hands of the noble families who exercised feudal control overmost of the land. Dagobert was immortalized in the song Le bon roi Dagobert (The Good King Dagobert), a nursery rhyme featuring exchanges between the king and his chief adviser, Saint Eligius (Eloi in French). The satirical rhymes place Dagobert in various ridiculous positions from which Eligius' good advice manages to extract him. The text, which probably originated in the 18th century, became extremely popular as an expression of the anti-monarchist sentiment of the French Revolution. Other thanplacing Dagobert and Eligius in their respective roles, it has no historical accuracy. In 1984, a 112-minute long French-Italian comedy, Le bon roi Dagobert (Good King Dagobert) was made, based on Dagobert I. The movie is surprisingly realistic in showing the realities of early barbarian France. The soundtrack was composed by Guido and Mauricio De Angelis. Dagobert was a serial monogamist. He married Nanthild and they had the following : - Clovis II, who inherited the rest of his kingdom at a young age when his father died. Regintrud who married into the Bavarian Agilolfings, either Theodo, Duke of Bavaria or his son Duke in Salzburg. He also had a mistress named Ragintrudis (Ragnetrude) and they had the following : - Sigebert III His other wives were: - Wulfefundis (Wulfegunde) - Bertechildis (Berthilde) - Gomentrude Source : http://en.wikipedia.org/wiki/Dagobert_I |
Eglise abbatiale de Saint-Denis |
Mariés sous la contrainte de Clotaire II et répudiée en 631 sans postérité Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
La chapelle Saint-Denis Source : http://www.france-pittoresque.com/reines-france/indexb.htm |
Relation |
Sans postérité Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
Sans postérité Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
Marié avec Clotilde de Saxe, dont - Thierry IV de Chelles ca 713-737 Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
Monastère de Choisy |
Escurey (55, Meuse) |
Envoyé en exil en Irlande par Grimoald alors qu'il était tout enfant, il reviendra une fois adulte en France, et sera Roi d'Austrasie de 676 à 679 (Source : Gregoire de Tours) Selon une source ( http://www.france-pittoresque.com/rois-france/dagobert-IIb.htm ), il aurait eu de sa femme Mechthilde plusieurs filles dont la future Sainte Hermine (ou Irmine, ou Irmina), abbesse d'Oëren. D'autres sources sur la Toile confirment cette idée, mais certaines la considèrent comme une simple supposition, et non un fait avéré. A vérifier, si c'est possible. canonisé en 872 Héritier légitime de Sigebert III, tondu et relégué en Irlande par le maire du palais Grimoald qui lui substitua son fils Childebert l'Adopté, Dagobert revint en Gaule à la mort de Childéric II (675). Pieux, bienfaiteur des clercs et fondateur de monastères, il voulut imposer le maire du palais Goufaud mais les leudes lui préféraient la puissante famille des Pippinides. Il ne parvint pas à contenir leur insubordination et ils l'assassinèrent au cours d'une partie de chasse. (S.Fourlinnie - Histoire des rois de France par Pascal Arnoux) Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
Mort jeune, empoisonné par Marcatrude Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
Tué |
Né d'une relation entre Clotaire et ? Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
Après l'assassinat de Sigebert par Chilpéric en 575, Brunehaut se tourne alors vers le frère de celui-ci, Gontran, roi de Burgondie, qui n'a plus de fils. Il accepte d'adopter Childebert, fils de Brunehaut, en 577. Par la suite, Frédégonde, menacée par les grands de Neustrie après la mort de Chilpéric en 584, appelle Gontran à Paris pour qu'il rentre en possession du royaume de son frère, et qu'il prenne aussi sous sa protection son fils Clotaire (futur Clotaire II). Gontran accepte de considérer Clotaire comme un "fils adoptif", obligeant les grands de Neustrie à la reconnaitre comme héritier légitime de Chilpéric. En adoptant ses neveux, Gontran cherche à stabiliser la situation en Austrasie et en Neustrie, tout en affirmant son hégémonie sur l'ensemble du royaume franc. Deux ans plus tard, au traité d'Andelot (587), Gontran fait de Childebert II son unique héritier. En même temps, sont réglés tout les problèmes territoriaux : à Gontran, sont attribués la partie aquitaine du royaume de Charibert qu'iltenait déjà et le tiers méridional de la "cité" de Paris. Childebert obtient Meaux, Tours, Poitiers, les deux tiers de la cité de Senlis, une partie de l'Aquitaine. Il conserve l'Auvergne et ses annexes, Marseille, Avignon et Uzès. On règle le problème du douaire constitué pour Galswinthe par Chilpéric en Aquitaine : la propriété en revient à Brunehaut. Gontran meurt en 592. Source : Régine Le Jan |
Basilique Saint Marcel, près Châlon-sur-Saône |
En Afrique |
En raison de sa foi catholique (du moins c'est la version de Grégoire de Tours), elle fut maltraitée par l'épouse de Leovigild, Galswintha, qui était aussi sa grand-mère (elle était la mère de Brunechildis qu'elle a eu d'Athanagild). Ayant converti son époux à la foi catholique et celui-ci s'étant fait l'allié des Byzantins, il en résulta une guerre contre son père dans laquelle il fut battu et fait prisonnier. Refusant d'abjurer, il fut martyrisé à Tolède (Espagne) le jour de Pâques 13 avril 586, et l'Eglise le mit au nombre des martyrs de la foi au XVIe siècle. Inggonde meurt peu après (automne) en Afrique alors qu'elle se rend avec son fils chez l'Empereur. Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
Possible half-brother (by her mother) of Hildegonde de Cologne. According to the legend, Merovech was conceived when Pharamond's wife encountered a Quinotaur, a "sea monster", probably a foreign conqueror who raped her. Il aurait été le père de Childéric Ier et aurait participé à la bataille des champs Catalauniques (451) contre Attila Il donna son nom à la dynastie des Mérovingiens : "Certains prétendent que de la lignée de Chlodion est sorti le roi Merovech" [Grégoire de Tours, Histoire des Francs]. Les Mérovingiens constituèrent la première dynastie qui régna sur la majorité des territoires français et belge, du Ve siècle jusqu'au VIIIe siècle, immédiatement après l'occupation romaine de la Gaule. Ils sont issus des Francs saliens qui étaient établis au Ve siècle dans les régions de Cambrai (Clodion le Chevelu) et de Tournai, en Belgique (Childéric). (Wikipédia) Le nom mérovingien provient du roi Mérovée, ancêtre légendaire de Clovis. Merovech (Latin: Meroveus or Merovius; French: Mérovée) is the legendary founder of the Merovingian dynasty of the Salian Franks, that later became the dominant Frankish tribe. The name is a latinization of a form close to Old High German proper name Marwig, lit. "famed fight" (cf. mari "famous" + wig "fight"). There is little information about him in the later histories of the Franks. Gregory of Tours only names him once as the father of Childeric I while putting doubt on his descent from Clodio. Many admit today that this formulation finds its explanation in a legend reported by Fredegar. The Chronicle of Fredegar interpolated on this reference by Gregory by adding Merovech was the son of the queen, Clodio's wife; but his father was a sea-god, bistea Neptuni. No other historical evidence exists that Merovech ever lived. Some researchers have noted that Merovech, the Frankish chieftain, may have been the namesake of a certain god or demigod honored by the Franks prior to their conversion to Christianity. It has been suggested Merovech refers to or is reminiscent to the Dutch river Merwede, nowadays part of the Rhine-Meus-Scheldt delta but historically a main subsidiary of the Rhine, in the neighborhood of which the Salian Franks once dwelled according to Romanhistorians. Another theory considers this legend to be the creation of a mythological past needed to back up the fast-rising Frankish rule in Western Europe. According to another legend, Merovech was conceived when Pharamond's wife encountered a Quinotaur, a sea monster which could change shapes while swimming. Though never stated, it is implied that she was impregnated by it. This legend was related by Fredegar in the seventh century, and may have been known earlier. The legend is probably a back-formation or folk etymology used to explain the Salian Franks' origin as a sea coast dwelling people, and based on the name itself. The "Mero-" or "Mer-" element in the name suggests a sea or ocean (see Old English "mere," Latin "mare," or even the Modern English word "mermaid," etc.). The "Salian" in "Salian Franks" may be a reference to salt, a reminder of their pre-migration home on the shores of the North Sea (alternatively, it may refer to the Isala or IJssel river behind which their homeland, the Salland, may have been located). The legend could also be explained in a much easier way. The sea monster could have been a foreign conqueror, coming from the sea, taking the dead king's (Chlodio or Pharamond) wife to legitimise his rule. The first Frankish royal dynasty called themselves Merovingians in his honor. Merovech may have been the father of Childeric I who may have succeeded him. Source : http://en.wikipedia.org/wiki/Merovech |
En 576, est mis à la tête d'une armée se dirigeant vers Poitiers, mais s'arrête à Tours qu'il dévaste. Il se rend ensuite à Rouen où il épouse Brunehault, la veuve de son oncle. Ayant encouru pour cela la colère de son père, il se réfugie dans la basilique Saint Martin où il parvient à l'apaiser. Peu après, toutefois, provoquant de nouveau son courroux, il est placé sous bonne garde. Il est même tonsuré et ordonné prêtre. Il réussit cependant à se réfugier de nouveau dans la basilique Saint Martin où il tient tête quelque temps à son père. Enfin, vaincu par trahison, il se fait tuer par un familier à Thérouanne (Pas de Calais) en 577. En 584, sa dépouille est transférée solennellement à Paris et déposée dans l'abbaye de Saint-Germain-des-Prés à côté de celle de son jeune frère Clovis. Source : J-C de Vaugiraud (P.Van Kerrebrouck: La Préhistoire des Capétiens, 1993) |
Abbaye de Saint-Germain-des-Prés |
Regintrud (also Reginlind and Regentrud) is something of an enigma. The sources quoted by Schreibner indicate that the records show a Regentrud as the sister of Adela of Pfalzel and daughter of king Dagobert I. This is supported by the following : Another Regentrud being listed in the tradition book of the Nonnberg Abbey as regentrudis regina (marking her a Merovingian princess). The names of her sons, through her marriage to duke Theodo of Bavaria, are also Merowingian, that is, from the families of Regentrud and Adela. According to these sources, 8th century witnesses only mention Folchaid as the wife of Theodo. The supposition that queen Regintrud, the benefactor of the abbey founded by Rupert of Salzburg and Theodo mentioned above, must therefore be the wife of Theodo, is attributed to the 15th century historians Suntheim and Aventin. As an alternative explanation, the sources suggest that Regintrud was the queen of Theudebert, who may have had his support of the abbey attributed instead to his late father, Theodo. After the death of Theudebert, another Regentrud entered the Nonnberg Abbey and later became abbess in 720-725. This is listed in the Salzburger Verbrüderungsbuch in 784. Assuming the abbess Regentrud and queen Regentrud are one in the same, she may have entered the abbey on her husbands death. This could explain why the name of Theudeberts wife is excluded in the communion book of St. Peter in respect for her position as abbess. However, much of this is mere speculation based on the individuals named being one in the same. The following lineages have been suggested : - Daughter of the Seneschal (and Pfalzgraf) Hugobert and Irmina of Oeren. - Daughter of Dagobert I - Daughter of Childebert III Children of Regintrud and first husband : - Pilitrud Children of Regintrud and Theudebert : - Hugbert of Bavaria, heir to the duchy - Swanachild, wife of Charles Martel - Guntrud, wife of Liutprand Source : http://en.wikipedia.org/wiki/Regintrud |
Son départ pour l'Espagne, en septembre 584, fut l'occasion de multiples mésaventures. A la fin, lorsqu'on apprit en cours de route la mort du roi Chilpéric, son père, sa propre escorte l'abandonna et la dépouilla. Elle regagna alors le palais de sa mère où elle se livra à la débauche, se querellant sans cesse avec elle,qu'elle faillit même la tuer en 589. Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
Mort de la dysenterie |
Assassiné |
Le partage de Clotaire 1er lui attribua l'Austrasie avec Reims et Laon, L'Auvergne et une partie de la Provence (décembre 561). Assassiné en 575 par son demi-frère Chilpéric à Vitry-en-Artois. En effet, Brunehaut avait réussi à faire entrer son mari en guerre contre son frère, pour se venger du meurtre de Galswinthe, tuée sous les ordres de Frédégonde sa concubine. Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
Abbaye Saint-Martin-des-Champs de Metz, puis Saint-Martin de Metz (XIIe siècle), Saint-Georges de Nancy (1552) |
D'une grande piété, ce qui lui valut sa canonisation et une grande popularité en Lorraine, il fonda plusieurs monastères. Avant la naissance du futur Dagobert II, Sigebert avait adopté, sous la pression du maire du palais Grimaud (Grimoald) le fils de ce dernier, Childebert. A la mort de Sigebert III, en 656, Grimaud se débarrassa du petit Dagobert en l'enfermant dans un monastère en Irlande et mit sur le trône son fils. Ce coup de force entraîna une réaction de la Neustrie, Grimaud fut fait prisonnier. Quant à Childebert ("l'adopté"), il fut roi d'Austrasie jusqu'à sa mort en 662. Source : C.Chéneaux ("Le baptême de Clovis") Seul roi mérovingien canonisé, son culte resta vivace en Lorraine. Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
Mariée vers 540 avec Hermengisel N, roi des Warnes Mariée vers 547 avec Radegisel N, roi des Warnes Il semblerait qu'elle épouse en secondes noces le propre fils d'Hermengisel, Radegisel, vers 547. Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
Abbaye Saint Pierre le Vif |
Au cours d'une campagne en Italie |
Mort d'une chute de cheval en 547, il fut peut-être inhumé à Metz. Son fils Théodebald lui succéda. Théodebert seconda son père contre les Danois et les Ostrogoths. Il entreprit la conquête de la Septimanie wisigothe (533), que la mort de Thierry 1er interrompit. Il devint roi d'Austrasie et d'Auvergne. Marié vers 534 avec Wisigarde dei Longobardi +553 Marié en 535 avec Deutérie de Narbonne ca 503-ca 548 (répudiée en 540) Marié après 540 avec Ne N Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
Tué |
Son corps fut recueilli par Arnulf, un habitant de la Touraine, qui l'ensevelit à Angoulême. Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
Austrasie : littéralement royaume de l'est, opposé à Neustrie, royaume de l'ouest ou nouveau royaume (étymologie incertaine). Il hérita d'un vaste royaume sur la rive droite du Rhin, notamment (Mayence, Cologne, Trèves), et rive gauche (Belgique, Reims, Châlons-sur-Marne). Il se tailla la part du lion dans les possessions méridionales prises par son père (qu'il assistait) sur les Wisigoths : Quercy, Albigeois, Auvergne, Velay, Limousin. Nombreuses batailles contre les Thuringiens, les Bavarois, les Saxons. Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
Relation avec Ne N, dont : - Sigebert II 601-613 - Corbus de Bourgogne +613 - Childebert de Bourgogne 603 - Mérovée de Bourgogne Ses concubines lui auraient donné Sigebert, Childebert, Corbus et Mérovée. Mort à Metz d'une subite crise de dysenterie fin août ou début septembre 613, il y fut inhumé. Son fils Sigebert II lui succéda. Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
Répudiation |
Mort de maladie |
Abbaye de Saint-Vincent (Saint-Germain), ou Saint-Denis |
Theuderic III (or Theuderich, Theoderic, or Theodoric; in French, Thierry) (654 âking of all the Franks from 679. The son of Clovis II and Balthild, he has been described as a puppet âbrother Clotaire III in Neustria in 673, but Childeric II of Austrasia displaced him soon thereafter until he died in 675 and Theuderic retook his throne. When Dagobert II died in 679, he received Austrasia as well and became king of the whole Frankish realm. He and the Neustrian mayor of the palace, Waratton, made peace with Pepin of Heristal, mayor of the palace of Austrasia, in 681. However, on Waratton's death in 686, the new mayor, Berthar, made war with Austrasia and Pepin vanquished the Burgundo-Neustrian army under Berthar and Theuderic (a Neustrian) at the Battle of Tertry in 687, thus paving the way for Austrasian dominance of the Frankish state. He married Clotilda, a daughter of Ansegisel and Saint Begga of Landen. They had the following children : - Bertrada of Prüm (676-740), married Martin of Laon - Clovis IV, king (691-695) - Childebert III, king (691-695) And possably: - Clovis III, king of Austrasia (675-676) - Clotaire IV, king of Austrasia (717-719) Source : http://en.wikipedia.org/wiki/Theuderic_III_of_the_Franks |
En la basilique Saint-Vaast |
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