Lieu : Minimes du Mas d'Agenais |
Le château et fief de Xaintrailles se trouvent en Agenais. Source : Denis de RAUGLAUDRE |
Il achète à Jean V d'ARMAGNAC, pour 10.000 écus d'or, la vicomté de Bruilhois. Une longue procédure s'engage entre l'acheteur et le vendeur, qui ne se terminera qu'après plus d'un siècle en 1555. |
Poton était un surnom du maréchal et non son nom de famille, comme il apparaît clairement par son testament (B.N.F., Collection Dupuy) : "Per so, sapiant totz presens et avenir que jo, Johan de Sentralles, vulgairement nommat Poton, mareschal de France, estant en la present civitat de Bourdeu, en lo castet royau de Trompeta, deuquau castet ay la garda per lo Rey..." "Loquau presan testament ey feyt escruire per so que no say escruire, fors et exceptat mon nom Poton, a Johan Guichard, clerc, notayre reyau en la seneschalia de Guianna, claus solempnaument." |
Décède au château Trompette. |
Fils de Fort Sanche de SANTARALHA alias SAINTRAILLES ou XAINTRAILLES (1411). Blason disponible à cette adresse : http://gw.geneanet.org/index.php3?b=jmg2003&lang=fr;p=jean+poton;n=de+xaintrailles Source : Jean-Michel GIL Son portrait est disponible sur le site de Denis de RAUGLAUDRE Compagnon de Jeanne d'Arc (http://geneweb.inria.fr/roglo_w?lang=fr;m=NOTES;f=Listes:Jeanne_la_Pucelle). Les seigneurs de Xaintrailles sont connus depuis le commencement du XIème siècle, époque où un accord authentique est passé entre le seigneur de Xaintrailles, le baron de Durance et les religieux d'Argentens, de l'ordre des chevaliers deSaint-Jean de Jérusalem (ou de Malte), dans la commune de Pompiey. Le maréchal Pothon de XAINTRAILLES est le plus illustre et le dernier de cette race guerrière. C'est sa petite-nièce Béatrix de PARDAILLAN qui porte le château de Xaintrailles à son époux Bernard de LAMOTHE qui s'en dit seigneur en 1497. Il est fait prisonnier par Jean des MAZIS, bailly de Dourdan, et libéré contre forte rançon. Source : Denis de RAUGLAUDRE |
Mariée avant février 1530 avec Jean RASPAUD (Ecuyer. Coseigneur de Colomiers. Né en 1484), fils de Pierre RASPAUD (Coseigneur de Colomiers. Héritier universel de Noble Pierre Raymond RASPAUD alias Garaud. Décédé avant 1500) et de NoblePeyrone de PUYBUSQUE, mariés le 3 septembre 1476. Source : Denis de RAUGLAUDRE |
Fille puînée Source : DE LA CHESNAYE-DESBOIS F.A.A. - Dictionnaire de la noblesse - Tome I - 2nde édition (1770) - Pages 142 |
Tome I - 2nde édition (1770) - Pages 142 |
Il donna 30 sols en 1510 pour acheter une croix pour l'église d'Aucamville. Source : Denis de RAUGLAUDRE |
Notes relatives à la famille D'YSALGUIER : "L'histoire de cet Ansèlme Ysalguier, membre d'une grande famille toulousaine dont on connaît encore aujourd'hui des descendants, est belle mais peut-être légendaire, [...] elle date du début du XVème siècle. Il aurait voyagé en Afrique et jusqu'aux bords du Niger, et il aurait ramené de Gao une épouse noire dont la réputation de bonté, presque de sainteté, se répandit à Toulouse. Il en aurait eu plusieurs enfants, dont une fille, Marthe, qui fut mariée au sire deTaudoas. Le château de Pinsaguel qui fut la propriété des descendants des Ysalguier comporte une tour qu'on appelle la "tour du Maure". Il se peut que ce soit le nom qui ait donné naissance à une légende : l'histoire n'est racontée que dans une chronique bien postérieure puisqu'elle est du XVIIème siècle. [...] elle s'attache à une famille de changeurs toulousains connus dès le XIIIème siècle ou même plus tôt si l'on tient compte des "Uzalgerius" à Elne en l'an 1020, voire des "Isalgarus" qui figurent dès le Xème siècle sur le cartulaire de l'abbaye de Conques. Le premier représentant qui en soit bien connu porte le titre de mercator, Raymond Ysalguier, et ce nom revient 50 fois dans les listes de capitouls de Toulouse aux XIVème et XVème siècles." Source : Régine PERNOUD - La femme au temps des croisades (EAN : 9782253061526) - page 214 Les Ysalguier de Toulouse émergent à la fin du XIIIème siècle avec le changeur Raymond YSALGUIER, capitoul en 1295-1296, "valet" du roi, anobli en 1328. Ses descendants achetèrent des seigneuries - ainsi celle d'Auterive en 1361. Ph. Wolff, Une famille du XIIIe au XVIe siècle : les Ysalguier de Toulouse, Mélanges d'histoire sociale, 1942, p. 35-58. Source : Ph. CONTAMINE - La noblesse au royaume de France de Philippe le Bel à Louis XII - PUF, 1997 (1ère édition) - ISBN 2 13 048763 7- page 97 |
page 388 |
Elle est nommée Dauphine de BONNE sur le testament de Jean IV de VILLENEUVE son époux. => Dauphine de BONNE = Dauphine YSALGUIER-BONHOMME ? |
Ascendance non certaine car doute sur l'identité de l'épouse de Jean IV de VILLENEUVE. Le testament de ce dernier fait mention de Dauphine de BONNE et non de Dauphine YSALGUIER-BONHOMME |
Mariée en 1493 avec Jean III de LUXE (Baron de Luxe. Né en 1470, décédé après le 1er avril 1507) Source : Benoît de BOYSSON Mariée en 1493 avec Jean III de LUXE (Baron de Luxe. Né en 1470, décédé en 1519), fils de Jean II de LUXE et de Juana de BEAUMONT, mariés en 1469 Source : Denis de RAUGLAUDRE |
En 1428 selon Denis de RAUGLAUDRE |
Marié avec Marguerite de TERRIDE, fille de Bertrand Ier de TERRIDE (Vicomte de Terride. Décédé en 1367) et de Eléonore de LÉVIS Mirepoix (Née en 1344, décédée en 1374), mariés en 1361 Source : Denis de RAUGLAUDRE |
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