Parrain : ROUXNADE Jean Marraine : CROUZEIX Françoise |
Entre le 25/2/1783 et le 10/4/1795 |
A l'âge de 54 ans et demi Témoins : MESURE Louis et Guillaume ses beaux frères |
Témoins de la future : ROUX Louis et MESURE Joseph de Vernines |
frère du futur |
Le 9 février 1790 à Vernines selon famille MONTAIGNE-COUGOUL |
Cultivateur |
Sosa 484 d'Annie FRIER |
Journalier |
Témoins de l'époux : BANNY Thomas et CROUZEIX Jean journaliers à Vernines Témoins de l'épouse : FOURNIER Alexis et Pierre journaliers à Vernines |
Parrain : VALAIX Henry de Vernines Marraine : CHANTADUC Jeanne de Vernines |
Mariée à 23 ans le 27/2/1786 à Vernines avec Jean DAUPHIN, 21 ans, fils de Pierre et Alix COUGOUL Témoins : DELPEUX Etienne son frère et BAGNIX Etienne |
BAPTEME: Parrain : Bonnet DAURIERE (journalier, Neufville) Marraine : Jeanne CROUZEIX (Vernines) MARIAGE: Mariée le 6/2/1769 à Vernines avec Louis DAUPHIN fils de Georges et feue Marie OLLIER, habitant de Fontsalive |
Parrain : DAUPHIN Louis de Fontsalive Marraine : Demoiselle RONNAT Marie de Vernines |
Cultivateur |
33J867 / 500 |
Témoins : DAUPHIN Jean (signe) et FAUGÉRAS Joseph (ne signe pas), sacristains |
Descendance : - BALLET Marie (Née le 18/3/1811 à 10h à Ribeyre), présents : Jean DELPEUX dit Nade (55 ans, cult. à Chavalard, ne signe pas) et Pierre BALLET (ayeul paternel de l'enfant, 66 ans, cult. à Ribeyre, ne signe pas). Source : 6E450/4 - 6 - BALLET Marguerite née (Source : 6E450/4 - 29) le 17/10/1812 à 1h à Ribeyre, présents : Pierre BALLET (ayeul de l'enfant, 60 ans, cultivateur à Ribeyre, ne signe pas) et Michel LAFFARGE dit Jean BAL (50 ans, cultivateur à Ribeyre, ne signe pas); mariée (majeure, Ribeyre, ne signe pas) le 27/4/1853 (Source : AD63 - 33J867 / 364) avec LAFARGE Jean (majeur, cultivateur à Ribeyre, ne signe pas), fils de Julien et de VALLEIX Marianne, Dispense de l'empechement de consanguinité du 3ème au 4ème degré, présents : OLLIER Jean et BAUDONNAT Louis, BALLET Jean et Louis frères à l'épouse, ne signent pas - BALLET Marie (Née le 14/1/1815 à 6h à Ribeyre), présents : Pierre BALLET (ayeul de l'enfant, 68 ans, cultivateur à Ribeyre, ne signe pas) et Jean BALLET (oncle de l'enfant, 34 ans, cultivateur à Chavalard, ne signe pas). Source : AD63- 6E450/4 - 65 - BALLET Gabriel (Né le 5/10/1816 à 6h à Ribeyre, présents : ROUX Jean (oncle de l'enfant, 34 ans, cultivateur à Chavalard, ne signe pas) et DELPEUX Jean dit Nade (ayeul de l'enfant, 60 ans, cultivateur à Chavalard, ne signe pas). Source : AD63 - 6E450/4 - 95. Décédé après le 14/5/1846 - BALLET Marie née le 24/4/1818 (Source : AD63 - 6E450/4 - 115) à 1h à Ribeyre, présents : BALLET Jean (oncle, 36 ans, cultivateur à Chavalard, ne signe pas) et DELPEUX Jean dit Nade (ayeul, 66 ans, cultivateur à Chavalard, ne signe pas. Mariée (majeur, cultivatrice à Ribeyre, ne signe pas) le 1/6/1846 (Source : AD63 - 33J867 / 199) avec COURTIAL Jean (majeur, cultivateur à Ribeyre, signe), fils de feu François et de feue Marie LAFARGE. Dispense de consanguinité du 3ème degré - BALLET Jean, décédé après le 14/5/1846 - BALLET Jean marié (majeur, cultivateur à Ribeyre) le 14/5/1846 (Source : AD63 - 33J867 / 195) à Vernnines avec LAFARGE Antoinette (majeure, cultivatrice à Chavalard), fille de Louis et de Marie MESURE, présents : BALLET Jean, Louis et Gabriel (frères de l'époux, ne signent pas) et LAFARGE Julien (ne signe pas). Dispense de double consanguinité du 3ème au 4ème et du 4ème degré - BALLET George marié (28 ans, cultivateur à Vernines, ne signe pas) le 9/9/1856 (Source : AD63 - 33J867 / 433) à vernines avec AUDIGIER Jeanne (27 ans, Vernines, ne signe pas), fille de Annet (ne signe pas) et de feue DUMONTEL Marie, présents : BALLET Jean (frère de l'époux) et COURTIAL Jean (cousin de l'époux), ne signent pas. Dispense de l'empêchement de consanguinité au 4ème degré |
BAPTEME: Parrain : DELPEUX Etienne de Vernines Marraine : DELPEUX Marie de Vernines |
Parrain : OLLIER Etienne de Varaillie / Saint Bonnet Marraine : FOURNIER Marie de Vernines |
Mariée à l'âge de 23 ans le 9/2/1790 à Vernines avec Etienne DUMONTEL (24 ans), fils de Martin DUMONTEL et Catherine COUGOUL Témoins : DELPEUX Guillaume et Louis ses frères |
Parrain : Michel DAURIERE de Neufville Marraine : Marie FOURNIER de Neufville |
Mariée à l'âge de 21 ans le 27/2/1786 à Vernines avec François OLLIER fils de Jean OLLIER et Françoise FOURNIER Témoin : DELPEUX Etienne son frère |
Parrain : MONTEL Antoine de Bramaux / Nébouzat Marraine : MESURE Marie de Chavalard |
15 mois |
Parrain : Georges MESURE de Vernines Marraine : Marie FOURNIER de Vernines |
33J867 / 39 |
Présents : Pierre MIGNOT et Antoine FOUGERAS, ne signent pas |
Témoin de la future : ROUX Louis (cousin germain), cultivateur à Vernines |
oncle paternel de la future |
Parrain : Jean DELPEUX, journalier à Vernines Marraine : Marie VALLEIX, journalier à Neufville |
Sosa 215 de Maurice MICHEL |
Dispense de consanguinité du troisième au quatrième degré |
L'épouse est majeure. Témoins : - CROUZEIX Etienne - CROUZEIX Michel frère de l'époux - DELPEUX Toussaint oncle de m'épouse |
Parrain : SOULIER Michel de Chavalard Marraine : POUMIER Marie de Chavalard |
A l'âge de 2 jours |
Chez Maître LOURDON |
NAISSANCE: 4h du matin BAPTEME: Parrain : DELPEUX Toussaint Marraine : CROUZEIX Michelle |
Cultivateur |
4E238-8 / 19 |
Publications du mariages faites le 23 et le 30 janvier à 1825 à 10h. Présents : - GAVALDA Louis père, 55 ans, cultivateur à Serres / Farret, signe - GAVALDA Jean Joseph fils, 28 ans, cultivateur à Serres / Farret, signe - LAURAS Alexis père, 66 ans, cultivateur à Mommege / Farret, signe - LAURAS Alexandre fils, 41 ans, cultivateur à Mommege / Farret, signe |
Descendance : - PLATET Pierre baptisé le 17/3/1662 (AD12, 2E33-1 / 21) à Broquiès du village de ?, parrain : Pierre DELRAN dudit village, marraine : Catherine PLATET du village de Lonquays ? / paroisse de St Martin de Brousse - PLATET Jacques du village de ?nobil baptisé le 21/8/1668 (AD12, 2E33-1 / 24) à Broquiès, parrain : Gabriel DELRAN du même village, marraine : Antoinette VIGOUROUX du village de La ?staudier / paroisse de Saugane |
Descendance : - Elisabeth DELRAN 1802-1869 - Pierre , Jean DELRAN 1805 - Rosalie DELRAN ca 1810-1871 - Louis DELRAN 1814 - Marie , Victoire DELRAN 1818 - Marie , Anne , Margueritte DELRAN 1821 Source : Michel DELMON |
Marié avec Hildegarde N, dont : - Raoul le Grand ca 920-ca 952 Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
Mariée avec Aymon Ier, seigneur de Bourbon +954/, dont : - Géraud - Archambaud Ier "Le Franc" Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
Source : acte de mariage de sa fille Marie CHAVAILLON avec Jean COUILLARD |
Journalière |
Source : Ascendance de Geneviève de CHABANNES LA PALICE - Fichier "CHABANNES Genevieve.pdf" - page 42 |
Tué à Grusans |
Lignage Adhémar de Monteil, page 3 : http://racineshistoire.free.fr/LGN/PDF/Adhemar-de-Monteil.pdf |
Les Adhémar - Généalogie - Vol 1 (1900) - Page 47 |
Elle est nommée, avec son mari, dans une sentence arbitrale Source : Dr Barthélémy, Invent. chronol. et analytique des chartes de la maison de Baux n° 178 et tableau I |
Les Adhémar - Généalogie - Vol 1 (1900) - Page 47 |
Source : Lacroix, Arrondissement de Montélimar, II, 278 Panat (12) Source : Lignage Adhémar de Monteil, page 3 : http://racineshistoire.free.fr/LGN/PDF/Adhemar-de-Monteil.pdf |
Avant juillet 1031 Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
A propos de son deuxième mariage Berthe était la veuve de Eudes, comte de Blois. Mathilde, mère de cette princesse, était fille de Louis d'Outremer et de Gerberge de Saxe, et se trouvait cousine de Robert au deuxième degré ; plus malheureusement encore, Robert avait tenu, sur les fonts de baptême, un des enfants du premier lit de Berthe ; ce double empêchement n'avait point arrêté le mariage : la liaison de Berthe et Robert était ancienne, ayant pris corps du vivant de Hugues Capet ; Robert aimait Berthe, dont l'humeur était douce et la beauté remarquable. Pour rendre régulier un mariage que prohibaient les canons, on convoqua un synode qui fournit une dispense, et Archambaud de Sully, archevêque de Tours, les maria. Mais à peine les époux avaient-ils goûté le bonheur d'être ensemble quele pape Grégoire V appelé au trône quelque temps plus tôt réunit en 996 un synode à Pavie, où il fut décrété : « Le roi Robert, qui, malgré l'interdiction apostolique, a épousé sa parente, doit se rendre auprès de Nous pour Nous donner satisfaction, de même que les évêques qui ont autorisé ces noces incestueuses ; s'ils refusent de venir, qu'ils soient privés de la communion ». Le roi essaya inutilement de négocier, envoyant à Rome un ambassadeur réputé pour son habileté : « Nous avons certaines affaires en litiges avec le Saint-Siège, dit-il ;assurez Grégoire V que je lui donnerai satisfaction sur tous les points s'il me laisse ma femme ». Le pape refusa le compromis et ordonna, une fois encore, à Robert de quitter Berthe. L'ambassadeur revint à la cour de France, où le roi accueillit son message avec une grande colère : « Jamais je ne me séparerai de ma femme, dit-il. Elle m'est plus chère que tout au monde ! Je veux que l'univers entier le sache ! » Quelques mois passèrent, et le pape, en voyant l'obstination de Robert, convoqua à Rome en 998 un concile général qui rendit les graves sentences suivantes. Canon I : « Le roi Robert quittera Berthe, sa parente, qu'il a épousée contre les lois. Il fera une pénitence de sept années, selon la discipline de l'Église. S'il refuse, qu'il soit anathème. La même sentence est rendue contre Berthe ». Canon II : « Archambaud, archevêque de Tours, qui a consacré cette union, et tous les évêques qui ont assisté à ce mariage incestueux sont suspendus de la sainte communion jusqu'à ce qu'il soient venus à Rome pour y donner satisfaction ». L'arrêt du concile l'avait frappé d'excommunication, lui et sa femme, les rejetant ainsi de l'Église s'ils refusaient de se soumettre ; l'anathème, qui était la plus forte peine que le pape pût prononcer, condamnait vivant à la damnation éternelle. Profondément pieux, Robert pourtant ne céda point et garda son épouse qu'il préférait au salut de son âme. En voyant qu'il persistait, le pape fit plus : il lança un interdit sur toutes les terres du domaine du roi et mit sa menace à exécution, condamnant le souverain à sept ans de pénitence. Après la cérémonie d'excommunication, Robert et Berthe, glacés d'épouvante, s'enfermèrent dans leur palais. C'était la première fois qu'un tel arrêt frappait des populations entières : plus de chants sacrés, plus d'offices saints, plus de sacrements. On administrait seulement la pénitence aux malades et le baptême aux enfants en danger de mort ; on ne célébrait plus les saints mystères, les églises étaient fermées, les images des saints voilées ; la cloche n'annonçait plus l'approche d'une fête, le mariage d'un ami, ni l'agonie d'un frère ; une consternation muette frappa tous les cÅurs ; on supplia le roi de céder. Robert, en proie à une douleur amère, regardait tantôt son épouse aimée, tantôt son peuple en souffrance ; il voyait les seigneurs et les habitants de la cité fuir sa présence naguère tant chérie ; son palais était devenu désert. Ce jardin, si souvent rempli de la foule des pauvres que la libéralité du bon roi entretenait, était silencieux ; les pauvres mêmes redoutaient de goûter aux restes d'un excommunié ; ces restes étaient jetés comme souillés, et les vases qui les avaient contenus devaient être purifiés par le feu ; de toute la maison du roi, il n'était resté que deux serviteurs qui préparaient ces tristes aliments ; Berthe et Robert mangeaient le pain de la douleur dans l'amertume et dans les larmes. Cependant Berthe allait devenir mère, le roi se flattait que la naissance d'un héritier de son sceptre désarmerait la sévérité du pontife et ferait ratifier son union ; mais l'inquiétude et le chagrin avaient tari, dans le sein de la mère, les sources de la vie de l'enfant ; Berthe mit au monde un enfant mort, et le bruit, dont Abbon se fait l'écho dans ses chroniques, se répandit parmi la multitude crédule que la reine était accouchée d'un monstre qui avait les pattes et le cou d'une oie. Plus de bornes alors au désespoir des Parisiens, la clameur publique s'élève contre le couple royal ; la douleur des fidèles ne pouvait plus croître ; Robert céda enfin, laissant partir en 1001 la reine qui commençait à dépérir. Le jour des adieux, dès que Berthe eût franchi le seuil du palais et qu'elle fût hors de l'enceinte des murs de la cité, un cri de joie signala son départ ; les cloches en branle se firent entendre, la foule remplit les églises et de là se porta sous les fenêtres du roi pour le remercier. Si quelque chose put le consoler de son sacrifice, ce fut le bonheur qu'il vit renaître autour de lui ; mais s'il répudia Berthe, fournissant pour prétexte qu'elle ne lui avait pas donné d'enfant, il ne souffrit pas que l'honneur de cellequ'il avait appelée son épouse pût être terni ; il voulut qu'elle conservât le titre de reine et qu'elle fût entourée des mêmes respects que si elle était restée sur le trône. Berthe continua ainsi à voir son ancien époux, partageant secrètement sa couche chaque nuit. En 1008, après l'assassinat du favori du roi, elle effectua même avec Robert II un voyage à Rome où ils tentèrent d'obtenir du pape Sylvestre II l'annulation du mariage du roi avec Constance d'Arles qu'il avait épousée en 1003. Mais le souverain pontife refusa. Berthe mourut en 1031, peut-être au château de Melun. Robert, inconsolable, ne lui survécut que quelques mois. Berthe n'eut aucun enfant avec Robert II. Source : http://www.france-pittoresque.com/reines-france/berthe-bourgogne.htm |
Séparés car excommuniés pour mariage consanguin |
Mort jeune Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
Il est douteux car il n'est pas mentionné par Christian Settipani, dans "Les ancêtres de Charlemagne" (1989), ni par le même auteur dans "La préhistoire des Capétiens" (1993) ! Source : J-C de Vaugiraud Clodion dit le Chevelu (vers 395 - 448) était chef des Francs saliens et premier roi de la dynastie des Mérovingiens au début du Ve siècle. En 428, Clodion apprend que les villes de la Belgique Seconde, sont sans défense. En effet, le général romain Aetius a prélevé beaucoup de soldats de ces territoires pour combattre ses ennemis les Wisigoths. Surprises, les troupes romaines qui gardaient les passages, sont défaites, Clodion bat facilement les garnisons restantes et s'empare de Tournai, emporte Cambrai du premier assaut et réduit tout le pays des environs jusqu'à la Somme. En fait, plus que des pillages faciles, il cherche à conférer à son autorité de roi guerrier une assise territoriale, qu'il veut voir s'étendre, sur le riche territoire entre le Rhin, la Somme, la Meuse et la mer du Nord. En 431, Clodion qui célébrait les noces d'un grand seigneur de son armée près du bourg d'Helena âes annexés par les Francs. Clodion, qui n'était pas préparé à l'affrontement, est contraint de fuir et perd tout ce qu'il avait conquis sur l'Empire romain en deçà du Rhin. Cependant, conscient qu'il n'avait pas les moyens militaires pour occuper à nouveau le territoire, Aetius préfère négocier la paix et conclut avec Clodion un traité (fÅdus) qui fait des Francs, des « fédérés » combattant pour Rome, et les autorisait à s'installer dans l'Empire, en l'occurrence près du fisc impérial de Tournai. Il s'agit là des origines du futur royaume franc de Clovis Ier. Après vingt ans de règne, Clodion meurt vers l'an 448. On ne sait ni le nom de sa reine, ni le nombre de ses enfants. Il serait le père de Mérovée. Il existe une légende sur Clodion ou plus exactement sur Mérovée. Grégoire de Tours n'a pas voulu la reprendre car elle était trop païenne. Mais Frédégaire, chroniqueur de VIIe siècle, moins regardant, nous la donne. La voici résumée par Godefroid Kurth : « Un jour que la reine, femme de Clodion, se baignait dans la mer, un dieu s'unit à elle, et de cette union naquit Mérovée, le héros éponyme de la dynastie franque. » Le dieu en question est une"Bistea Neptuni", un Quinotaure, un dieu fluvial cornu. Cette fable semble très ancienne, elle nous dit ce que Grégoire de Tours ne nous dit pas : Mérovée avait pour mère la femme de Clodion. Selon l'auteur du Liber Historiae Francorum le père de Clodion le Chevelu serait Pharamond, qui lui même serait le fils de Marcomir. Cette généalogie, écrite plus de 330 ans après les faits, est reconnue par les historiens contemporainscomme fabuleuse. Des généalogistes des XXe siècle et XXIe siècle lui ont inventés de toute pièce une famille (Blésinde, Inbergide, Argotta, Clénus, Hildegonde, Clodeswinthe, Chodebaud, Alberic, Adalbert...). Ces personnages sont des Faux Mérovingienset n'ont aucune valeur historique. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Clodion_le_Chevelu Chlodio was a king of the Salian Franks from the Merovingian dynasty. He was known as a Long-Haired King and lived at a place on the Thuringian border called Dispargum. From there he invaded the Roman Empire in 428 and settled in Northern Gaul, where already other groups of Salians were settled. Although he was attacked by Romans he was able to maintain his position and 3 years later in 431 he extended his kingdom down south to the Somme River. In 448, 20 years after his reign began Chlodio was defeated at an unidentified place called Vicus Helena by Flavius Aëtius, the commander of the Roman Army in Gaul. Like all Merovingian kings Chlodio had long hair as a ritual custom. His successor may have been Merovech, after whom the dynasty was named 'Merovingian'. One legend has it that his father was Pharamond. The sources on Chlodio's history are Gregory of Tours and Sidonius Apollinaris. Source : http://en.wikipedia.org/wiki/Clodio |
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