Marié le 15 janvier 1032 avec Agnès de Bourgogne 990-1068, divorcés entre 1049 et 1052 Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Geoffroy_Ier_d'Anjou |
Tué au siège de Marçon, près de Château-du-Loir Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Geoffroy_Ier_d'Anjou |
Geoffroy Ier (Gaufridus ou Gauzfredus) d'Anjou, dit Grisegonelle, était de la famille des Ingelgeriens. Il fut un comte caroligien, câe ouest par le contrôle du comté de Nantes et à progresser vers le Poitou. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Geoffroy_Ier_d'Anjou L'identite de la première épouse est très contreversée, selon certains elle serait fille de Robert I de Troyes? Source : Francis CAYRE |
N'est pas fils de Textulle du Gâtinais ! Les parents d'Ingelger demeurent inconnus à ce jour ! Wikipédia à l'aide des "tablettes généalogiques" de Jean de Turkheim, datées par ce site de 1964 (alors que c'est une ré-édition d'un grimoire datant de 1810 !) donne quelques bon faits historiques sur la famille des ascendants du Gâtinais mais il serait très dommageable pour la crédibilité de la base que l'on fasse état aujourd'hui de telles filiations ! Pas un seul des chercheurs/historiens/généalogistes de notre siécle (et même du siècle écoulé) ne tiendrait pour sérieux ce type de filiation : pour ma part je souhaite que l'on détache la descendance de ce Textule de la filiation des Ingelger. Je suis assailli par un doute : quelque magicien ayant sous les yeux un vieux grimoire du XVI-XVIIème ne serait-il pas tenté un de ces jours, de remettre "à jour" la généalogie des rois de France jusqu'aux Troyens (cela figurait texto alors !). JB de La Grandière 7/6/2010 Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
Source : a? b? c? d? e? (en)Butler's Lives of the Saints p182 [archive] Alban Butler, Paul Burns 1995 ISBN 0860122581 |
Évêque |
Au monastère de Saint Symphorien |
Comme Sigebaud le 34e évêque de Metz, il est issu de la famille Ansbertina d'Albi [http://www.newadvent.org/cathen/01267a.htm]. Pour certains hagiographes Goëri était le fils de Gamardus, lui même frère de Ansbert le sénateur et petit fils de Tonantius Ferreolus [Histoire des institutions politiques de l'ancienne France tome 6, livre II, p144 [archive] Fustel de Coulanges, Paris, Hachette, 1907 "? a? b? c? d? e? f? g? Saint Goëric [archive] Daniel Bigerel, Cercle d'études locales de Houdemont]. Il était marié et avait deux filles. Il a été d'abord soldat puis deviendra gouverneur de l'Albigeois [http://histoire.egliseepinal.com/page18.html]. On dit qu'il aurait été officier auprès du roi Dagobert Ier mais cela pose des problÀ 2 CONC (me de date puisque Dagobert ne deviendra roi qu'en 629, après l'accession de Goëri au trône épiscopal[a? b? c? d? e? (en)Butler's Lives of the Saints p182 [archive] Alban Butler, Paul Burns 1995 ISBN 0860122581]. Il apparaît cependant dans le testament du roi de 636, sous le nom d'Abbo [http://histoire.egliseepinal.com/page18.html]. Devenu aveugle il aurait été miraculeusement guéri par l'apposition d'une pierre ayant recueille le sang du martyr Étienne [http://histoire.egliseepinal.com/page18.html] (une autre tradition veut que ce soit lors d'un pèlerinage auprès de son oncle Arnoul de Metz alors évêque de la cathédrale dédiée à ce saint [Dictionnaire du département de la Moselle p292 [archive], Claude Philippe de Viville 1817]). Il est ordonné prêtre par Arnoul de Metz auquel il succède en 627 (625[a? b? c? d? e? (en)Butler's Lives of the Saints p182 [archive] Alban Butler, Paul Burns 1995 ISBN 0860122581] ou 629 [http://histoire.egliseepinal.com/page18.html]) au poste d'évêque de Metz. En tant qu'évêque il a fait transférer les reliques de son prédécesseur en 641 dans l'église des Saints-Apôtres de Metz. Il a également bâti l'église Saint Pierre [Fiche PM88000283 [archive]sur la base Palissy] et l'abbaye d'Epinal pour ses deux filles Precia et Victorina. Il a entretenu une correspondance avec l'évêque Didier de Cahors dont certaines lettres sont arrivées jusqu'à nous [a? b? c? d? e? (en)Butler's Lives of the Saints p182 [archive] Alban Butler, Paul Burns 1995 ISBN 0860122581]. Il est mort en 644 (642 [a? b? c? d? e? (en)Butler's Lives of the Saints p182 [archive] Alban Butler, Paul Burns 1995 ISBN 0860122581] ou le 19 septembre 647 [http://histoire.egliseepinal.com/page18.html]). Saint catholique, il est fêté le 19 septembre. Au Xe siècle, ses reliques (sauf sa tête [http://histoire.egliseepinal.com/page18.html]) ont été transférées de l'abbaye Saint-Symphorien jusqu'à Épinal. Cet événement est localement commémoré le 15 avril. Il est le saint patron de la ville d'Épinal qui était un important lieu de pèlerinage au Moyen-Age [http://histoire.egliseepinal.com/page18.html]. Un tableau de 1725 conservé dans la basilique Saint-Maurice d'Épinal représente Goëri entrouré de ses deux filles. cf. http://www.saarland-biografien.de/Goericus-auch-Abbo |
page 328 |
Mariée le 23 février 1535 avec Raymond de BECCARIE de PAVIE, seigneur de Fourquevaux Source : Site D'Agos (Armorial du Pays d'Oc) C.M. le 23 février 1534, avec Raymond de BECCARIE de PAVIE de ROUER (Baron de Fourquevaux. Capitoul de Toulouse (1543). Gendarme dans la compagnie du sieur de Nègrepelisse à Pavie en 1527. Gouverneur de Turin en 1537) Source : Denis DE RAUGLAUDRE |
Fils d'Antoine d'ANTICAMARETA (né vers 1420, bachelier ès décrets en 1438) et de noble Marguerite VIDAL, mariés vers 1445. Descendance disponible sur ce site : http://www.vivies.com/index.php?title=Anticamareta |
page 328 |
Epouse en premières noces Marguerite dâ Source : Site Armorial du Pays d'Oc Cité dans document de travail Etats des Fonds série J 13 sur le site des AD 81 : "Livre des reconnaissances d'Antoine d'Anticamaret. Ecuyer, soigneur de Villeneuve Les Lavaur. Table des tenanciers. Quelques notes ou notes transcrits sur les feuillets .Non numérotes se reportent à la chapelle N.D de Gonsolation de Château de Villeneuve. Nomination d'un chapelain (1511, n.st.) inventaire de reliques donnée par le vicomte Atoin de Lautrec seigneur de mont fa, provenant de la chapelle de ce château (1519, etc...) On lit en haut du dernier feuillet de parchemin : « L'an mil sis sans vint et le vint et huit hième jour du mois de setenbre un dimanche matin je esté reseu chevalier de la vierge Marie et de la gran croix par François Rubens abbé de saint Bedar acounpanié de trois austre chevaliers ettoutes les serimoinies ce firet a ma chapelle Notre Dame d'Esxpérance. Jacques d' Anticamarete.» 1515 (n. st.)" Ce Jacques d'ANTICAMARETA était l'arrière-petit-fils d'Antoine : Antoine d'ANTICAMARETA (Seigneur de Villeneuve, 1490-1530) x2 Imberte de LAUTREC, d'où Georges François d'ANTICAMARETA (Seigneur de Villeneuve, +1576) x Gabrielle de SÉGUIER, d'où Pierre d'ANTICAMARETA x Jeanne de SÉRINHAN, d'où Jacques d'ANTICAMARETA Sources : - Courriel de Gilastie (3/11/09) - http://fr.groups.yahoo.com/group/genealogie-tarn/message/57603 - Courriel de J.L. DEGA (3/11/09) - http://fr.groups.yahoo.com/group/genealogie-tarn/message/57605 |
Le 23 avril 1526 selon DE RAUGLAUDRE Denis |
Marié le 7 juillet 1546 avec Agnès de COMMINGES, fille de François Roger Ier de COMMINGES (Vicomte de Bruniquel, Cazals et de Genebrières; Seigneur de Corodes) et de Antoinette de CAZILLAC (Née en 1498) Source : Denis de RAUGLAUDRE Marié avec Jeanne Anne De COMINGE-BRUNIQUEL, dont : - Jeanne D'ANTICAMARRETA mariée à Montredon avec Bonnet ou Brunet De BRUNIQUEL Source : courriel de A. Bressolle (6/5/2012) - http://fr.groups.yahoo.com/group/genealogie-tarn/message/69555 |
Descendance disponible sur le Site Armorial du Pays d'Oc : http://www.vivies.com/index.php?title=Anticamareta Marié en 1536 avec Béatrix POTIER de LA TERRASSE, fille de Pierre II et Béatrix de BERTIER (née en 1497). Au sujet de Pierre II POTIER de la TERRASSE : Il fait construire le château de Saint-Elix, "Receveur des gages, exploits et amandes en la cour du Parlement" en 1514, Notaire et secrétaire du roi en 1522, Capitoul en 1540, Seigneur de La Terrasse et de Saint-Elix Source : Benoît DE BOYSSON |
Epouse Pierre PAGÈSE, seigneur dâ Source : Site D'Agos (Armorial du Pays d'Oc) |
Marié en 1404 avec Jeanne-Marie de CASTELBAJAC, fille de Bernard VI de CASTELBAJAC (Seigneur de Bernet. Décédé en 1412) et de Mondine de FERRABOUC de Saint-Cosque Source : Denis de RAUGLAUDRE |
Mariée vers 1495 avec Jean de COARRAZE, fils de Bernard de COARRAZE et de ? Source : Denis DE RAUGLAUDRE |
Autre date indiquée : 1er octobre 1420 |
Fille de Comte-Bon IV d'ANTIN (Chevalier. Seigneur d'Antin. Baron d'Antin, des Affittes, de Bonnefont, de Sarraguzon et de Bernadet. Né vers 1340. Teste en 1400) et de Mascarose de JUSSAN, mariés vers 1360. Petite-fille de Comte-Bon III le Jeune d'ANTIN (Seigneur d'Antin. Né vers 1310. Décédé après 1347) et de Condorine de PREISSAC (Née vers 1315), mariés vers 1330. Source : DE RAUGLAUDRE Denis |
Autre date indiquée : 1er octobre 1420 |
Courriel de J. TROTEL (6/1/2010) - http://fr.groups.yahoo.com/group/genealogie-aveyron/message/111545 |
Courriel de J. TROTEL (6/1/2010) - http://fr.groups.yahoo.com/group/genealogie-aveyron/message/111545 |
Notaire |
De ce mariage dut naître au moins un garçon Source : Courriel de J. TROTEL (6/1/2010) - http://fr.groups.yahoo.com/group/genealogie-aveyron/message/111545 |
7ème fils Controversé : Cyril Delmas-Marsalet le donne avec réserve fils du frère de Guérin VIII, Raymond (né vers 1350, Seigneur de Saint-Auban) et de Bourguine de NARBONNE (née vers 1355), mariés le 10 Avril 1377. Ce qui est séduisant lorsqu'on voit la fréquence du prénom Amalric chez les NARBONNE. Mais nulle trace ailleurs de cette information... Source : Jean-Michel GIL |
avant 1452 selon Jean-Paul SUPPLY |
4ème fils Fait Chevalier par Charles VII en l'église du Puy le 16 mai 1420. Prisonnier du Comte d'Armagnac, qui lui fit payer une forte rançon, pilla ses terres, ruina quelques uns de ses châteaux et en assiégea d'autres. Source : Jean-Michel GIL |
Marié avec Catherine de PAVIE de Fourquevaux Source : Denis de RAUGLAUDRE |
Sa mère lui donne 10.000 florins d'or |
mère du bénéficiaire, donatrice |
Source : Ascendance de Geneviève de CHABANNES LA PALICE - Fichier "CHABANNES Genevieve.pdf" - page 27 |
APCHIER ou APCHER : les seigneurs de ce nom sont sortis de la Maison de Châteauneuf-Randon, et la terre d'Apchier est une ancienne baronnie en Languedoc, qu'Alix d'APCHIER porta en dot, dans le douzième siècle, à Guérin de CHATEAUNEUF, chevalier, qui avait pour bisayeul Guillaume, seigneur de Châteauneuf Randon, vivant en 1050, et pour frère puîné Gui de CHATEAUNEUF, qui a fait la branche de Joyeuse. Alix d'APCHIER fut mère de Guillaume de CHATEAUNEUF, qui accompagna Saint Louis au voyage d'Outremer en 1248, et fut Grand-Maître de l'Ordre de Saint-Jean-de-Jérusalem; et de Guérin de CHATEAUNEUF, seigneur d'APCHIER. Source : DE LA CHESNAYE-DESBOIS F.A.A. - Dictionnaire de la noblesse - Tome I - 2nde édition (1770) - Page 319 |
Marié avec Blanche de BEAUVOIR du Roure, fille de Foulques de BEAUVOIR du Roure (Seigneur de Beaumont, la Crotte et de Langut. Il fut nommé par Pons de BEAUMONT, son aïeul maternel, dans son testament du 4 février 1435, héritier de toutes ses terres et seigneuries, à la charge de porter le nom et les armes de Beaumont. Teste en 1481) et de Catherine de MONTBRUN (Dame de Maurillac. Teste le 12 avril 1490), mariés en 1442 Source : Denis de RAUGLAUDRE |
Marié le 12 février 1485 avec Jeanne de CHABANNES (née vers 1465, décédée avant 1497), fille d'Antoine de CHABANNES (né vers 1411, décédé le 25 décembre 1488. Comte de Dammartin; Seigneur de Saint-Fargeau. Chevalier de la Toison d'Or (6e, 1430)) et Marguerite de NANTEUIL (Comtesse de Dammartin. Née vers 1415), mariés le 20 septembre 1439 Marié le 7 août 1497 avec Marie de CASTELNAU Caylus (Née vers 1475), fille de Jean II de CASTELNAU Caylus (Baron de Castelnau et de Clermont-Lodeve (1465-1505). Né après 1436, décédé en 1505. Attesté de 1465 à 1505) et d'Anne ou Marie de CULANT (Dame de Jaloignes. Née après 1441), mariés en 1459 Source : Denis de RAUGLAUDRE Antoine de CHABANNES est né en 1408 à Saint-Exupery, en Limousin. Il est le fils cadet de Robert de CHABANNES, seigneur de Charlus-le-Pailloux. Sa situation de puîné lui fait embrasser la carrière militaire, et ce précocement. A 18 ans, il est au service de l'un des principaux lieutenants de Jeanne d'ARC, et participe à ce titre à la prise d'Orléans en 1429. Antoine de CHABANNES quitte bientôt l'armée régulière pour s'enrôler dans une bande de routiers sansfoi ni loi dont il va devenir le chef. Rapines et pillages sont le lot ordinaire de ces hommes redoutés dans les campagnes, et surnommés les Ecorcheurs. En 1439, il s'achète une conduite, honteux, dit-on de son passé : il épouse Marguerite de NANTEUIL, comtesse de Dammartin, et s'acquiert les bonnes grâces du roi Charles VII, accédant ainsi aux plus hautes charges de l'Etat, et s'attirant du même coup l'inimitié du dauphin Louis XI, dont il déjoue les complots. Il participe au procès de Jacques COEUR, partie par devoir, partie par jalousie, et bénéficie largement du dépeçage de ses biens, se voyant octroyer en fief une bonne partie de la Puisaye, et le château de Saint-Fargeau. L'accession au pouvoir de Louis XI provoque les premiers accrocs à la carrière d'Antoine de CHABANNES. Le roi est rancunier et d'excellente mémoire. De procès en procès, Antoine voit ses biens confisqués et sa personne proscrite à Rhodes. Pas pour longtemps : bénéficiant de complicités, il s'évade et rejoint prestement son ancien domaine dont il expulse le frais propriétaire : le fils de Jacques COEUR, Geoffroy. Il rejoint ensuite les Ligueurs hostiles au monarque, convaincu que la rigueur royale ne va pas s'atténuer de sitôt. Mais c'est mal connaître le tacticien madré qu'est Louis XI, qui conclut avec les Ligueurs le traité de Conflans. Antoine de CHABANNES est nommé Grand Maître d'Hôtel de France et recouvre ses biens. La paix est enfin signée entre les deux hommes : l'un se met à servir avec zèle son ancien ennemi, et l'autre récompense le féal à l'aune des services rendus. Il faut la vieillesse du roi et sa méfiance exacerbée pour valoir à CHABANNES une nouvelle disgrâce, vite annulée par l'arrivée au pouvoir de Charles VIII. Il est nommé Gouverneur de Paris en 1485. Auparavant, son fils Jean a épousé Suzanne de BOURBON, dame de Montpensier (aïeule de la Grande Mademoiselle). Il meurt le 25 décembre 1488 après avoir doté Saint-Fargeau d'un hôpital, d'un chapitre de cinq chanoines, et l'avoir transformé en un ingénieux château défensif (modèle du génie militaire du XVIe siècle). Il meurt, soutenu par unefoi de circonstance, oublieuse des méfaits et trahisons passés. Source : F. COUNIL - http://beaujott.club.fr/chaba.html |
Puîné. "magnifique et puissant homme et vaillant chevalier". Il participa à la reconquête de la Guyenne sur les Anglais. Source : Jean-Michel GIL |
Mariée vers 1476 avec Bertrand de SAINT-CHAMANS (né vers 1440, Seigneur de Saint-Chamant, Montmège et Saint-Sylvain, Comtor dâvers 1410, Seigneur de Saint-Chamans) et Jeanne de LISSAC (née vers 1415, Dame de Lissac), mariés vers 1435 Source : Benoît de BOYSSON Mariée en 1460 avec Bertrand de SAINT-CHAMANS (Seigneur de Saint Chamans, Escorailles, Montmeige et autres lieux. Chevalier de l'Ordre du Roi), fils de Guy de SAINT-CHAMANS (Qualifié dans les actes de Haut et puissant seigneur) et de Jeannede LISSAC, mariés en 1435 Source : Denis de RAUGLAUDRE |
Homme politique gallo-romain, préfet de Rome en 468 et un saint de l'Église catholique, évêque de Clermont en 471, fêté le 23 août. Il est également connu pour son Åuvre littéraire (Lettres et panégyriques). Sidoine né à Lyon d'une illustre famille arverne des Gaules, où son aïeul et son père furent préfets du prétoire des Gaules. En 449, il assista à dix-neuf ans, debout à côté de la chaise d'ivoire de son père[3], aux fêtes données à Arles pour l'inauguration du consulat d'Astère et de Protogène. Il étudia les lettres sous les maîtres les plus habiles, et devint lui-même un des hommes de son temps les plus célèbres dans l'éloquence et la poésie. Gendre de l'empereur Avitus, arverne comme lui (il avait épousé sa fille Papianilla en 452), il l'accompagna à Rome et prononça son panégyrique devant le Sénat. Revenu à Lyon après la chute d'Avitus, il y fut capturé par le nouvel empereur Majorien en 457. En raison de sa réputation, celui-ci le traita avec grand respect, et Sidoine prononça son panégyrique en retour, ce qui lui valut d'avoir une statue de bronze élevée sur le Forum et le titre de comte. En 467, l'empereur Anthémius le récompensa d'un panégyrique composé en son honneur en le nommant préfet de Rome pour l'année 468, et par la suite l'éleva à la dignité de patricien et de sénateur. Il quitta cependant ce poste en cours d'année, suite à la mise en accusation de son ami Arvandus pour trahison envers Rome, et retourna en Gaule. Là, il fut confronté à la tyrannie du fonctionnaire corrompu Seronatus, dont il obtint finalement la déposition. Pour des raisons plus politiques que religieuses, il fut appelé à succéder à Eparchius sur le siège épiscopal d'Arvernum, aujourd'hui Clermont en 470 (ou 471). Lors de la prise de la ville par les Wisigoths en 475, il fut emprisonné car il avait pris une part importante avec son beau-frère Ecdicius dans la défense de la ville, qui avait résisté aux assaillants pendant trois années. Il fut cependant bien traité, grâce surtout à son ami Victorius, haut fonctionnaire du roi Euric, et fut restauré dans ses fonctions par le souverain, gouvernant son évêché jusqu'à sa mort qui survint sans doute au cours des années 480. Ses poèmes et ses lettres nous fournissent un témoignage unique et intéressant sur l'Auvergne du Ve siècle, sur les mÅurs et les positions politiques de l'aristocratie gallo-romaine au sein des nouveaux royaumes barbares. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Sidoine_Apollinaire |
Ces pages ont été fabriquées avec le logiciel Oxy-Gen version 1.38j, le 03/01/2015. Vous pouvez le télécharger sur ce site.