4E70/6 - CD : 4E061345, 13543899 |
Présents : - GOURC Pierre Jean, 42 ans, propriétaire à Plaisance, ne signe pas - GUIRAUD Gilles, 45 ans, cultivateur à Plaisance, ne signe pas |
son père |
4E70/1 - CD : 4E012192, 18510198 et 18510298 |
1 floréal an II Déclarants : - Jean Antoine VIGROUX (30 ans, forgeron, signe) - Victor MARTY (30 ans, habitant de Coupiac, signe) - Marianne MAUX (50 ans, sage-femme de Coupiac, ne signe pas) épouse de Joseph RAYSSAC |
Cultivateur |
Prénom = Marie Mariée le 28/2/1813 à Coupiac avec Pierre POMIE (né le 13/5/1786 à La Piale / Lincou, cultivateur à La Piale / Lincou, signe), fils Pierre POMIE (cultivateur à La Piale / Lincou, décédé le 9/12/1789 à La Piale / Lincou) et de Marguerite CAMBON (ne signe pas) Présents : Jean Antoine VIGROUX (50 ans, forgeron), Antoine RICARD (40 ans), Joseph BARTHELEMY (30 ans, cultivateur) de Moussac, Guillaume Baptiste VIGROUX (50 ans, cultivateur au Violer de Dourdou), tous signent Source : son acte de mariages, photos DSC00479.jpg et DSC00480.jpg |
4E70/6 - CD : 4E061343, 13525299 |
Présents : - Antoine AUDOUARD, 29 ans, cultivateur à Plaisance, ne signe pas - Pierre GOURC père, 70 ans, cultivateur à Plaisance, ne signe pas |
son père |
Cultivateur |
Mariée le 13/2/1829 au Cayla / Coupiac (4E70/8 - CD : 4E061396, 08562899 et 08562999) avec Jean Pierre MALRIC (né le 3/11/1807 à Sénils, cultivateur à Sénils, signe), fils de Jean MALRIC (cultivateur à Sénils, ne signe pas) et de Marie ROQUE (décédée le 8/1/1809 à Sénils) |
Témoin : Pierre MAFFRÉ, étudiant natif de Pampelonne (81), à présent résident de Coupiac, signe |
son fils |
Sur son acte de décès, elle est dite veuve de Barthélémy GAVALDA,mais il n'est pas fait mention de Jean REVERBEL ! Celui-ci se serait-il donc marié avec une Marie GOS soeur de cette Marie GOS ? |
4E70/1 - CD : 4E012181, 18443698 |
La proclamation de ce mariage a été faite les dimanches 9, 16 et 23/1/1774 au prone de la messe paroissiale de Coupiac Présents : - Antoine REVERBEL, habitant de Coupiac - Antoine MALET, serrurier à Coupiac, signe - Sr Antoine NICOLAS, habitant de Coupiac, signe - Pierre BARDY, habitant de La Claparié, signe - Antoine RAYSSAC, habitant de La Claparié, signe - Jean Pierre CABOT, clerc de l'archipêtre officiant, signe |
4E70/2 - CD : 4E012302, 18572898 |
14 germinal an V Témoin : VIGROUX Jean Antoine, beau-frère du père, 33 ans, Moussac, signe |
son grand-père paternel |
son père |
Nièce du chancellier de France, Martin GOUGE. Elle reçut de son oncle, le chancelier, le château de Domeyrat, qu'il venait de reconstruire et qui entra ainsi dans la maison de LANGHAC, avant de passer dans celle de La ROCHEFOUCAULD par le mariage de Françoise de LANGEAC avec Jacques de La ROCHEFOUCAULD, en 1586. Source : DE RAUGLAUDRE Denis |
Contrat de mariage passé au château |
Mariée vers 1110 avec Maynard de BEYNAC, fils de Hélie de BEYNAC et de ? Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
Marié vers 1285 avec Marquèse de MONTAUT (Née vers 1270, décédée vers 1345) Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
Marié vers 1120 avec Magne de TURENNE, fille de Raymond de TURENNE (Vicomte de Turenne. Né vers 1070, décédé en 1122) et de Mathilde du PERCHE (Née vers 1074, décédée en 1143) Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
Il reçoit le castellum et les alleux du Gourdonnais et de Saint-Amarand, comme legs de Raymond II, dans son testament [Annales du Midi : revue archéologique, historique, et philologique de la France méridionale, Par Université de Toulouse, Publié par E. Privat, 1990, v.102 no.189-192, p70]. Ce comte de Rouergue, marié à Berthe d'Arles, fille de Boson d'Arles, comte d'Arles était-il son parent ? Gourdon et Saint-Amarand ne sont en rien des arrière-fiefs que l'on donne à un proche serviteur. |
Catherine De GOURDON, dame de Parlan et soeur du maître d'artillerie Galiot De GENOUILLAC, ordonna par son testament la fondation d'une chapelle sous l'invocation de Notre-Dame de Pitié dans l'église Saint-Projet en Gourdonnais. Source : Ph. CONTAMINE - La noblesse au royaume de France de Philippe le Bel à Louis XII - PUF, 1997 (1ère édition) - ISBN 2 13 048763 7- page 256 |
Évêque |
Abbé-chevalier |
A propos de l'Abbaye de Moissac : Vers 1030, au temps de l'abbé Raimond 1er, l'église abbatiale (probablement celle qu'avait bâtie Louis le Débonnaire) s'écroula tout à coup. « C'était, » dit Aimery, qui rapporte l'événement, « le signe précurseur des désordres qui allaient bientôt éclater ». Et, en effet, la condition du monastère, déjà fort triste depuis longtemps, ne tarda pas à devenir encore pire. Peu de temps avant sa mort, en 1037 environ, Guillaume III, surnommé Taillefer, comte de Toulouse, imagina de vendre son abbatiat de Moissac à Gausbert de GOURDON ou de Castelnau (Castelnau de Vaux, plus tard Castelnau de Montratier, Lot, arrondissement de Cahors. Cette seigneurie appartenait à la maison de Gourdon, dès la fin du douzième siècle; d'où la conjecture très-plausible que Gausbert, seigneur de Castelnau, était en même temps de la maison de Gourdon). La vente, passée par acte authentique, fut conclue moyennant le prix de trente mille sous (environ150,000 francs de notre monnaie actuelle). Quant aux droits de suzeraineté, ils furent spécialement réservés par le comte pour lui et ses successeurs (Ann. ord. S. Bened., IV, p. 627; Gall, christ,, I, col. 161; Hist, de Languedoc, II, p. 176; Chron. d Aimery de Peyrac, loi. 157 r°; Chron. ms. du Quercy. âeurs suzerains : mais ils n'en possédaient pas moins tous les droits et privilèges attachés par un long usage à l'abbatiat militaire. Ces expressions de la Chronique de Moissac (dans le Recueil des Hist, de France), « que Gausbert en futle premier abbé-chevalier, » doivent donc être entendues en ce sens, qu'il fut le premier qui posséda l'abbatiat militaire détaché de la suzeraineté, et nullement qu'il fut revêtu par le comte de Toulouse de fonctions créées tout exprès pour lui, ainsi qu'on pourrait l'induire des termes équivoques du chroniqueur : « Eidem cÅnobio Pondus comes prac- fecit abbates milites, et primus abbas miles fuit Gausbertus. »). Grâce à ce marché simoniaque, l'abbaye se trouva donc avoir deux tyrans au lieu d'un. Tant que Raymond vécut, les moines purent cependant compter encore sur quelque protection : mais sa mort leva la dernière barrière opposée au désordre. Maîtres de l'élection, le comte de Toulouse et Gausbert firent tomber le bâton abbatial aux mains d'une de leurs créatures, Etienne (Aimery de Peyrac donne à cet abbé le nom de Pierre. Le nom d'Etienne, adoplé par le Gallia Christiana (I, col. 161), est d'ailleurs confirmé par le texte d'une charte (Cartul. de Moissac, I, p. 67)), futur complice de leurs déprédations. Le premier acte de celui-ci fut de confirmer, par une investiture solennelle, l'abbatiat militaire à Gausbert de Gourdon. Livrée à de pareils défenseurs, l'abbaye ne tarda pas à devenir une véritable caverne de larrons. «Ex post,» dit Aimery, «dictum monasterium fuit submfssum, penitus destructum et desolatum et ille [Petrus], qui fuit destructor dicti mouasterii pocius quam constructor, in locum socii, seu pocius « subdicti, postmodum habuit superiores in L'abbaye de Moissac. Notes d'un voyage archéologique dans le sud-ouest de la France., Bibliothèque de l'école des chartes, 1850, vol. 11, n° 1, pp. 89-147, de Jules Marion. Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
Dans le Quercy |
Il part fin octobre 1096 à la croisade dans l'armée du comte de Toulouse Raymond de Saint-Gilles, à la tête d'un certain nombre de ses milites et clientes. Il part avec le vicomte Raymond Ier de Turenne, père de sa future belle-fille, Raymond d'Espere et plusieurs chevaliers des maisons de Beduer, Cabrerets, Cardaillac, Castelnau-Bretenoux, Castelnau-Montratier, Montpezat, Luzech, Pestillac, Saint-Cirq-Lapopie et Thémines. Ces derniers résident dans le château des Gourdon. Géraud de Gourdon engage, pour soutenir cette guerre, une partie de ses domaines, ses châteaux. |
Il repart à la croisade avec Bertrand de Tripoli, fils du comte de Toulouse. Il fait de nombreux dons avant de partir qui nous permettent dâches de Géraud de Gourdon, lors de la cérémonie testamentaire organisée par ce puissant sire avant son départ. Nous avons aussi les Domme. Cette famille est très liée aux Gourdon : en 1108, Bernard de Dome est témoin au testament de Géraud de Gourdon partant pour la croisade en Terre sainte. Autre proche présent, Borel de Gauléjac, Arnaud et Gausbert de Pestilhac. |
Bertrand, comte de Toulouse part en Palestine et amène avec lui : Géraud de Cardaillac, évêque de Cahors, Dieudonne de Barasc, seigneur de Beduer, Hugues de Castelnau-Bretenoux et Géraud. Ces croisés partent en 1109 par Pise. On ne saitpas s'il sont revenus. Son frère, Gausbert de Gourdon, meurt en 1111 en Palestine. |
Il semble ne pas être enterré dans l'église de Saint-Martin-Labouval, fondée par son fils et où celui-ci fait la sépulture de sa descendance |
Géraud III est lâ Géraud de Gourdon fait un leg à l'abbaye de Sarlat, un autre aux chanoines du Vigan. Il fait donation à lâieu. Ce seigneur a son nom et les armes de sa famille, qui figurent dans la cinquième des salles des croisades du château de Versailles, celle des chefs des différentes croisades, la Grande Salle. Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
Géraud Ier de GOURDON est cité dans le testament de Raymond II de Rouergue, en 961 (sans doute jeune enfant) |
Il reçoit la baronnie d'Orgueil en héritage, au début du XIe siècle. Les Orgueil seront une branche détachée de la maison de Gourdon. Gausbert de GOURDON, évêque de Cahors (990-1004), est certainement un parent de sa génération. Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
Avant 1402 selon Jean-Paul SUPPLY |
La généalogie de Ratier IV de GOURDON, de la branche des seigneurs de Castelnau-Montratier (46) peut être établie de manière indiscutable avec les preuves grâce à l'ouvrage suivant : Léopold Limayrac, Etude sur le Moyen Age : histoired'une commune et d'une baronnie du Quercy (Castelnau-de-Montratier), Cahors, 1885 Source : Jean-Michel GIL |
Tué |
Epouse originaire de Bannegon ? Source : http://gw5.geneanet.org/tatoo2 |
6E272/1 - 286 |
Parrain : GIRAUD Michel, ne signe pas. Marraine : GOY Marie, ne signe pas. |
6E272/2 - 233 |
Dispense de consanguinité du 4ème au 4ème degré en date du 5 mai 1763. Témoins : BATISSARD Jacques de Verminisses, GOUHAY Jean de La Roche et GIRAUD Michel du Tronc qui ne signent pas. |
père de l'épouse |
6E272/1 - 175 |
Témoins : GOY Jean et Michel |
Témoins : GIRAUD Michel, BOURREL François et ESTRADE Antoine Armand des Rouillats / Mardon |
Possibilité : en 1739 à Vernines |
Témoin du futur (majeur) : GOY Gabriel son beau frère Témoins de la future (majeure) : GOY Pierre et Jacques ses frères |
frère du futur |
Domicilié à La Chase / Perpezat |
Marié à perpezat le 17 octobre 1780 avec Marie GOUDET (27 ans) de Chez Livert / perpezat, veuve de Ligier BABUT. Témoins : GOUHAY Joseph et TARAVANT Jacques de La Chase, GOUDET Jean de Chez Livert et ESBELIN Jean de La Chabanne |
Parrain : DUGAS Guillaume de Saint Martin de Tour / Rochefort-Montagne Marraine : BELON Antoinette |
2256199 - 117/1 |
Témoins : ROUEL Jacques de Taravant, BATISSARD Pierre et GIRAUD Michel du Tronc |
MARIAGE: 29 ans Témoins : DU FRAISSE DE FONTSALIVE et BRUN François |
Acte de notoriété |
Témoins : FAUGEYRAS François (26, cult, Aurières) et DUMONTEL Annet (23, soldat de la garde départementale du 63 à Clermont, N = Vernines) |
Ces pages ont été fabriquées avec le logiciel Oxy-Gen version 1.38j, le 03/01/2015. Vous pouvez le télécharger sur ce site.