Mariée le 10 messidor an XII (29 juin 1804) à Saint Juery avec Jean JULIEN (Né le 6/4/1777 au Teil / Farret), fils de Jean JULIEN et de Marie DAURES Dont : - Pierre Jean Julien JULIEN 1811 - Jean Paulin JULIEN 1812 Source : G. FRANCES - http://gw1.geneanet.org/index.php3?b=ggfrances&lang=fr;pz=gerard+francois;nz=frances;ocz=0 |
Courriel de M. MIQUEL (20/1/2007) - http://fr.groups.yahoo.com/group/genealogie-aveyron/message/57851 |
Source : son acte de mariage en date du 28/1/1813 |
Cultivateur |
Marié le 28/1/1813 à Coupiac avec Marianne PUECH (née le 18/11/1785 à Soulicroup, cultivatrice à Soulicroup, ne signe pas), fille de feu Jean PUECH (+ 17 prairial 5) et de Jeanne TROUILLET (cultivratrice à Soulicroup, ne signe pas) Présents : son père, sa mère, sa belle-mère, Jean Pierre Armand Nicolas ? de DEVIT (23 ans, Coupiac), Louis CONSTANS (34 ans, cultivateur au Bouyssou), Guillaume BOUSAT (25 ans, cultivateur à ?, signe), Jean François CONSTANS (34 ans, Saint Almazi) Source : son acte de mariage (photo DSC00454.jpg) |
Cousin de Charlemagne, Adalhard est élevé à la cour avec son frère Wala, puis rejoint le monastère de Corbie. Nommé abbé de Corbie en 780, après un bref passage par le Mont-Cassin, il contribue à son renouveau spirituel et intellectuel. Nous lui devons le protocole de la cour de Charlemagne, connu seulement par le témoignage d'Hincmar, et les Statuta antiqua Sancti Petri Corbeiensis. Destinés à réformer l'abbaye, ces statuts serviront de modèle à d'autres monastères. Adalhard mène aussi une activité politique comme conseiller de Bernard, roi d'Italie et s'attire l'animosité de Louis le Pieux, qui l'exile durant sept ans près de l'embouchure de la Loire. De retour à Corbie, il fonde en pays saxon une colonie monastique, Corbeia nova ou Corvey, en 822. Paschase Radbert en fera le récit dans la Vita Adalhardi. Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
Abbé |
Il reçut l'Austrasie, l'Alémanie et la Thuringe |
Il fut à l'origine d'une réforme ecclésiastique sous l'impulsion de l'évêque Boniface dont il fut le protecteur et à qui il accorda en 744 un territoire où fut fondée l'abbaye de Fulda |
Il fonda le monastère du Mont Soracte en Italie puis se retira à l'abbaye du Mont-Cassin |
Dans l'abbaye de Mont-Cassin (Italie) |
Il eut à combattre avec succès les Alamans, les peuples d'Aquitaine, les Bavarois et les Saxons Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
Fils de Pépin de Herstal (ou Héristal, commune de Belgique sur la Meuse), Charles Martel apparaît dans l'histoire au lendemain de la mort de son père (déc. 714), qui déclencha des troubles violents dans le royaume franc : Neustriens et Aquitains alliés aux Frisons et aux Saxons tentèrent d'abattre la puissance austrasienne. Au bout de six ans, Charles Martel réussit à défaire ses adversaires et à s'imposer avec les titres de maire du palais, duc et prince des Francs, aux côtés du roi mérovingien Thierry IV. Son action se résume dans la reconquête du royaume où l'autorité franque ne subsistait guère qu'en Neustrie et en Austrasie, les autres régions s'étant émancipées à peu près complètement depuis la fin du VIIe siècle. L'instrument de la reconquête fut l'armée du maire, constituée par sa clientèle austrasienne qu'il rétribua largement en terres d'Église : si les structures ecclésiastiques s'en trouvèrent bouleversées, cette sécularisation permit la transformation du royaume franc en un État guerrier. Charles Martel put ainsi en Germanie ressaisir la Thuringe et l'Alémanie, rétablir la suprématie franque sur la Bavière et reconquérir en partie la Frise ; il accorda en même temps son appui aux missionnaires qui achevaient l'évangélisation de la Germanie centrale et méridionale et y implantaient l'Église notamment à l'Anglo-Saxon Boniface. En Gaule, l'invasion de l'Aquitaine par les Arabes, l'appel au secours qu'il reçut du duc Eudes, lui permirent de franchir la Loire, de remporter en 732 (ou en 733) l'éclatante victoire de Poitiers et, après celle-ci, de recevoir le serment de fidélité du nouveau duc. Dans le Sud-Est, il reconquit non sans peine la Bourgogne et la Provence. Son pouvoir s'était entre-temps tellement affermi qu'il ne remplaça pas le roi Thierry IV (mérovingien), mort en 737, et qu'il disposa souverainement du royaume en le partageant, avant de mourir, entre ses deux fils Carloman et Pépin. Source : Encyclopædia Universalis Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_Martel |
Relation |
Sacré roi de France |
La naissance et lâ Il est probablement né le 2 avril 742. Certains auteurs suggèrent le 2 avril 747 ou le 2 avril 748. Selon certains, il aurait vu le jour en Austrasie à Herstal ou à Jupille, où réside le plus souvent son père Pépin le Bref. (Herstal et Jupille se situent aujourd'hui dans la banlieue de la ville de Liège en Belgique et sont à l'époque des lieux de résidence privilégiée de certains souverains ancêtres des Carolingiens, notamment Pépin le Gros, le père de Charles Martel) D'autres lieux de naissance sont également évoqués : Aix-la-Chapelle, à Ingelheim, Quierzy-sur-Oise ou encore Prüm. Roi des Francs le 24 septembre 768, il fut sacré à Noyon le 9 octobre. Mort d'une pleurésie à Aix-la-Chapelle (sa résidence favorite) le 28 janvier 814, Charlemagne y fut inhumé alors qu'il souhaitait reposer à Saint-Denis. Il eut pourhéritier son fils Louis 1er le Pieux. (S.Fourlinnie) Le 25 décembre de l'an 800, à Saint-Pierre de Rome, Charlemagne est couronné empereur par le pape Léon III. Sacre de Charlemagne Grandes Chroniques de France, enluminées par Jean Fouquet, Tours, vers 1455-1460 Fils aîné de Pépin le Bref, il règne seul, comme roi des Francs, à la mort de son frère Carloman, en 771. Vainqueur des Lombards, il devient le maître du Nord de l'Italie (774). Il crée le royaume d'Aquitaine, vassalise la Bavière, rattache la Saxe à l'Etat franc (799), soumet les Frisons (785), les Avars de Pannonie (796) et les Saxons (804) qu'il combat plus de trente ans. Ayant échoué dans la conquête de l'Espagne musulmane, il crée une zone de sécurité au sud des Pyrénées, la marche d'Espagne ; de même, il établit une marche de Bretagne (789-790). Le jour de Noël 800, il est couronné empereur des Romains par le pape Léon III, à Rome. Il contrôle l'administration des comtes et des évêques par l'intermédiaire des missi dominici et de l'assemblée annuelle des notables. Ses ordres s'expriment en des capitulaires. Animateur d'une véritable renaissance culturelle, il fait appel à des lettrés (Alcuin) et crée une école du palais. Il multiplie les ateliers d'art dans les monastères. En même temps qu'il veille au développement du christianisme, il reprend des contacts commerciaux avec l'Orient. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Charlemagne "Les ancêtres de Charlemagne" par Christian Settipani : http://www.rootsweb.com/~medieval/addcharlFR.pdf "Les ancêtres de Charlemagne" par Gilles Houdry : http://ftp.rootsweb.com/pub/roots-l/genealog/genealog.charlan1 Charlemagne; Latin: Carolus Magnus or Karolus Magnus, meaning Charles the Great) (747 âand Central Europe. During his reign, he conquered Italy and was crowned Imperator Augustus by Pope Leo III on 25 December 800 as a rival of the Byzantine Emperor in Constantinople. His rule is also associated with the Carolingian Renaissance, a revival of art, religion, and culture through the medium of the Catholic Church. Through his foreign conquests and internal reforms, Charlemagne helped define both Western Europe and the Middle Ages. He is numbered as Charles I in the regnal lists of France, Germany, and the Holy Roman Empire. The son of King Pippin the Short and Bertrada of Laon, he succeeded his father and co-ruled with his brother Carloman I. The latter got on badly with Charlemagne, but war was prevented by the sudden death of Carloman in 771. Charlemagne continued the policy of his father towards the papacy and became its protector, removing the Lombards from power in Italy, and waging war on the Saracens, who menaced his realm from Spain. It was during one of these campaigns that Charlemagne experienced the worst defeat of his life, at Roncesvalles (778). He also campaigned against the peoples to his east, especially the Saxons, and after a protracted war subjected them to his rule. By forcibly converting them to Christianity, he integrated them into his realm and thus paved the way for the later Ottonian dynasty. Today he is regarded not only as the founding father of both French and German monarchies, but also as the father of Europe: his empire united most of Western Europe for the first time since the Romans, and the Carolingian renaissance encouraged the formation of a common European identity. Source : http://en.wikipedia.org/wiki/Charlemagne |
Répudiée en 771 sans postérité Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
A Worms en Allemagne |
Sans postérité |
Relation |
Relation |
Dans l'abbaye Saint-Vaast |
Drogon de Champagne (670-â Il fut duc de Champagne, maire du palais d'Austrasie (v. 680), de Neustrie (687), et de Bourgogne (687), dux et princeps Francorum («duc et prince des Francs »). Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Drogon_de_Champagne Cf. généalogie de Drogon : http://fmg.ac/Projects/MedLands/FRANKSMaiordomi.htm#_ftnref91 |
Drogon, (â Il est déjà majeur en 747, lorsque son père abandonne la mairie du palais d'Austrasie et se retire dans l'abbaye du Mont-Cassin. Contrairement à une idée reçue, il succède à son père et exerce sa charge de maire du palais en Austrasie, ainsi que le prouve une lettre de saint Boniface de Mayence datant de 748. Il semble que ce n'est qu'en 753 que son oncle Pépin le Bref parvienne à l'écarter du pouvoir et à l'interner dans un monastère, où il meurt peu après. Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
Évêque |
La Vie de Saint Folcuin, évêque de Thérouanne (816-855) précise qu'il était fils de Jérôme et d'Ercheswinda, une noble gothe, et nomme parmi ses frères Fulrad, abbé de Saint-Quentin. Mais les Gesta abbatum Sanci Bertini Sithiensium indiquent que Folcuin est le frère d'Audouen (ancêtre de Fulcuin, moine de Saint-Bertin) et le fils de Jérôme et d'Ermentrude. Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
Abbé de Saint Quentin |
Abbé de Lobbes |
Tué |
A la mort de son père, fut écarté par ses 2 demi-frères Pépin le Bref et Carloman, lors du partage en 742 de l'héritage à Vieux Poitiers (aujourd'hui Naintré). Il lutta contre eux, soutenu par sa mère et Odilon de Bavière. Il voulutse rendre en Italie pour obtenir l'appui du roi des Lombards mais fut tué par les hommes de Pépin en passant les Alpes. Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
Jérôme ou Hieronymus est un comte carolingien et un fils naturel de Charles Martel (685-741) et d'une concubine inconnue. Il fait des études dans un monastère où, aidé par un moine, à neuf ans il recopie la vie de son ancêtre saint Arnoul de Metz.Devenu comte à l'âge adulte, il est chargé par son frère, le roi Pépin le Bref, de plusieurs missions, comme escorter le pape Étienne II revenant d'une visite auprès de Pépin. En 775, il fait partie des signataires d'un plaid de Charlemagne à Thionville. Fulcuin, son descendant, affirme qu'il était un important personnage de l'entourage royal. Il devient ensuite abbé de Saint-Quentin. La Vie de Saint Folcuin, évêque de Thérouanne (816-855) précise qu'il était fils de Jérôme et d'Ercheswinda, une noble gothe, et nomme parmi ses frères Fulrad, abbé de Saint-Quentin. Mais les Gesta abbatum Sanci Bertini Sithiensium indiquent que Folcuin est le frère d'Audouen (ancêtre de Fulcuin, moine de Saint-Bertin) et le fils de Jérôme et d'Ermentrude. La difficulté est résolu par l'hypothèse selon laquelle Jérôme a eu deux épouses : 1) d'abord Ermentrude, qui pourrait être la nièce de Fulrad (â - Audouen ou Ouen, ancêtre6 d'un autre Audouen, père de Regenwala (â - Fulrad (â - une fille, mère de Rameric (â 2) puis Ercheswinda, noble gothe peut-être descendante d'un des Reccared, roi des Wisigoths7 , qui donne naissance à : - Folcuin, évêque de Thérouanne de 816 à 855). - peut-être Richarde, mariée à Nithard et mère d'Angilbert, abbé de Saint-Riquier - peut-être Richard comte de Rouen en 783 et en 795, et ancêtre possible des Bosonides. Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
Évêque |
Évêque |
Abbé |
Évêque |
Eglise Notre-Dame |
Saint Hugues de Rouen est dit aussi parfois improprement Hugues de Champagne, sans considération pour son état ecclésiastique sans lequel il n'aurait probablement pas la célébrité qui est la sienne. Il était petit-fils de Pépin de Herstal et de Plectrude, fils de Drogon de Champagne (670-708) et d'Adaltrude. Cette dernière est la fille du maire du palais de Neustrie Berchaire et de Anstrude. Mort le 9 avril 730, fête le 9 avril. Alors qu'il n'était que laïc, il donne de nombreuses terres aux abbayes de Saint-Wandrille et de Jumièges. Après la distribution de ses biens, il se délivre des distractions de ce monde, se retire dans le monastère de Jumièges en 718 et embrasse la profession religieuse sous l'abbé Cochin. En 722, le siège épiscopal de la ville de Rouen est vacant, celui qui n'était plus Hugues de Champagne depuis sa profession monastique est alors tiré de sa solitude et nommé évêque de la ville. Un an après, en 723, il accepte la charge d'abbé de Fontenelle. L'année suivante, il est simultanément évêque de Paris et de Bayeux ainsi que le 4e abbé de Jumièges. Sur la fin de sa vie, il se retire dans cette abbaye. Il y meurt le 9 avril 730 et est enterré dans l'église Notre-Dame. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Hugues_de_Rouen |
Abbé de Saint-Denis |
Pépin II de Herstal ou Pépin le Jeune est maire du palais d'Austrasie. Gros propriétaire terrien, il jouit d'un grand nombre de fidèles qui vont faire sa force et celle de ses successeurs. Il se montre plus prudent que son oncle Grimoald Ier et ne tente pas de placer sa famille au lieu des Mérovingiens. Mais après l'assassinat de Dagobert II par Ebroïn, il prend la tête de l'aristocratie austrasienne. Contre les prétentions hégémoniques du maire du Palais Ébroïn, il attaque la Neustrie et se fait battre près de Laon. Après la mort d'Ébroïn en 681, il se reconcilie avec le maire du palais de Neustrie Waratton, reconnaît pour roi Thierry III, puis se brouille avec Berchaire, gendre et successeur de Waratton, et bat définitivement les Neustriens à Tertry en 687. Pépin II reconnaît alors de nouveau Thierry III mais s'établit comme maire du Palais du royaume franc entier, qu'il gouverne jusqu'à sa mort. Il impose alors l'autorité franque sur les Alamans, les Frisons et les Franconiens, et apporte son aide aux premières missions d'évangélisation en Germanie. Sa succession sera difficile, ses fils Drogon de Champagne et Grimoald II étant morts avant lui : plutôt que ses petit-fils Thibaut, Arnoul et Hugues, que soutient leur grand-mère Plectrude, c'est un fils illégitime de Pépin, Charles Martel, qui prendra le pouvoir. Charles Martel, grand-père de Charlemagne était né de l'union adultère de Pépin II de Herstal et d'Alpaïde. Cette union est à l'origine de l'assassinat de Lambert, évèque de Tongres-Maastricht, futur Saint-Lambert, patron de Liège. En septembre d'une année dont les historiens ne parviennent pas à se mettre d'accord, 696 ou 705, Pépin II convie l'évêque dans son palais de Jupille, près de Liège, dans le but de lui demander de l'unir à Alpaïde. Pépin venait de répudier Plectrude mais l'évêque avait eu vent qu'un enfant était né hors mariage. Il refusa donc de les marier. Quelques jours plus tard, le 17 septembre, Lambert et ses neveux, Pierre et Andolet, sont assassinés par Dodon, frère d'Alpaïde, en représailles à son refus. Le 17 septembre est aujourd'hui la fête de la Saint-Lambert, évêque martyr. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/P%C3%A9pin_de_Herstal Pepin (or Pippin) of Herstal (c. 635 âor of the palace to "reign" as Duke and Prince of the Franks and he by far overshadowed the Merovingian rois fainéants. Pepin, sometimes called Pepin II, was the grandson and namesake of Pepin I the Elder by the marriage of Pepin I's daughter Begga and Ansegisel, son of Arnulf of Metz. That marriage united the two houses of the Pippinids and the Arnulfings which created what would be called the Carolingian dynasty. Pepin II was probably born in Herstal (Héristal), modern Belgium (where his centre of power lay), whence his byname (sometimes "of Heristal"). As mayor of Austrasia, Pepin and Martin, the duke of Laon, fought the Neustrian mayor Ebroin, who had designs on all Frankland. Ebroin defeated the Austrasians at Lucofao (Bois-du-Fay, near Laon) and came close to uniting all the Franks underhis rule; however, he was assassinated in 681, the victim of a combined attack by his numerous enemies. Pepin immediately made peace with his successor, Waratton. However, Waratton's successor, Berthar, and the Neustrian king Theuderic III, who, since 679, was nominal king of all the Franks, made war on Austrasia. The king and his mayor were decisively defeated at the Battle of Tertry (Textrice) in theVermandois in 687. Berthar and Theuderic withdrew themselves to Paris, where Pepin followed and eventually forced on them a peace treaty with the condition that Berthar leave his office. Pepin was created mayor in all three Frankish kingdoms(Austrasia, Neustria, and Burgundy) and began calling himself Duke and Prince of the Franks (dux et princeps Francorum). In the ensuing quarrels, Berthar killed his mother-in-law Ansfled and fled. His wife Anstrude married Pepin's eldest sonDrogo, Duke of Champagne, and Pepin's place in Neustria was secured. Over the next several years, Pepin subdued the Alemanni, Frisians, and Franconians, bringing them within the Frankish sphere of influence. He also began the evangelisation of Germany. In 695, he placed Drogo in the Burgundian mayorship and his other son, Grimoald, in the Neustrian one. Around 670, Pepin had married Plectrude, who had inherited substantial estates in the Moselle region. She was the mother of Drogo of Champagne and Grimoald, both of whom died before their father. However, Pepin also had a mistress named Alpaida (or Chalpaida) who bore him two more sons: Charles and Childebrand. Just before Pepin's death, Plectrude convinced him to disinherit his bastards in favour of his grandson, Theudoald, the son of Grimoald, who was still young (and amenable to Plectrude's control). Pepin died suddenly at an old age on 16 December 714, at Jupille (in modern Belgium). His legitimate grandchildren claimed themselves to be Pepin's true successors and, with the help of Plectrude, tried to maintain the position of mayor of the palace after Pepin's death. However, Charles had gained favor among the Austrasians, primarily for his military prowess and ability to keep them well supplied with booty from his conquests. Despite the efforts of Plectrude to silence her rival's child by imprisoning him, he became the sole mayor of the palace and de facto ruler of Francia after a civil war which lasted for more than three years after Pepin's death. Source : http://en.wikipedia.org/wiki/Pippin_of_Herstal |
Abbaye |
http://fr.wikipedia.org/wiki/Pepin_le_Bref http://en.wikipedia.org/wiki/Pippin_the_Short Né à Jupille en Austrasie, Pépin le Bref est le petit-fils de Pépin de Herstal et un des fils de Charles Martel, tous deux maires du palais d'Austrasie sous les rois mérovingiens. A la mort de son père, en 741, il partage le pouvoir avec son frère Carloman et deviens maire du palais de Neustrie et de Bourgogne. En 743, pour mettre fin à une révolte qui avait éclaté, les deux frères rétablissent un roi mérovingien, Childéric III, mettant fin à un interrrègne, qui durait depuis 737. Mais en 751, avec l'approbation du pape, il fait enfermer ce roi (le dernier des mérovingiens) dans une abbaye et se fait élire roi à sa place par les Grands du royaume et sacrer par les évêques. C'est la cérémonie du sacre, renouvelée à Saint-Denis par le pape Etienne II en 754, qui confère à la dynastie des Carolingiens, une "légitimité" et un "pouvoir divin". Elle consacre l'alliance entre la papauté et la royauté franque. Pépin le Bref meurt en 768, son royaume est partagé entre ses deux fils, Charlemagne et Carloman. CdBdM |
Évêque |
Ou 772 |
R E M I G I U S [1] Évêque de Rouen de ? 755 à ? 771/2 Fils naturel de Charles-Martel [2], Remigius [3] reçoit de son demi-frère Pépin divers biens bourguignons, dont des biens de l'église de Langres [4]. Les Gesta sanctorum patrum Fontanellensis coenobii du IXe siècle [5] rapportent qu'après la déposition de l'évêque Ragenfridus, en 755, c'est à Remigius qu'est donné l'évêché de Rouen. En 760 [6], le roi Pépin l'envoie avec le dux Autcharius en mission en Italie pour régler les différends entre le pape Paul Ier et le roi lombard Desiderius, mission remplie en partie avec succès en avril de cette année. Dans une autre lettre à Pépin [7], le pape [8] rapporte que Remedius avait fait venir de Rome Symeon, chef de la schola cantorum, pour instruire ses moines dans le chant liturgique romain; celui-ci ayant dû rentrer prématurément, Remedius envoie ses propres moines à Rome afin d'y parfaire leur formation. Remedius vocatus [9] episcopus civitate Rodoma souscrit l'association de prières [10] conclue lors du synodus conventus d'Attigny qui se tient vraisemblablement en 762. D'après la tradition [11], Remigius Rotomagensem episcopum aurait été chargé par Pépin de ramener à Montecassino les reliques de saint Benoît alors au monastère de Fleury, ce que seul un miracle aurait empêché [12]. Par un diplôme non daté [13], le roi Charles le Chauve confirme les chanoines de l'église cathédrale (Sainte-Marie) dans la possession de leur mense canoniale composée de biens qui leur ont été successivement attribués par l'archevêque Remigius [14], ceux-ci leur ayant été confirmés par un précepte de Charlemagne [15], puis par les successeurs de Remigius sur le siège de Rouen; suit l'énumération de ces biens [16]. Le 26 mai 876 [17], Charles le Chauve confirme aux moines du monastère de Saint-Pierre, où repose le corps de saint Ouen [18], la possession et l'administration des biens affectés à leurs besoins, conformément à l'attribution qui leur en avait été faite au temps de l'évêque Remigius [19], et énumère ces biens [20]. Il stipule en outre que des avoués seront établis à perpétuité sur tous les domaines où il en a existé au temps de l'évêque Remigius [21]. La date de la mort de Remigius est placée par des textes très postérieurs en 771 ou 772 [22], au 19 janvier [23]. [1] Autres formes onomastiques: Remedius, Remegus. [2] Codex Carolinus n° 19 et 41, MGH Epistolae III p. 519-520 et 553-554 (Jaffé, Mon. Carol., p. 86-88 et 139-140): Remedius germanus vester (= Pépin); Pradié, Chronique, c. VIII/3 p. 100; Lohier/Laporte, Gesta, p. 62: Remigio, fratri eiusdem gloriosi regis Pippini; Adrevaldi Miracula s. Benedicti, MGH SS XV,1 p. 485: Remigium Rotomagensem episcopum, naturalem suum (= Charles-Martel) ac Karlomanni fratrem; Genealogia comitum Flandriae, I, MGH SS IX p. 302: Karolus senior et dux genuit Pipinum, Karlomannum, Griphonem et Bernardum ex regina, Remigium et Geronimum ex concunbina; cf. Hlawitschka, Die Vorfahren, p. 79-81 n° 32, 42 et 44. [3] Peut-être est-il identique au Remedius, cité parmi les fideles de Pépin dans un jugement du 11 février 748. [4] Bougaud/Garnier, Chronique, p. 248-249: Pipinus igitur Rex habuit quendam fratrem, nomine Remigium, cui in Burgundia plurima loca concessit. Inter quae etiam res ad Episcopatum Ecclesiae Lingonensis pertinentes, quas sicut sibi visum est,suis asseclis dimisit. Sed, o nefas! Monasterium (= Bèze, Côte-d'Or, arr. Dijon, cant. Mirabeau) hoc Anglae uxori cujusdam Theotardi, quia ejus stupro potitus fuerat, non custodiendum, sed diripiendum dedi. Sur cette divisio, cf. Semmler, Die Aufrichtung, p. 33-35. Il est improbable que Remigius ait occupé le siège épiscopal de Langres, malgré Bougaud/Garnier, Bèze, p. 249: Postquam autem remoto Remigio Episcopatus Lingonensis Episcopis legitimus cessit, â, Quelques aspects, p. 17-18, 21-22; Gallia Christiana, t. 4, c. 525, 705. Sur la valeur historique de la Chronique de Bèze, composée au XIIe siècle, cf. Bougaud/Garnier, Chronique, p. XXV-XXVII. [5] Pradié, Chronique, p. XXV-XXVIII; Lohier/Laporte, Gesta, p. XXXI-XXXIII, 62. La date de 755 pour le début de l'épiscopat de Remedius à Rouen est confirmée par un manuscrit des Annales Petaviani (ms. lat. 4995 Bibliothèque Nationale de Paris ; MGH SS I p. 11); cf. Werner, La date, p. 135 (ou Werner, Das Geburtsdatum, p. 148; ce dernier, p. 130-136, penche pour l'hypothèse que les notices en question ont été rédigées en 770 ou peu après); Hahn, Jahrbücher, p. 8 etn. 4. [6] Lettre du pape à Pépin d'avril 760: Codex Carolinus n° 19, voir n. 2 supra; cf. Kehr, Über die Chronologie, p. 146-148; Oelsner, Jahrbücher, p. 343-344. [7] Codex Carolinus n° 41, cf. n. 2 supra. Cette lettre non datée est donc à placer après le voyage de Remedius à Rome en 761. Peut-être a-t-il alors même ramené Symeon avec lui. Comme l'on ignore l'identité du moine franc qui composa le sacramentaire du VIIIe siècle dit Gélasien, l'hypothèse de voir en Remedius son auteur a été avancée (cf. Vogel, Introduction, p. 58-67), du fait de son zèle pour la liturgie latine. [8] + 28 juin 767. [9] Cette expression pourrait désigner un évêque non encore consacré, mais aussi être une formule d'humilité (cf. Niermeyer, Mediae Latinitatis Lexikon, p. 116 qui cite justement l'exemple de Remedius!). Il faut remarquer que Remigius ne figure pas parmi les participants du concile de Compiègne de 757, ni parmi les témoins du diplôme de Pépin pour le monastère de Prüm du 13 août 762 (cf. Ewig, Saint Chrodegang, p. 240-248). [10] Manuscrit du VIIIe siècle: MGH Conc. II,1 p. 72-73; cf. Hartmann , Die Synoden, p. 79-81; de Clercq, La législation, p. 143; Oelsner, Jahrbücher, p. 361-363, 366, 474-477; Schmid/Oexle, Voraussetzungen, p. 107 n. 50; Werminghoff, Verzeichnis, p. 469. [11] Adrevald de Fleury, MGH SS XV,1 p. 484-485 (vers le milieu du IXe siècle); cf. Vidier, L'historiographie, p. 252-253; Hoffmann, Abtslisten , p. 339, 342-346; Tangl, Die Sendung, p. 30-31. [12] Cette anecdote, à mettre en rapport avec une lettre du pape Zacharias de (748/751), se placerait donc à une époque où Remigius n'était pas encore évêque de Rouen. En effet, dans cette lettre adressée à omnibus sacerdotibus (et) presbyteris ecclesiae Francorum, le pape relate que l'abbé Optatus de Montecassino et le moine Carloman, frère du maire du palais Pépin, désirant réconcilier ce dernier et son frère Griffo par l'envoi de moines, ont prié le pape de s'entremettre pour l'Åuvre de paix et aussi pour la restitution des reliques de beati Benedicti (Codex Carolinus n° 18, MGH Epist. III p. 467-468; lettre datée d'après la mention du maire du palais Pépin; cf. Jaffé, Regesta, p. 268 n° 2290; Hoffmann, Abtslisten, p. 338-346 qui arrive à la conclusion que la lettre est authentique). [13] DCC II n° 399 p. 384-390 à placer entre mars 872 et le 25 décembre 875. Original perdu, copie du XIIIe siècle. [14] Peut-être est-ce Remigius qui créa la communauté de chanoines à la cathédrale de Rouen (cf. Gauthier, Rouen, p. 17). Mais, dans l'acte cité, il est aussi fait mention de Rainfredus episcopus, prédécesseur de Remigius, ainsi que de Grimo â [15] Diplôme perdu, cf. DCC II p. 385. [16] Le diplôme fait mention d'un vicedominus de l'archevêque Remigius au sujet du don d'une vigne, d'un bien en Pincerais donné à Remigius par un certain Gerbaldus. [17] Original. DCC II n° 407 p. 406-411. [18] Le premier texte connu où Saint-Ouen de Rouen soit considéré comme un monastère est de 872 (cf. Gauthier, Rouen, p. 15; Gallia Christiana, t. 11, c. 136). Mais cette communauté monastique est antérieure à 842 (cf. Vita IIa S. Audoeni, 46, AA. SS. Aug. IV p. 819). [19] "Ce pourrait bien être lui qui aurait installé à Saint-Ouen une communauté de moines en la dotant de biens propres" (cf. Gauthier, Rouen, p. 15-16; Semmler, Episcopi potestas, p. 309). [20] Cf. DCC II p. 406 n. 3. [21] Ibid. p. 407 n. 1. [22] Vita S. Remegii episc. Rotomag., AA. SS. Ian. II p. 235-236 (composée avant 1090, cf. Abel, Jahrbücher, p. 85 n. 6 et 86); Gallia Christiana, t. 11, c. 19-20; certaines listes épiscopales depuis le XIIe siècle, cf. Sauvage, Elenchi, p. 406-428 et tableau à la fin du livre. Le successeur de Remigius, Mainhardus, n'est attesté avec certitude qu'à partir de 794 (cf. Duchesne, Fastes, II, p. 210). [23] Vita S. Remegii, cf. note précédente; Gallia Christiana XI c. 20: 14. Cal. Februarii. Source : P Ract Madoux (Jules Thieury: "Armorial des archevêques de Rouen, avec des notices généalogiques et 40 blasons" Rouen 1864) 4 iii 2005, J-P de Palmas ("Famille et pouvoir dans le monde Franc" Régine Le Jan, Publications de la Sorbonne 1995 ) |
Administrateur du diocèse |
Daughter of [HIERONYMUS & his wife Ercheswinda/Ermentrudis ---]. She received property from Fulrad [her brother] 769-782. Richarde, mariée à Nithard et mère d'Angilbert, abbé de Saint-Riquier (Settipani 1993, p. 359-361.) Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
Abbé |
Il est élevé à la cour avec son frère Adalhard et deviendra abbé de Corbie à la mort de son frère. Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
Landrade, vivante au VIIIe siècle, est probablement fille de Lambert, noble en Hesbaye, et appartenait à la famille qui devint un siècle plus tard les Robertiens. Landrade fonda une abbaye à Munsterbilzen (Belisia Monasterii) en Hesbaye. Câ En 764, elle fonda avec son neveu Cancor, l'abbaye de Lorsch. Son fils Chrodegang en devint l'abbé l'année suivante. Elle épouse Sigramm, dont elle eut : Chrodegang Saint Chrodegang (v.712 â Des études récentes (Christian Settipani, entre autres) montrent qu'elle est très probablement sÅur de Rotrude (v. 695 âet père d'Ingramn (le père de l'impératrice Ermengarde), de Cancor et de Thurimbert, ancêtre des Robertiens. Pendant un temps, les historiens l'ont considéré comme une sÅur de Cancor, mais se sont avisés qu'ayant eu un fils vers 712, cette filation était chronologiquement impossible, bien qu'il soit manifeste qu'elle en soit parente proche. C'est par l'onomastique qu'on la considère actuellement comme fille de Lambert. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Landrade |
Missus en Italie |
Comte palatin |
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