| Dans La Vita Geraldi Auriliacensis (Vie de Géraud d'Aurillac), une oeuvre majeure de la littérature hagiographique du Haut Moyen Âge. Ecrite peu après la mort du saint (909) par son disciple et ami, Odon (ou Eudes), abbé de Cluny de 927 à 942, à la demande de l'évêque Turpi(o)n de Limoges, qui est un témoin précieux de la société des temps carolingiens auvergnats et méridionaux il n'est pas fait de mention de mariage ou descendance pour Saint Géraud. Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
| page 391 |
| Sur le contrat de mariage, il est dit que la future reçut de son père en se mariant 4 robes, l'une de damas gris, l'autre de velours noir, la troisième de cramoisi rouge et la quatrième de satin violet. Ce mariage produisit 12 enfants, ainsi qu'il est reconnu dans l'accord qui fut passé en 1612, au château de Villeneuve, entre Gaspard II et son neveu Hugues VI. Marié le 8 janvier 1582 selon DE RAUGLAUDRE Denis |
| Témoin en 1555 au mariage de Jean Jacques de RASPAUD et de Jeanne de VILLENEUVE Source : Denis de RAUGLAUDRE |
| Marié avec Antoinette de VIDAL Source : Denis de RAUGLAUDRE |
| Marié en 1578 avec Jeanne de MONTCLAR, fille de Bertrand de MONTCLAR et de Claire d'HAUTPOUL Témoin en 1555 au mariage de Jean Jacques de RASPAUD et de Jeanne de VILLENEUVE Source : Denis de RAUGLAUDRE |
| Mort jeune Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
| Mort jeune Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
| Tué |
| Révolté contre son père Clotaire 1er, il fut défait par ce dernier qui le fit brûler avec sa femme et ses enfants ! Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
| Le 19 décembre 804 (source : F. CAYRE) |
| Envoyé en campagne contre les Goths dès 534, il mourut du vivant de son père. Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
| Tué à Etampes |
| Mariée avec Frédelon de Rouergue ca 775-ca 849 Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
| Austrasie |
| Exécuté - Somme |
| Saint Léger ou Léger d'Autun (en latin Leodegarius) - francisation du germanique Leudgari, de "leud" (peuple, gens) et "gari" (lance) âe la monarchie mérovingienne finissante. Il est lié aux villes de Poitiers, où se fit sa formation et où se trouvent ses reliques, et d'Autun dont il fut l'évêque, ainsi qu'à la région de Fécamp et d'Arras où il est mort vers 677/678. Un concile d'évêques a proclamé sa sainteté en 681 et l'Église catholique célèbre sa fête le 2 octobre. On le nommera Léger par commodité, mais cette forme francisée moderne est anachronique. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Léger_d'Autun |
| Enterré en pleine forêt entre Arras et Amiens |
| Cité à Prüm |
| Selon Arthur Zuckerman ( "A Jewish Princedom in Feudal France", Columbia University Press, 1972) l'ascendance montrée ici est fausse (il faudrait en effet fusionner les deux époux d'Aude). Il identifie Thierry (Theuderic) avec Makhir un prince de la lignée du roi David, descendu des Exilarches des Juifs à Babylone depuis le premier diaspore (sixième siècle avant JC) quand le roi Jehoiakhin y installa son peuple. Si c'est vrai, tous les descendants de Thierry (la très grande majoritée de l'aristocratie européenne) descendent donc des rois d'Israël, de David, et puisque selon le Bible, d'Abraham, Noë, et enfin Adam et Eve (pour ces trois derniers, si l'on en croit la Bible, il n'y a pas besoin d'être artistocrate !). Voir aussi : "the link between the Exilarchs and European Royalty is through Theodoric of Septimania, aka Machir ben Habibai, who was Judiarch of Narbonne", http://www.dangoor.com/74059.html Et en très grand détail : http://hometown.aol.com/rdavidh218/davidicdynasty.html et selon Aurelio Isamat (CM d'Amat) : Aymerich de Narbonne = Aymeri de Narbonne = Théoderic «le Pieux» de Toulouse = Thierry dâ+l et Judah à Occident 768-793, Roi de Catalogne 768-793, Duc de Septimanie 778-792, Comte de Narbonne 768-792, Duc dâark) 778-793, Duc de Rhétie 784-793, Duc de Pannonie 791-793, Comte de Toulouse 768-775, Comte dâ "En retour de la promesse de Pépin d'accorder reconnaissance à un de leurs princes, les Juifs firent reddition de Narbonne assiégée aux Francs en 759. Pépin racheta bientôt sa promesse par la suite quand Natronai-Makhir, un exilé de larace de David, fut forcé de s'exiler vers l'ouest par un bouleversement politique à Baghdad. Il devint le premier nasi (patriarche) sous les Carolingiens, à leur invite. Les Juifs l'acclamèrent comme Messie fils d'Ephraïm, dont la venue en 768 coïncidait avec la fin de 700 ans après la ruine du Temple, correspondant à la période prophétisée et calculée pour le proverbe d'Edon-roe, le quatrième royaume et son barbare conquérant. Pépin reçut Makhir dans la noblesse franque et l'adouba avec le nom distinctif de Théodoric. Les lois carolingiennes accordèrent à Makhir-Théodoric une propriété terrienne en libre aloi, incluant d'anciens biens ecclésiastiques, situés en Septimanie et dans le Toulousain, et étendus à d'autres en Espagne. Par acte d'ordonnance, Makhir-Théodoric devint vassal des Carolingiens qui, en retour, assuma la suzeraineté des Juifs comme une évidence suplémentaire d'être introduit en succession biblique légitime. Makhir prit pour femme une princesse carolingienne, apparemment Alda (Aude), soeur de Pépin. Leur fils fut Guillaume, comte de Toulouse. A l'époque Makhir, appelé également Al-Makhiri ou Ha-Makhiri, vint à être connu comme Aymeri le fameux guerrier et géniteur d'une lignée de héros célébrés dans les chansons de geste. Son fils, le comte Guillaume de Toulouse, servit bien des fois Charlemagne. Comme le parasite, il fut probablement l'un des chefs de la mission à Baghdad et à Jérusalem, qui prit des dispositions pour le transfert symbolique de la Cité Sainte par le Calife de Baghdad envers Charlemagne pour son couronnement à Noël de l'an 800 (Guillaume) ne devint jamais moine. C'est son influence à la cour, aussi bien sous Charlemagne que sous Louis le Pieux qui laissa une trace intéressante, et la possible conversion au judaïsme d'une partie de plusieurs pays. Les débuts les plus marquants furent la conversionà la génération suivante de Bodo, diacre de l'empereur Louis, qui s'enfuit en Espagne et y porta la propagande comme nasi (chef) des Juifs, il fonda une académie, fit venir des étudiants, et fonda une bibliothèque, puis une fondation qui fut plus tard convertie en monastère de Gellone (St Guilhem-le-Désert). Le membre le plus remarquable de la dynastie de Makhiri fut un fils de Guillaume, nommé Bernard de Septimanie. Son nom de cour "Naso" tire pour origine le titre hébreu de "Nasi" au milieu de son propre peuple, quoique cela lui fut octroyé avec intention par ses opposants comme une référence dérogatoire concernant son nez. Bernard, en tant que chambellan de Louis le Pieux et second après le roi, fut un homme d'État, meneur dans le royaume à partir de 829... Sources : - "A Jewish Princedom in Feudal France 768-900" d'Arthur Zückerman ["une principauté juive dans la France féodale 768-900"] (Columbia University Press, 1972). - Dans l'"Histoire des Juifs de France" de Annie Perchenet éditions Cerf-1988, je lis page 34/35 : "Quand Charlemagne voulu s'emparer de Narbonne, restée aux mains des Arabes, il s'adressa aux juifs de la ville qui lui apportèrent leur appui et lui firent en contrepartie cette requête : - Qu'il y ait toujours un roi de notre nation, ainsi qu'il doit être comme c'est le cas aujourd'hui. C'est sur son ordre que nous sommes venus à vous, il appartient à la famille de David etvient de Bagdad . ( source d'après S. Schwarzfuchs page 19) Source : http://erwan.gil.free.fr/base_gil/pag1.htm |
| Sa veuve se remarie en 827 |
| A Moulins (03) selon courriel de L. DESCHÉ (19/2/2008) - http://fr.groups.yahoo.com/group/genallier/message/41776 |
| Mariée le 19 août 1371 à Vodable (63), avec Louis II le Bon de BOURBON (3ème Duc de Bourbon (1356-1410), Comte de Clermont (1371). Comte de Clermont-en-Beauvaisis, et non de Clermont-Ferrand, ville épiscopale, dépendante du duché d'Auvergne, apanage de son cousin le duc de Berri. Guillaume de PAYSAC. Né en 1336 ou 1337. Décédé le 19 août 1410 à Montluçon), fils de Pierre Ier de BOURBON (Duc de Bourbon (1342-1356). Né vers 1311. Tué le 19 septembre 1356 à Poitiers) et de Isabelle de VALOIS (Née en 1313. Née après 1308 selon source non citée. Décédée le 26 juillet 1383 à Paris), mariés le 25 janvier 1336. Source : Denis de RAUGLAUDRE |
| Le Père Anselme donne 1382, "suivant les registres des arrêts du Parlement de Paris". Source : J.M. GIL |
| En secondes noces pour l'époux |
| En 1334 Source : Ascendance de Geneviève de CHABANNES LA PALICE - Fichier "CHABANNES Genevieve.pdf" - page 57 |
| Attesté en 1386 lors de la tentative avortée de débarquement en Angleterre, à Bruges, in Jean Froissart "Chroniques". |
| Le 17 janvier 1400 Source : Ascendance de Geneviève de CHABANNES LA PALICE - Fichier "CHABANNES Genevieve.pdf" - page 57 |
| Source : Ascendance de Geneviève de CHABANNES LA PALICE - Fichier "CHABANNES Genevieve.pdf" - page 57 |
| PUF, 1997 (1ère édition) - ISBN 2 13 048763 7- page 102 |
| Noble homme Jean du Puy du Fou, dit le Galois, achète pour 1700 moutons d'or de Béraud, dauphin d'Auvergne, la seigneurie d'Azay-le-Rideau. Source : Bulletin de la Société archéologique de Touraine, t. II (1874), p. 466, n. 1 |
| Marié en 1409 avec Jeanne de La TOUR d'AUVERGNE (Décédée avant 1416), fille de Bertrand IV de La TOUR d'AUVERGNE (Seigneur de La Tour. Seigneur de Montgâcon du chef de sa femme. Décédé après 7 septembre 1423) et de Marie d'AUVERGNE (Comtesse d'Auvergne (31e, 1423-1437) et de Boulogne (30e). Née en 1370. Décédée le 7 août 1437. Inhumée aux Cordeliers à Clermont-Ferrand), mariés le 11 janvier 1389 Source : Denis de RAUGLAUDRE |
| Marié avec Blitsende N, dont : - Armand Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
| Le 23 août 1389 à Chamalières (63) Source : Ascendance de Geneviève de CHABANNES LA PALICE - Fichier "CHABANNES Genevieve.pdf" - page 47 |
| Mariée vers 1009 avec Eudes II, comte de Blois ca 989-1037, dont : - Berthe 1013-1085 - Thibaud III 1019-1089 - Étienne II +1048 - Almodie ca 1020-ca 1097 Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
| Marié en 819 Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
| Maison de Poitou |
| Abbé laïc de Saint Julien |
| Fondateur de l'abbaye de Cluny À sa mort en 886, Bernard Plantevelue, descendant de Thierry, comte d'Autun sous Pépin le Bref, et de l'illustre saint Guillaume de Gellone, marquis d'Espagne et comte de Toulouse sous Charlemagne, laisse à son fils Guillaume une vaste principauté (Auvergne, Velay, Gévaudan, Limousin, Berry, Gothie, Mâconnais), constituée en soutenant les rois carolingiens en titre contre les grands révoltés, Bernard de Gothie et Boson de Vienne. Guillaume poursuit d'abord la même politique, et obtient de Charles le Gros la reconnaissance de ses terres. Après la déposition de Charles et l'élection du roi Eudes, il s'efface devant Rannoux II, comte de Poitiers, qui se proclame roi d'Aquitaine mais meurt en 890. Il soutient alors Ebles Manzer, bâtard de Rannoux II, contre Adhémar, nommé comte de Poitiers par Eudes, d'où une campagne d'Eudes en Aquitaine en 892. Eudes prive Guillaume de tous ses honneurs et le remplace par un certain Hugues, mais Guillaume réagit en tuant Hugues au combat. La réconciliation de juillet 893, par laquelle il recouvre ses terres et obtient la dignité d'abbé laïc de Saint-Julien de Brioude, précède de peu le couronnement de Charles le Simple qui reconnaît Guillaume. Celui-ci se désintéresse alors du problème dynastique et se consacre au gouvernement de sa principauté, où il n'a de pouvoir incontesté que dans le noyau primitif fondé par l'Auvergne. Il cherche à créer son propre réseau de fidélités parmi les membres de la noblesse locale, se heurtant en particulier au refus du comte Géraud d'Aurillac. Il fonde de nombreuses abbayes, ce qui lui vaudra le surnom de Guillaume le Pieux. C'est lui qui en 909 (ou 910), donne ledomaine de Cluny 1, situé dans le Mâconnais, à l'abbé Bernon, d'une famille de Bourgogne, pour y construire une abbaye à placer sous la règle de saint Benoît, la mettant sous la sauvegarde directe du Saint-Siège et décidant l'élection libre de ses abbés par les moines : c'est l'origine de la grande congrégation clunisienne. En 898 il prend de sa propre initiative le titre jamais porté de "comte, marquis et duc d'Aquitaine", titre transmis à ses successeurs. À sa mort sans héritier direct en 918, le duché passe à son neveu Guillaume, fils du comte de Carcassonne, et se désagrège rapidement, pour sombrer dans le désordre à la mort du dernier représentant de la famille en 927. Dictionnaire des personnages historiques, s. d. J.-L. Voisin, Paris, éd. De Fallois, Le Livre de Poche, 1995, p. 449-450 Source : Daniel de RAUGLAUDRE Abbaye de Cluny : http://tinooeb.cluny.free.fr/abbaye/detail.html#3-7 |
| Basilique Saint Julien |
| D'après C. Laurenson-Rosaz, il serait plus probablement le fils de Guillaume frère de Robert. Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
| Sa filiation n'est pas certaine, il pourrait être le fils de Guy, frère de Robert. Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
| Cf. blason : http://gw.geneanet.org/index.php3?b=jmg2003&lang=fr&m=A&p=jeanne+dauphine&n=d+auvergne&v=3&t=G&siblings=on¬es=on&bd=0&color=&after=&before= Source : Jean-Michel GIL |
| Source : Ascendance de Geneviève de CHABANNES LA PALICE - Fichier "CHABANNES Genevieve.pdf" - page 43 |
| En secondes noces pour l'époux |
| Mariée vers 1430 avec Louis de LESPINASSE, fils de Philibert de LESPINASSE (Seigneur de Changy et de Maulévrier. Coseigneur de L'Espinasse. Bailly du Beaujolais. Né en 1352. Décédé en 1450) et de ? de NORRY (Née vers 1375) Source : Denis de RAUGLAUDRE |
| Mariée le 16 février 1390 avec Randonnet de POLIGNAC (Décédé en 1399), fils de Randon Armand X de POLIGNAC (Vicomte de Polignac; Seigneur de Thuret (1393). Mascarone lui apporte la seigneurie de Thuret qui passa ainsi aux Polignac. DécÀ
2 CONC )dé en 1421) et de Mascaronne AYCELIN de Montaigu (Née en 1350. Elle teste au château de Solignac en Velay le 3 mai 1410. Décédée après 3 mai 1410), mariés en 1367 Source : Denis de RAUGLAUDRE |
| Courriel de L. DESCHÉ (19/2/2008) - http://fr.groups.yahoo.com/group/genallier/message/41776 |
| Courriel de L. DESCHÉ (19/2/2008) - http://fr.groups.yahoo.com/group/genallier/message/41776 |
| Mariée en 1404 avec Jean IV de BUEIL (Seigneur de Bueil. Conseiller et chambellan du Roy; Grand maître des arbalétriers de France. Tué le 25/10/1415 à la bataille d'Azincourt), fils de Jean III de BUEIL (Seigneur de Bueil. Conseiller et chambellan du duc d'Anjou; son lieutenant-général en Anjou, Touraine et Maine. Né vers 1330. Décédé vers 1390) et de Anne ou Jeanne d'AVOIR (Née vers 1340) Source : Denis de RAUGLAUDRE |
| Mariée le 9 juillet 1400 avec Guillaume Ier le Sage de VIENNE (Comte de Sancerre; Seigneur de Saint-Georges, Sainte-Croix et de Joux (1410-1437). Bailli et capitaine général de Bourgogne. Brevet n° 2 de chevalier de l'Ordre de la Toison d'Or (1430). Décédé après le 11 mars 1435), fils de Hugues de VIENNE (Seigneur de Saint-Georges. Décédé avant 2 mai 1362) et de Jeanne de CHÂTEAUVILLAIN, mariés vers 1360 Source : Denis de RAUGLAUDRE |
| Philippa d'Auvergne épousa en 1048 Archambaud "Le Jeune" (+1078) fils d'Archambaud "Le Vert". Elle est mère d'Archambaud "Le Fort" (+1095), d'Aymond II Vaire-Vache (+1120) et d'Ermengarde x 1070 Foulques "Le Réchin" comte d'Anjou. jblg 9/11/2009 JB.de La Grandiere (ESS XIV p 56 -Bourbon-Marburg 1991)14 xii 2009 (Il y a quelque chose qui ne colle pas dans cette note âergne n'est ni l'épouse d'Archambaud IV le Fort (comme à ce jour sur roglo), ni celle de son père Archambaud III du Montet ou le Jeune. Les chartes ne permettent aucun doute à ce sujet. Je la sépare de son faux mari et de ses faux enfants et l'abandonne à son triste sort. P. Fauchère 23.03.10) Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
Ces pages ont été fabriquées avec le logiciel Oxy-Gen version 1.38j, le 03/01/2015. Vous pouvez le télécharger sur ce site.