Parrain : NESPOULOUS An? de Notre Dame d'Ourtiguet Marraine : BRANDIé Magdeleine sa grand mère Témoin : MAYNAU Barthélémy son oncle |
Parrain : MAYNAU Jean son grand père Marraine : PUJOL Louise sa grand mère |
3E9/145 folio 101 |
Parrain : BRANDIé Pierre Marraine : COMBES Magdeleine |
Source lieu : son acte de décès |
4E243/8 (4E046049, page 10/24) |
Déclarant : TIER Joseph, 60 ans, cultivateur à Saint Juéry, plus proche voisin et non parent de la défunte, ne signe pas Officier de l'état civil : CONSTANS Michel Anselme, maire |
fils de la défunte |
Sans profession |
Fille de feux (14 juin 1864) Pierre MAZEL (cultivateur) et de Marie Anne PUJOL (sans profession) demeurant, quand vivaient, à Anglars / Saint Sernin sur Rance Source : son acte de décès |
Descendance : - CLAVEL Antoine né le 14/9/1821 à 5h à Saint Juéry / Saint Sernin. Source : AD 12, 4E17/2 (4E049434, page 14/22) |
Source : acte de mariage de sa fille Marie MELLIER |
Journalier |
A l'âge de près de 35 ans Témoins : MAZUEL Louis son frère de Neufville, BROUSSE Etienne son beau frère de Vernines |
Témoins du futur (majeur) : COUGOUL Joseph son cousin de Vernines Témoins de la future (majeure) : MAZUEL Louis et Etienne ses frères de Neufville |
frère du futur |
Fils de Michel et Michelle BOUCHEIX |
BIOGRAPHIE: Fille de Michel et Françoise PONS |
6E272/2 - 191 |
Parrain : MEGEMONT Jean de Bouchetel, ne signe pas. Marraine : BALLET Anne de Luc Haut, ne signe pas. |
Témoin : GIRARD Jean du Boyer, oncle à l'épouse |
Fils de Michel MEGEMONT et de Marie BLANCHEIX, tous les deux vivants au 10/2/1755 |
Descendance : - Jacques MEGEMONT baptisé à Perpezat le 3 août 1756, né à Bouchetel - Michel MEGEMONT baptisé à Perpezat le 14 décembre 1758, né à Bouchetel |
Fille d'Arnaud de MÉJANÈS (Seigneur de Larguiez) et de ?, mariés vers 1570 Petite-fille de Jean de MÉJANÈS et de Hélips de TEULAT, mariés vers 1530 Source : Jean-Michel GIL |
Marié vers 970 avec ? de PROVENCE, dont : - Bernard III de MELGUEIL (vers 970 - vers 1036) Source : F. CAYRE |
Veuve de son oncle Roger I de COMMINGES Source : F. CAYRE |
Journalier |
Source : son acte de mariage |
Domestique |
3E 3209, page 231/265 |
Témoins : - François PERRIN, ami du requérant, 36 ans, tailleur de pierres à Charly, ne signe pas - Antoine CHAVY, ami du requérant, 45 ans, maréchal ferrant à Lantan, ne signe pas - Etienne BELVILLE fils aîné, ami de la requérante, 34 ans, propriétaire à Lantan, signe - Etienne BAILLY, ami de la requérante, 21 ans, domestique à Thaumier ?, ne signe pas |
Notes relatives à la famille De MELLO : En 1374, la châtellenie de Mello comptait 27 fiefs : 7 étaient possédés par des chevaliers, 7 par des écuyers, 13 par des non nobles au moins présumés. En moyenne, chaque fief de chevalier correspondait à un revenu annuel de 45 livresparises, contre 25 aussi bien pour les fiefs d'écuyers que pour les fiefs de non nobles. B. Guenée, op. cit. Source : Ph. CONTAMINE - La noblesse au royaume de France de Philippe le Bel à Louis XII - PUF, 1997 (1ère édition) - ISBN 2 13 048763 7- page 89 |
Il est certain, d'après le testament d'Agnès, qu'elle possédait dans son patrimoine personnel le pays de Viadène et tout au moins une très grande portion des vigueries de Bromme et de Barrès, sur lesquelles s'étendait la partie méridionale de la terre de Turlande. Elle partagea ce vaste territoire entre ses trois fils: Gilbert qui fut Gilbert II troisième vicomte connu de Carlat, Géraud et Bernard. Il résulte encore de son testament que Gilbert et Bernard reçurent d'elle chacun la moitié de la châtellerie de Mels contigüe aux terres de Bénavent et Turlande; que Géraud en eu Alpuech dans le pays de Viadène (canton de Sainte-Geneviève) et Mandillac (commune de Thérondels au pays de Barrès) séparée de Turlande par le seul lit de la Truyière. A ces deux branches advinrent aussi Nigreserre et le fief de l'immense paroisse primitive de Raulhac. Turlande lui-même relevait du vicomté de Carlat. Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
Comte de Melun en 830, dépouillé de ce bénéfice par Louis le Débonnaire, qui en investit un seigneur nommé Aton. Charles le Chauve réintègre Donat dans le comté de Melun. En 837 Donat comte de Melun règle un différent entre les abbayes de Fleury et de Saint Denis. Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
Elisabeth de Melun étant veuve du comte Aimon de Corbeil, son suzerain la remaria à Bouchard le Vénérable afin que les places fortes de Corbeil et de Melun soient sous le contrôle d'un fidèle. En retour, Bouchard nommera vicomte de Vendôme des parents de sa nouvelle femme. JB de Courcelles pense qu'elle était la tante d'Hughes Capet (et donc la soeur d'Hedwige). Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
Vue 108 Chez Maître BLANC Pour l'épouse, c'est son frère maternel, Pierre ROLLAND, qui acte (il se marie dans l'acte suivant avec Finoye PUJOL) et constitue la dot. Cet acte est suivi (photo 110) de la donation de Jean PUJOL à son fils Antoine de la moitié de ses biens |
Parrain : Jean FOURNIER â Marraine : Marie TIERSE , cousine |
Témoins : - Jean GRAS , prêtre et secondaire - Joseph MARTIN , prébendier |
Descendance : - Marie Jeanne MENRAS 1715 - Rose MENRAS 1717 - Dominique MENRAS 1721-1787/ - Charlotte ou Charle MENRAS 1723-1768/ - x MENRAS 1725-1730 - Jean Pierre MENRAS 1726-1726 - Jean Pierre MENRAS 1727 - Guillaume MENRAS 1730 - Jean Antoine MENRAS 1735 - Joseph MENRAS 1738 - Françoise MENRAS ca 1740 - Marie Anne MENRAS â Sources : Michel DELMON et Raymond FLAMION |
Courriel du 11/8/2007 |
Le 2/3/1721 aux Boulouisses / Belmont Source : Jacques BARTHELEMY |
Laboureur |
Courriel du 11/8/2007 |
14 Thermidor An 3 |
Courriel du 11/8/2007 |
Témoins : Jean TIER, Paul DOUMENGE, Jean FRAISSINET |
Marié le 6 août 1776, Belmont ; Aveyron, avec Jeanne PRIVAT â - Marie MENRAS 1779-1813 Source : Jacques BARTHELEMY |
Parrain : Antoine GUILHOT , de Parrinet - oncle Marraine : Marie THÉRON , psse de Rebourguil - tante |
Mariée le 9 février 1779 à Belmont-sur-Rance avec Jean FONTAINE ! FONTANILLES (1748-1794). Témoins : François Guillaume MENRAS laboureur des Boulouisses, André ROQUE de la métairie de Roquefère, Jean MENRAS de Belmont - frère de Marie, André MENRAS de Belmont - frère de Marie. Dont : - Jean Louis FONTAINE 1779-1780 - Dominique FONTAINE 1781 - Marie FONTAINE 1784 - Marianne FONTAINE 1786 - Jean Pierre FONTAINE 1788-1878 - Joseph FONTAINE 1791 Source : Estelle DESNOES |
Marié le 15 juin 1702, Belmont ; Aveyron, avec Jeanne ROQUE 1682-1765, dont - André MENRAS 1704 - Guillaume MENRAS 1707 Source : Jacques BARTHELEMY |
Presque tous les hagiographes qui ont recueilli la tradition ancienne de La Chaise-Dieu ont constaté les relations des ascendants de Saint Robert avec un lieu portant le nom de Reilhac. J'ai démontré par deux actes dont le rapprochement est péremptoire que cette tradition était fondée, et que sa famille était bien propriétaire à Reilhac en Brivadois. L'étude des maîtres de ce lieu au temps de ses grands parents va nous révéler ceux-ci par de multiples et de singuliers rapports de noms de lieux et de synchronismes. Ce ne sera pas l'évidence matérielle cependant, comme pour son père, sa mère et ses frères de Turlande; ce sera du moins une grande vraisemblance. C'est sous ses réserves que je crois devoir consigner les notes qui suivent. Sous le roi Lothaire, un seigneur du nom de Géraud épousa Ingelberge, dame de Reilhac, très probablement de la famille de Béraud 1er de Mercoeur. Je me sers ici des termes de dame et de seigneur, bien qu'ils ne fussent pas en usage chez les nobles de la fin du X° siècle, parce que si la qualification de dominus et de domina ne leur est pas encore donné dans nos cartulaires, ils n'en possédaient pas moins le seigneurat sauf les droits régaliens. Reilhac était le chef-lieu primitif d'une vaste paroisse du canton de Langeac, arrondissement de Brioude, qui s'étendait dans la vallée de Cronce, depuis Arlet jusqu'à la source de cette petite rivière dans la chaîne de la Margeride entre Brioude, Saint-Flour et Ruines. Elle dépendit, au X° siècle, du comté de Brioude et, suivant les époques, de la viguerie de Rageade (canton de Ruines, arrondissement de Saint-Flour) ou celle de Chanteuges. Avant Ingelberge, on trouve le lieu dans le domaine des seigneurs de Mercoeur; dans celui d'Itier Ier tige de cette race d'après son testament de 936, où il figure avec le Mercoeur du canton de Lavoûte-Chillac, situé près de là, le vrai, le plus ancien Mercoeur, celui d'où la race a tiré son nom, qu'elle a communiqué ensuite au Mercoeur d'Ardes; et avec Rageade, les Loudières (commune de Rageade), le Fayet (commune de Mentières) et Reyrolles (commune de Saint-Georges , canton nord de Saint-Flour). La villa Rialago passe à son fils aîné, Béraud Ier, qui dispose vers 970-982 de ce qu'il y possède par le dernier acte connu de lui. Il résulte de ces deux actes, très intéressants au point de vue géographique, que la viguerie dontReilhac faisait partie englobait alors toute la Margeride, versants Cantal et Haute-Loire, depuis Mercoeur et La Chapelle-Laurent jusqu'à Mentières et à la paroisse de Saint-Georges de Brossadol près de Saint-Flour, et même jusqu'à Védrine-Saint-Loup. Rageade et Chazelle (arrondissement de Saint-Flour), membres de cette viguerie, sont même plus près de Reilhac et de Langeac que de Saint Flour. Le fait a son prix au point de vue du voisinage des Turlande. Cette circonstance que Reilhac sert d'apanage à Ingelberge aussitôt après Béraud Ier de Mercoeur, le père de Saint Odilon, la convenance des dates, les rapports plus intimes que l'on trouve à partir de cette époque entre la famille desMercoeur et celle des seigneurs de Turlande et de Solignac, donnent à croire qu'Ingelberge fut une des filles de Béraud, une soeur par conséquent de Saint Odilon, abbé de Cluny. Ce dernier ne la nomme pas, il est vrai, dans la charte de fondation du prieuré de Lavoûte, près de Brioude, où il énumère les membres de sa famille la plus proche; mais il n'y nomme pas tous ceux qui sont morts, il s'en faut; il se contente, pour plusieurs de donner le nom de ses neveux ou petits-neveux vivants. En outre, il dit avoir eu plusieurs soeurs et plusieurs neveux issus d'elles; et dans un membre de phrase séparé, il met ensemble, à coté l'un de l'autre, parmi ses neveux ou petits-neveux "Géraud et Robert" dans l'ordre de primogéniture qui fut précisément celui de Géraud de Turlande et de son frère Robert. Or, d'une part, en 1025, Saint Robert était à Brioude et probablement non encore engagé dans les ordres; et il est certain, d'autre part, que Géraud, mari d'Ingelberge, eut un fils aîné du nom de Géraud; ce serait dans ce Géraud là qu'il faudrait voir le père de Saint Robert et de ses frères de Turlande. Ingelberge eut trois maris. Du premier, qu'elle épousa fort jeune suivant l'usage et qui paraît avoir été Bernard fils de Bernard et de Goda de Vielle-Brioude, veuve d'Erail, tige des comtes du Gévaudan, il lui vint un fils Gausbert; du second, Ebrard, de la famille des seigneurs d'Usson, épousé vers 969, on ne lui connaît pas d'enfants. Le troisième fut Géraud. Ce fut avec son second mari Ebrard, qu'entre 970 et 975, elle gratifia l'ordre de Cluny d'un vignoble, d'une mansion et d'autres immeubles pour fonder le monastère de Reilhac qui fut, au siècle suivant, annexé au prieuré de Lavoûte fondé par tous les Mercoeur réunis et dotés par eux. Le jeune Gausbert s'associa à sa mère et à son beau-père Ebrard dans cette oeuvre. Ils voulurent être inhumés à Reilhac, indice que là était alors la résidence d'Ingelberge dans le pays: "si nous tombons dans le besoin, disent-ils tous les trois, Cluny devra venir à notre secours en nous fournissant le nécessaire à l'aide des revenus de Sauxillanges, et le moine qui aura l'obédience de Reilhac sera tenu de nous donner la sépulture". Source : http://labaraine.info/robert/robert.html Bibliographie : La noblesse du Midi carolingien: études sur quelques grandes familles..., par Chistian Settipani, 2004, p.335 |
Notes relatives à la famille De MERLE : En 1370, intervient devant notaire le partage du "chasteau ancien de Merle" entre Marie De MERLE, femme de noble Guy De VEYRAC, héritière de feu noble Hugues De MERLE, chevalier, seigneur dudit lieu, et noble Guillaume De MERLE, coseigneur de Merle et d'Alboy. De ce château, le document en question s'attache à indiquer la situation, les vonfronts, tout comme pour une maison de ville : il est placé entre les châteaux de noble Pierre De MERLE et de Bertrand De VEYRAC, d'une part, et le château de Pesteils appartenant à noble Jean De CARBONIÈRES, seigneur de Carbonnières, d'autre part. Signe de l'importance de l'accord : les intéressés n'ont pas agi seuls. Marie De MERLE s'est placée sous l'autorité de Guy De VEYRAC, son mari, et de noble Rigal De VEILHAN, son curateur; de son côté, Guillaume De MERLE a demandé conseil à demoiselle Flore, sa mère, et à Guy De MERLE, son frère. Le partage a été soigneusement fait : à Guillaume la partie du château - tour, salle, chambres - regardant le château de Pierre De MERLE et le bois de Pesteils, à Marie la partie du château tournée vers le soleil levant. Source : Ph. CONTAMINE - La noblesse au royaume de France de Philippe le Bel à Louis XII - PUF, 1997 (1ère édition) - ISBN 2 13 048763 7- page 145 |
Fils de Annet et Michelle GUIEZE |
Chez Maître LOURDON |
Parrain : DAUPHIN Louis Marraine : MESURE Marie |
Entre le 25/2/1783 et le 12/10/1784 |
Témoins de la future : ROUX Louis et MESURE Joseph de Vernines |
frère du futur |
Descendance : - Matfrid ca 860-930 Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
Assassiné |
Ansegisèle d'Arnoul ou Ansegisel ou Ansegise (né vers 614- mort av. 679 à Andenne), est le fils de Arnoul de Metz, (saint Arnoul), évêque de Metz et maire du palais d'Austrasie de 629 à 639. Vers 630, il épouse Begga de Landen (vers 613-693), fille de Pépin de Landen (580-640, dit Pépin le Vieux) et d'Itta de Nivelles (597-652), par ce mariage, ils scellent l'alliance entre les deux familles. Vers 633 ou 634, sous la pression de la noblesse Austrasienne, Dagobert 1er nomme son fils Sigebert III alors agé d'environ 2ans, roi d'Austrasie. Ansegisèle devint un de ses tuteurs. Il est le père de Pépin d'Héristal (vers 635-714, dit Pépin le Jeune). Il jouit d'une grande autorité au VIIe siècle, sous Sigebert III et Childéric II. On lui a donné quelquefois le titre de duc d'Austrasie. Il est assasiné vers 679, son épouse Begga fonde un monastère à Andenne. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ansegisèle_d'Arnoul Ansegisel (also Ansgise) (c.602-before 679) was the son of Saint Arnulf, bishop of Metz and his wife Doda. He served King Sigbert III of Austrasia (634-656) as a duke (Latin dux, a military leader) and domesticus. He was killed sometime before 679, slain in a feud by his enemy Gundewin. He married sometime after 639 to Saint Begga, the daughter of Pepin of Landen. They had the following children : Pippin II (635 or 640-December 16, 714), mayor of the palace of Austrasia. Martin, count of Laon. Clotilda of Heristal (650-699), married King Theodoric III of Neustria. Source : http://en.wikipedia.org/wiki/Ansegisel |
Évêque |
Anciennement Saint-Mont |
Pour Christian Settipani dans : "La préhistoire des Capétiens" (1993), Arnoul est le plus ancien ancêtre historique connu de Charlemagne. Le même auteur dans "Les ancêtres de Charlemagne" (1989), tente une reconstitution de ascendance de Charlemagne avec des hypothèses argumentées. Saint Arnulf est le quartier 32 de son travail. Arnoul est né vers 582 au château de Layum, aujourdâ Devenu adulte il entre au service de Théodebert II dont il est un temps intendant des domaines royaux. Il songe à se retirer pour mener une vie ascétique mais sa famille parvient à le marier en 611 à Dode d'Héristal (Sainte Dode), avec qui il aura deux fils Chlodulf (Saint Clou) (? - â Par sa position de leude à la cour il entre dans l'opposition contre Brunehilde et s'allie avec Clotaire II. Suite à cela il se retrouve associé à Pépin de Landen ; ils partageront le pouvoir et leurs enfants se marieront. En 613, Clotaire II devient maître de tout le royaume et récompense ses fidèles. Arnoul se voit ainsi octroyer en 614 le siège épiscopal de Metz âs. Enfin Clotaire le nomme précepteur de son fils Dagobert Ier (602-639). Lorsque Clotaire II nomma Arnoul évêque de Metz, son épouse Dode d'Héristal entra au couvent puisqu'un évêque ne peut être marié. En 629, lorsque meurt Clotaire II, il peut enfin se retirer et entrer dans les ordres. Il rejoint son ami Saint Romaric, fondateur du monastère de Remiremont (Romarici Mons) selon la Règle de Saint Colomban. Il finira ses jours en ermite, non loin du monastère, priantet servant les lépreux qu'il accueille dans son ermitage. Sa vie, où il a laissé le souvenir d'un grand d'Austrasie, malgré son opposition à Brunehilde, mais aussi surtout sa légende, dite "Légende de Saint Arnoul", a marqué profondément la mémoire des régions de l'Est de la France. Un jour il jeta son anneau épiscopal dans la Moselle, en déclarant : « Je croirai que Dieu mât destiné à la table épiscopale. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Arnoul_de_Metz |
En l'église des Saints-Apôtres |
Évêque |
Chrodegang de Metz, né dans le diocèse de Liège vers 712 et mort à Metz le 6 mars 766, fut évêque de Metz. Il est appelé aussi Godegrand, Gundigran, Ratgang, Rodigang, Sirigang. Il est le fils de Sigramm et de Landrade, cette dernièreappartenant à la famille des Robertiens. C'est l'un des acteurs de la renaissance carolingienne. Biographie Il est d'origine aristocratique, d'une famille de la région de Hesbaye. Il est élévé à la cour de Charles Martel où il exerce la charge de notaire. Il devient chancelier de Charles Martel en 737. Il poursuit sa carrière à la cour sous Pépin le Bref. Il devient évêque de Metz, alors capitale de l'Austrasie, le 1er octobre 742. Il contribue à l'essor des monastères dans son diocèse.Il transforme le monastère de Saint-Hilaire en monastère bénédictin et y fait déposer une relique de Saint Nabor ce qui - par évolution du langage - lui vaudra au monastère puisà la ville qui se construit autour le nom de Saint-Avold. Il fonde l'abbaye de Gorze, sans doute entre 747 et 757, qu'il confie en 759 à son frère Gundeland. Il prit également part à la création de l'abbaye de Lauresheim, fondée dans le diocèse de Worms par un de ses oncles, Cancor de Hesbaye, et sa mère. Dans son église cathédrale, il forme une communauté de chanoines qu'il accoutume à vivre dans un cloître, selon une règle presque monastique, appelée Regula vitae communis et inspirée de la règle de saint Benoît. En 753, il est choisi par Pépin le Bref et l'assemblée générale des États du royaume pour conduire le pape Étienne II durant son voyage en Austrasie. Les Lombards envahissant les états pontificaux, il organise la fuite du pape vers Saint-Denis. Ce dernier, satisfait de ses services, lui accorde le pallium et le titre d'archevêque[5] en succession de Boniface de Mayence mort en 754, ce qui fit de lui le chef de l'Eglise franque[6]. C'est probablement à l'occasion de son voyage à Rome que Chrodegang découvrit le « vieux chant romain ». Il élabore une synthèse de ce chant avec le chant gallican. Il en résulte le chant messin[7], l'ancètre du chant grégorien. Il convainct Pépin le Bref de faire adopter par le concile de Quierzy-sur-Oise la liturgie romaine. En 765, il préside à Attigny une assemblée générale du haut clergé francs, où se retrouvent vingt-sept archevêques et évêques et dix-sept abbés. Il meurt peu après, après avoir gouverné le diocèse de Metz pendant vingt-trois ans. En 817, le concile dâ Saint catholique, sa fête est célébrée le 6 mars. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Chrodegang |
Ces pages ont été fabriquées avec le logiciel Oxy-Gen version 1.38j, le 03/01/2015. Vous pouvez le télécharger sur ce site.