Mariée avec François de COGNAC, fils de Jean de COGNAC et de Gasparde de MERLE Source : Denis de RAUGLAUDRE |
Tome 3 (édition 1857) - Pages 98 et 99 |
Autres mariages : - Marié le 7 juin 1478 avec Marguerite de FAUDOAS-BARBAZAN, fille de Jean de FAUDOAS-BARBAZAN (Baron de Faudoas) et de Antoinette d'ESTAING, mariés le 9 octobre 1447 - Marié en 1498 avec Rose d'ARMAGNAC (Née entre 1450 et 1460, décédée entre 1516 et 1526), fille née de la relation entre Jean V d'ARMAGNAC (Comte d'Armagnac. Né en 1421, assassiné le 5 mars 1473 à Lectoure, inhumé à Lectoure) et de sa soeur Isabelle d'ARMAGNAC (Dame des Quatre-Vallées. Née en 1430, décédée en 1476 à Castelnau) Source : Denis de RAUGLAUDRE |
Tome 3 (édition 1857) - Page 99 |
Bernard-Amiel De PENNE (Chevalier. Baron de Cestayrols en partie), le frère de son grand-père maternel, lui substitua ses biens, en faveur de son mariage avec Bonne De GOURDON, sous la condition que lui et sa postérité portent désormais le nom et les armes de Penne. |
Marié en 1437 avec Bonne de GOURDON, fille de Jean de GOURDON et de Beatrix de LESCURE, mariés en 1413 Source : Denis de RAUGLAUDRE |
page 390 |
Transigea avec Hugue son neveu, sur les droits qu'elle prétendait dans la succession de Jean IV de VILLENEUVE son père, dont Pierre V son frère, père de Hugues, avait eu la jouissance. |
page 398 |
page 336 |
page 389 |
Non mariée à cette date. |
Citée sur le testament de son père |
Sort non connu Source : PAVILLET M. - Histoire généalogique de la maison de Villeneuve en Languedoc - Edition 1830 - Page 328 |
page 389 |
Elle n'est pas nommée sur le testament de son père, ce sont ces filles (damoiselles d'HAUTPOUL) qui le sont. |
page 391 |
page 427 |
page 427 |
Auteur de la branche des seigneurs de VILLENEUVE Avezac Source : PAVILLET M. - Histoire généalogique de la maison de Villeneuve en Languedoc - Edition 1830 - page 427 |
page 336 |
page 389 |
Nommée dans le testament de son père. |
page 324 |
Paye, au nom de Raimond XIII, son père, le prix de l'acquisition qu'il avait faite d'Alpaïs de Villeneuve |
pages 322 et 325 |
Fait l'acquisition, avec son père, d'un sens a prendre sur les biens situés dans la dîme sz Saint-Saturnin de Salviac, au consulat de la Croisille et de Berthe. Il en reçoit le même jour la quittance ainsi que la reconnaissance du tenancier. Le père et le fils sont qualifiés dans cet acte , de seigneurs de la Boissette. |
page 325 |
Emancipé par son père. |
page 325 |
Nommé dans le testament de Bernard ADHÉMAR |
page 325 |
Il obtint des lettres de l'official de Lavaur pour la publication du testament de Jean de VILLENEUVE, damoiseau, que nous présumons être Jean II, fils de Bernard XI. |
Depuis sa mort, ses deux fils, Jean III et Bernard XIII, ont formé deux rameaux collatéraux qui, quoique possesseurs d'autres domaines, occupèrent simultanément et indivisément la seigneurie et le château de la Croisille. Par la suite, ces deux rameaux s'unirent par de fréquents mariages. Source : PAVILLET M. - Histoire généalogique de la maison de Villeneuve en Languedoc - Edition 1830 - Page 332 |
Fils de Raymond XIII de VILLENEUVE Croisille (Chevalier coseigneur de la baronie de la Croisille, de Maurens, de Villeneuve, Avezac, etc. Capitoul de Toulouse en 1383. Né vers 1325. Décédé après le 9 mars 1406) et de ?. Marié à un âgeavancé, il n'eut qu'un fils Bernard XII. Des 5 fils de Vital III de VILLENEUVE et de Miracle de MONTESQUIEU sa femme, un seul, Raymond XIII, se maria. Il ne se maria que dans un âge avancé et il n'eut qu'un fils Bernard XII. C'est donc à ce fils unique que se réduisait en 1400 cette famille autrefois si féconde, après 600 ans d'existence glorieuse. [p. 322 à 324] Petit-fils de Vital III de VILLENEUVE Croisille (Vicomte et baron de la Croisille, Seigneur de Villeneuve lès Lavaur. Né en 1290, décédée après le 9 avril 1341 à Villeneuve-lès-Lavaur) et de Miracle de MONTESQUIEU (née en 1305 à Montesquieu-Volvestre, décédée après le 9 avril 1341) dont la soeur, Alamande de MONTESQUIEU, était déjà mariée à Bernard IX de VILLENEUVE, frère de Vital III. La maison de MONTESQUIEU était l'une des plus anciennes de la province, etavait pris son nom de la ville de Montesquieu, chef-lieu de Volbestre [p. 318 et 319]. En 1331, Miracle de MONTESQUIEU institua par son testament son mari pour son héritier universel. Ce testament est assez curieux. Après avoir fait divers legs aux églises de la Croisille, de Sainte-Ségolène, d'Appelle, de Berthe et de Saint-Antoine de Villeneuve, Miracle de MONTESQUIEU donnait : - à Alix sa fille, religieuse, 20 sous; - A Ermerande ou Esclarmonde, l'une de ses filles, 50 sous; (on voit néanmoins dans l'acte suivant en faveur de celle-ci un legs de 300 livres) - A Jourdain, Vital, Raymond, Athon et Pons, ses fils, 10 livres à chacun. Le 9 avril 1341, Miracle de MONTESQUIEU fit au château de la Croisille "par devant Raymond LADEVÈZE, notaire de cette ville, un codicille par lequel, en ratifiant son testament antérieur, elle révoque seulement un legs de 300 livres tournois qu'elle avait fait à Esclarmonde, sa fille (la même probablement qu'Ermerande), parce qu'elle l'a mariée depuis avec Guillaume de MONTMAUR, damoiseau." Leurs enfants furent : - Jourdain V, - Vital IV, - Raymond XIII, - Athon Ier, - Pons VIII (c'est apparemment celui qui est désigné aux Chartes du Roi, sous les années 1363 et 1364). Et 5 filles : - Esclarmonde, mariée à Guillaume de MONTMAUR, - Alix, religieuse, - Brunissinde, - Béatrix, - et Helbrade dont la destiné n'est pas connue. Seul Raymond XIII laissa une descendance masculine. [p.320 et 321] C'est à Vital II de VILLENEUVE Caraman (fils de Jourdain Ier, père de Vital III) qu'on voit commencer, sans qu'on puisse indiquer par quelle voie, la possession connue et constant de la vicomte et baronie de la Croisille et de la seigneuriede Maurens, terres qui sont restées dans sa descendance jusqu'à la fin du 18ème siècle. La Croisille, ville alors considérable, puisqu'elle avait 4 consuls et plusieurs paroisses, fut ruinée par les guerres du calvinisme. Le roi possédait un quart de la seigneurie de ce lieu en paréage avec la maison de Villeneuve. Vital III de VILLENEUVE est l'auteur de la branche de la Croisille. [p.310] Source : PAVILLET M. - Histoire généalogique de la maison de Villeneuve en Languedoc - Edition 1830 Notes relatives à la famille De VILLENEUVE : Guillaume De VILLENEUVE, chevalier, conseiller et maître d'hôtel de Charles VIII, écrivit ses Mémoires sur la conquête du royaume de Naples lors de son année d'incarcération "dans la grosse tour du portal du Chasteau Neuf de Naples. Ed. J.A.C. Buchon, Paris, 1836, p. 271. Source : Ph. CONTAMINE - La noblesse au royaume de France de Philippe le Bel à Louis XII - PUF, 1997 (1ère édition) - ISBN 2 13 048763 7- page 263 |
pages 325 et 387 |
Dans son testament, Bernard ADHÉMAR, coseigneur de Maurens, lui donne tous ses droits et revenus sur les terres de Maurens, Veille, Escaupon et Cambon. Bernard XIII de VILLENEUVE est le filleul de Bernard d'ADHÉMAR. Bernard XII, son père, est également nommé sur ce testament. |
page 326 |
De concert avec lui, Jean, son frère, vend 1/6ème de la moitié de la juridiction de la Croisille, qu'il avait acquise de la succession de Jean de MONTESQUIEU |
pages 326 et 388 |
Il accorde avec Jean, son frère, l'ensaisissement d'une maison, située dans leur domaine direct à Lavaur. |
pages 326 et 388 |
Il reçoit, avec son frère Jean, les reconnaissances féodales des habitants de Maurens. |
page 388 |
Il reçoit, avec son frère Jean, l'aveu de l'un de leurs vassaux. |
page 388 |
Il ratifia une vente faite par un de ses vassaux. |
page 388 |
Il est nommé dans le testament de son frère Jean. |
page 388 |
Auteur de la branche puînée de VILLENEUVE Flamalens ainsi que de l'arrière-branche VILLENEUVE La Croisille-Francarville Source : PAVILLET M. - Histoire généalogique de la maison de Villeneuve en Languedoc - Edition 1830 - Page 326 Lui et ses descendants ont continué d'avoir leur résidence habituelle dans la ville et le château de la Croisille qu'ils partagèrent avec la branche aînée collatérale et dont ils portèrent aussi le surnom ainsi que celui de Maurens. Source : PAVILLET M. - Histoire généalogique de la maison de Villeneuve en Languedoc - Edition 1830 - Page 387 |
page 398 |
Citée sur le testament de son père |
page 329 |
Elle reçut, de ses frères Michel et Jean, une somme de 1400 moutons d'or pour sa dot. |
page 330 |
Son neveu, Guillaume de VILLENEUVE, reçoit une quittance du reste de sa dot. |
page 328 |
page 408 |
Tué au siège de Montauban que le roi Louis XIII assiégeait en personne et où s'était renfermée l'élite des protestants. Montauban était défendu par le marquis de La FORCE. |
François III de VILLENEUVE a, ainsi que Tristan son frère, plaidé au Parlement de Toulouse contre Jean de TOULOUSE-LAUTREC, vicomte de Montfa, en remboursement d'une dette contractée envers son père et sa mère par Jean de TOULOUSE-LAUTREC. La sentence contre ledit seigneur de TOULOUSE-LAUTREC fut obtenue après la mort prématurée de François III de VILLENEUVE, par son frère Tristan. Elle fut rendue au mois de septembre 1623. Source : PAVILLET M. - Histoire généalogique de la maison de Villeneuve en Languedoc - Edition 1830 - Page 408 |
Il fut député par les catholiques de Puy-Laurens vers le roi qui était à Alais. Source : PAVILLET M. - Histoire généalogique de la maison de Villeneuve en Languedoc - Edition 1830 - Page 336 |
page 411 |
La future est la soeur utérine de Catherine de ROSET épouse de Gaspard III de VILLENEUVE, frère du futur. Le futur reçoit, en dot de la future, la seigneurie de Navès. Source : PAVILLET M. - Histoire généalogique de la maison de Villeneuve en Languedoc - Edition 1830 - Page 411 |
Il n'y a pas d'acte certain qui prouve sa filiation, sans doute à cause des guerres continuelles où il passa sa vie. Mais il assista en qualité de cousin aux pactes de mariage de Guillaume VI de VILLENEUVE Croisillat, et il est qualifié de baron dans diverses circonstances. Ces deux qualifications indiquent qu'il appartenait à la branche des barons de la Croisille, et l'époque de sa vie lui désigne pour père, non comme on l'a cru avec moins de vraissemblance Guillaume VI de VILLENEUVE Croisille, mais Hugues V de VILLENEUVE Francarville, aussi baron de la Croisille et fils de Pierre V et de Marguerite de VAUDREUIL. On peut observer par surcroît que Gaspard II de VILLENEUVE Francarville, son neveu, servit comme d'armes dans la compagnie dont il était lieutenant, sous les ordres du maréchal JOYEUSE capitaine de cette compagnie. Le rôle qu'il joua, la considération dont il jouit et ses exploits dans nos premières guerres de religion, méritent quelques détails. Ses actions, qui l'élevèrent au commandement de l'avant-garde de l'armée de JOYEUSE, à la lieutenance de la compagnie d'hommes d'armes de ce général, et à l'honneur d'être chevalier des ordres du Roi, sont consignées au cabinet de l'ordre du Saint-Esprit, titres scellés, Vol. 267, folio 2659, A.B., ainsi que dans les Pièces fugitives du marquis d'Aubaïs, et dans l'Histoire du Languedoc, tome V. François IV de VILLENEUVE fut d'abord enseigne de la compagnie de gendarmes du maréchal STROZZI : il fut ensuite choisi en 1560 par le vicomte de JOYEUSE pour commander la sienne en qualité de lieutenant-commandant. Ce général ayant rassemblé un corps d'environ 6000 hommes, marcha contre BEAUDINÉ, l'un des chefs des protestants, et s'empara de plusieurs places. Les deux armées se rencontrèrent dans la plaine de Pezenas; François de VILLENEUVE, qui commandait l'avant-garde, sut par une feinte habile attirer l'ennemi au combat, et l'y défit entièrement. Cette victoire procura dès le lendemain entre les deux partis une paix qui ne fut pas de longue durée. BEAUDINÉ la rompit; ce qui détermina JOYEUSE à faire le siège d'Agde; mais il fut contraint de se retirer, après avoir donné quatre assauts. Montpellier ayant été assiégé au mois de novembre 1567, JOYEUSE détacha VILLENEUVE, avec 18 enseignes d'infanterie et 300 ou 400 hommes de cavalerie, pour aller au secours de la citadelle. L'ennemi, qui avait été informé de la marche de ce général, se disposa à le bien recevoir : on combattit avec un acharnement égal de part et d'autre depuis midi jusqu'à 4 heures; enfin VILLENEUVE dont l'intention était de combler la tranchée et de faire passer des vivres et des munitions aux assiégés, voyant tous ses efforts inutiles, et la nuit survenue, fit sonner la retraite après avoir perdu 60 hommes. Les calvinistes reprirent les armes après la funeste journée de Saint-Barthélémi, à laquelle M. de JOYEUSE et le baron de VILLENEUVE se refusèrent de concourir. Les religionnaires s'emparèrent à la fois de plusieurs villes. Celle de Sommières futde ce nombre. VILLENEUVE, qui était à Montpellier avec une seule compagnie de gendarmes, la fit marcher pour reprendre cette place; mais à son approche les ennemis se réfugièrent à Anduse, à Sauve et dans les Cévennes. Cependant ils rentrèrent à Sommières le 6 novembre, (manque page 394) Source : PAVILLET M. - Histoire généalogique de la maison de Villeneuve en Languedoc - Edition 1830 - Pages 392 et 393 |
page 391 |
Les époux son cousins. Le futur est à la fois beau-fils et beau-frère d'Antoinette de VILLENEUVE seconde femme de Jacques II de Villeneuve. |
page 407 |
Il sert en qualité d'archer des ordonnaes du Roi dans la compagnie de M. de JOYEUSE dont le baron de VILLENEUVE, son cousin, chevalier de l'ordre du Roi, était lieutenant-commandant, et dont Guillaume VI de VILLENEUVE seigneur de Croisillat, et Hugues de VILLENEUVE seigneur de Valcournouse, étaient hommes d'armes. |
page 407 |
Il assiste aux pactes de mariage d'Anne, sa fille. |
page 407 |
pages 407 et 411 |
La future est la soeur utérine de Françoise de TURENNE épouse de François III de VILLENEUVE, frère du futur. Le futur reçoit, en dot de la future, la terre de la Recuquelle et la Tour. Le contrat de mariage est passé en présence de : - Jean de NOÉ, chevalier de l'ordre du Roi - François de TOULOUSE-LAUTREC Montfa - Jean d'AURIOL - Gaspard de CORNEILHAN - Jacques, Hugues, Guillaume et Gaspard de VILLENEUVE représentant les diverses branches de la maison - etc. |
page 395 |
Il est homme d'armes de la compagnie de M. de JOYEUSE |
page 395 |
Il est chargé, par le général de JOYEUSE, de la garde de Malèze en Gevaudan, dont il venait de s'emparer, et où il mit une forte garnison pour s'assurer de ce poste important. |
page 395 |
Il fait l'acquisition d'une grande maison située à Vareilles au comté de Foix. |
page 395 |
C'est entre lui et Honoré Ier son cousin et son beau-frère, que furent réglés par un second pacte de famille, les honneurs seigneuriaux dont devaient jouir les deux branches de VILLENEUVE, simultanément coseigneurs de la Croisille depuisJean III et bernard XIII. Un premier réglement, sans doute insuffisant, avait eu lieu en 1590. Un pacte plus formel était rendu nécessaire par l'indivis toujours subsistant de la Baronie entre ces deux branches. Des altercations portées quelquefois jusqu'à l'effusion de sang, etaient survenues, et l'intervention du sénéchal de Toulouse avait été jugée nécessaire. Mais on préféra s'en rapporter à l'arbitrage de 4 seigneurs alliés aux VILLENEUVE, et des plus qualifiés : les nobles seigneurs de CORNEILHAN, d'HAUTPOUL, de SOUBIRAN et du PUY. |
page 396 |
Il fait constater par un procès-verbal l'existence de Jean, son fils, qui s'était attaché au service du roi d'Espagne. |
page 396 |
L'évêque de Lavaur atteste que Gaspard est l'un des barons de son diocèse qui a le plus vaillamment combattu les hérétiques et défendu la religion catholique. Il ajoute : Que la famille de VILLENEUVE est de la plus grande ancienneté, et extrêmement noble par l'origine, par le nom et par l'illustration. (Source : Familiam de Villeneufve esse vetustisimam et origine et nomine et insigniis pernobilem. Parchemin, preuves, 334) |
page 396 |
Manque la page 394 qui comporte des informations sur Gaspard II de VILLENEUVE. Source : PAVILLET M. - Histoire généalogique de la maison de Villeneuve en Languedoc - Edition 1830 |
page 398 |
Hugues, sont frère aîné, fait un transport pour son époux Jacques de MAYNIER. |
page 336 |
Marié avec ? de la DIVE, dont il a eu Hugues-Anne de VILLENEUVE, seigneur de la Fage, capitaine au régiment de Picardie, mort sans alliance. Source : PAVILLET M. - Histoire généalogique de la maison de Villeneuve en Languedoc - Edition 1830 - Page 431 |
page 391 |
Les époux son cousins. Le futur est à la fois beau-fils et beau-frère d'Antoinette de VILLENEUVE seconde femme de Jacques II de Villeneuve. |
Il est hommes d'armes des ordonnances du Roi, dans la compagnie de M. de JOYEUSE, dont le baron de VILLENEUVE était lieutenant-commandant. |
Il eut l'honneur d'être un des 45 gentilshommes d'une valeur éprouvée que le roi Henri III jugea nécessaire d'entretenir pour la garde de sa personne. Il parvint au grade de mestre-de-camp de cavalerie. On sait quelle confiance et quelle affection Henri III ne cessait de témoigner à ces 45 gentilshommes. Il n'eut de sa femme Catherine de SABBATHIER qu'un fils, Hugues VI de VILLENEUVE Valcournouse. Source : PAVILLET M. - Histoire généalogique de la maison de Villeneuve en Languedoc - Edition 1830 - Page 431 |
page 411 |
Il consent un accord avec Gaspard, son oncle, relativement à la succession d'Hugues V, son aïeul. |
page 411 |
Avec Tristan et Jean-Sauveur ses frères, il donne une quittance aux consuls de la ville Brugnières. |
page 411 |
De concert avec Jean-Marc et Marie, ses frère et soeur, il passe une procuration pour désavouer Jean-Jacques de VILLENEUVE, seigneur de Maurens, qui se disait leur tuteur. |
page 411 |
Décède sans alliance. |
Comme ses frères et neveux, il ajouta dans divers actes à son nom celui de Turenne, ou Thorène ou Touraine, sans doute en vertu de quelque substitution. Source : PAVILLET M. - Histoire généalogique de la maison de Villeneuve en Languedoc - Edition 1830 - Page 411 |
page 335 |
page 431 |
Il est présent à l'aveu rendu à Guillaume de VILLENEUVE, coseigneur de Maurens. |
page 431 |
Il est présent à l'aveu rendu à Hugues de VILLENEUVE, coseigneur de Maurens. |
Auteur du rameau de VILLENEUVE Valcournouse Cette branche n'est connue que par des mémoires domestiques. Source : PAVILLET M. - Histoire généalogique de la maison de Villeneuve en Languedoc - Edition 1830 - Page 430 |
page 431 |
page 390 |
Transigea avec Anne sa tante, alors veuve de Philippe de CORNEILHAN, sur les droits qu'elle prétendait dans la succession de Jean IV de VILLENEUVE son père, dont Pierre V son frère, père de Hugues, avait eu la jouissance. |
page 391 |
Il acquit tout ce qui appartenait à Raimond de BRETZ, écuyer, seigneur de Bélestat dans la moitié de la seigneurie de la Croisille, et qui sans doute avait été distrait de ka baronie pour quelque légitime ou dot de fille. |
page 391 |
Il obtint, avec Jacques de VILLENEUVE son cousin, une sentence de la sénéchaussée de Toulouse par laquelle Hugues et Jean de BÉRENGUIER, seigneurs de Semalens, furent condamnés à leur reconnaître des biens relevant d'eux comme seigneurs de Maurens. |
page 391 |
page 391 |
Sur le contrat de mariage, il est dit que la future reçut de son père en se mariant 4 robes, l'une de damas gris, l'autre de velours noir, la troisième de cramoisi rouge et la quatrième de satin violet. Ce mariage produisit 12 enfants, ainsi qu'il est reconnu dans l'accord qui fut passé en 1612, au château de Villeneuve, entre Gaspard II et son neveu Hugues VI. Marié le 8 janvier 1582 selon DE RAUGLAUDRE Denis |
page 398 |
Il fait une sommation pour rentrer dans des biens que son père avait donné à rente à noble Pierre de VERNIOLLES, sieur de Campans. |
page 398 |
Il assiste à l'acte de tutelle de son neveu Auguste et de sa nièce Anne de TOULOUSE-LAUTREC, enfants d'Éléonore sa soeur. |
page 398 |
Il fait une délégation à Paul, son frère. |
page 398 |
Il fait un transport à Genevre, dame de Cayron, sa deuxième soeur. |
page 398 |
Il transige, avec Jean son frère, et leurs soeurs, sur le réglement de leur légitime. |
page 398 |
Il combat à l'attaque de Charenton. |
page 398 |
Il combat au choc que son régiment a à soutenir contre les Espagnols pour faciliter au maréchal de GRANCEY le passage du TENARO. |
page 398 |
Il donne une première quittance de ce qui leui revenait du prix de la vente d'une partie de la terre de Maurens. |
page 398 |
Il donne une deuxième quittance de ce qui leui revenait du prix de la vente d'une partie de la terre de Maurens. |
page 398 |
Il assiste au contrat de mariage de Paul, son fils. |
page 399 |
Il assiste au contrat de mariage de Jean-Paul, son fils. |
page 399 |
Il consent un accord avec Jean-Paul son fils. |
Il fit toutes les guerres de Louis XIII jusqu'à la paix des Pyrénées. Il se trouva à 34 sièges, entre autres à ceux de Dôle, Saint-Omer, Thionville, Arras, Aire, Ypres, Réthel, Alexandrie, Milan et Mortare. Après avoir consumé à la guerre la plus grande partie de sa vie et de sa fortune, Hugues VI de VILLENEUVE Francarville n'a laissé qu'un faible héritage à ses trois fils. PAVILLET M. - Histoire généalogique de la maison de Villeneuve en Languedoc - Edition 1830 - Pages 398 et 399 |
Ces pages ont été fabriquées avec le logiciel Oxy-Gen version 1.38j, le 03/01/2015. Vous pouvez le télécharger sur ce site.