Rotrude, épouse de Charles Martel En ce qui concerne notre recueil, la plus importante précision, voire rectification qu'il faut apporter concerne l'ascendance de Rotrude, épouse de Charles Martel. Rappelons brièvement les données du problème : on peut être assuré par la concordance de plusieurs indices que la première compagne de Charles Martel portait le nom de Rotrude. Mais en l'occurrence nos certitudes s'arrètent avec le nom de cette femme. Le nom lui-même, qui deviendra ensuite fréquent dans la postérité des Carolingiens, est assez rare à cette époque et peut donc être en soi un premier indice quant aux origines de celle qui le portait. Parmi les grandes familles de ce temps, il n'y en a guère qui usent du radical "Rot" présent dans Rotrude. Il y a certes au VIIe s. et jusqu'au VIIIe s. les Agilolfings austrasiens, ensuite passés en Bavière ou en Lombardie (Rodoald), également un duc du Mans nommé Roger, dont on ignore précisément les antécédents, mais surtout il y a la puissante famille des Robert austraso-bourguignons, alors installés en Hesbaye. Sur le simple plan onomastique alors, on conviendra avec R. Gerberding qu'un rattachement de Rotrude à la famille de Roger, ou mieux à celle desRobert est des plus vraisemblables. Il est en fait possible de préciser quelque peu. Sans revenir ici sur la famille de Roger, que les noms de ses enfants permet en fait de présumer, on notera que le nom de Landrade, fille de Charles Martel [En fait, on sait simplement qu'Aude, mère de Saint Guillaume de Gellone était la soeur d'une Hiltrude et d'une Landrade. Comme le père de Saint Guillaume est donné comme un proche parent des Carolingiens, on en a déduit généralement que Hiltrude, soeur d'Aude est identique à Hiltrude, fille de Charles Martel qui serait ainsi le père également d'Aude et de Landrade. Cette démonstration acceptée par tous les auteurs a été sévèrement contestée en 1965 par E. HLAWITSCHKA, mais nous espérons montrer ailleurs que sa critique est inopérante.] autorise un rapprochement certain avec les Robert qui utilisèrent également ce nom : Robert, duc de Hesbaye vers 740 est le neveu paternel d'une Landrade [Le comte Cancor, fils de Robert et petit-fils de Lambert, fondateur de l'abbaye de Lorsch était le cousin du premier abbé de ce monastère, fils d'une Landrade.]. On acceptera donc comme vraisemblable que Rotrude se rattachait de façon assez proche au clan des Robert/Lambert. Pourtant, les généalogistes la désignent le plus souvent comme une fille de S. Liévin, évêque de Trèves, ce que R. Gerberding juge être une "conjecture malencontreuse". Le fondement de cette thèse est un texte de la Geste des abbés de Fontenelle qui précise que l'abbé Guy, dont on sait par ailleurs qu'il était fils de S. Liévin, était le "proche (parent)" de Charles Martel. Le terme employé en latin (propinquus) est vague et désigne aussi bien un cousin par les femmes qu'un parent par alliance (beau-frère). En 1915, le jeune historien allemand A. Halbedel qui devait peu après tomber au champ d'honneur, a émis l'idée que la parenté en question pourrait passer par Rotrude qui serait ainsi une soeur de Guy. L'hypothèse fit école en Allemagne cependant qu'en France, elle fut reprise par J. Depoin et après lui par M. Chaume qui l' "officialisa" dans notre pays. Tout en reconnaissant l'extrême fragilité du seul témoignage positif, on ne manquera pas de rejeter également la principale objection de R. Gerberding : la politique locale, "liégeoise" de Charles Martel jusqu'à 716 qui rendrait peu probable un alliance avec une famille austrasienne. Quant on sait l'origine agnatique messine de Charles, c'est un jugement sans nul doute péremptoire et difficilement soutenable. Ce qui peut faire avancer un peu le débat, c'est la certitude que la famille de Guy (les Widonides) s'était alliée elle aussi à celle des Robert/Lambert. Dans deux actes (faux, mais aux souscriptions authentiques) des années 706 et 715 d'Arnulf et Hugues, neveux de Charles Martel se trouvent les souscriptions de "Milon, Guy, Guerimbert, Lambert et Garnier". Or, Milon est le frère de Guy, Grimbert éventuellement un oncle ou un cousin [Si toutefois on identifie Grimbert comme un Guérimbert, qu'on rapprochera de Guérin, père de S. Liévin. Ce faisant nous ne suivrons cependant pas M. CHAUME (1925, p.534) qui identifie Gunzie mère d'un Guérimbert avec la mère homonyme de S. Liévin. La première est sans doute la petite-fille de la seconde. Elle apparaît comme décédée en 770 dans le cartulaire de Lorsch en compagnie de son fils Dodon, lui-même père d'un Guérimbert. Le nom seul permet donc de rattacher le Guérimbert de 706-715 à notre famille.] et Garnier un fils ou neveu probable de Guy. Lambert est donc assurément un proche parent de ce groupe. D'ailleurs le monastère de Metlach, fondé par S. Liévin eut parmi ses quatre premiers abbés, un Lambert et un Robert. Le nom de Lambert sera par la suite l'un des trois noms principaux des Widonides avec Guy et Garnier. Enfin, la racine "Rot" se retrouve aussi chez les Widonides avec un Roger ou un Rodoald au VIIIe s. On en arrive donc par un biais tout différent à l'idée d'une parenté entre Rotrude et les Widonides à travers une alliance commune avec la famille des Lambert/Robert. Mais ce rapprochement ne permet en aucun cas l'établissement d'une filiation. Source : in Addenda to Les Ancêtres de Charlemagne, http://www.rootsweb.ancestry.com/~medieval/addcharlFR.pdf |
Selon certain auteurs, elle serait la fille du second lit de Charles Martel, ce qui expliquerait qu'elle ait soutenu les prétentions de son frère Griffon (ou Grippon), contre ses demi-frères Carloman et Pépin. (E.Polti) Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
Souvent "Adèle" pour les historiens français. (E.Polti) Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
Après 1005 Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
Sans postérité Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
Sans postérité |
Saint-Denis |
Otton fils de Hugues le Grand En 956, lorsque meurent Gilbert (8 avril 956) et deux mois après Hugues le Grand, (16 juin 956), Otton âgé alors dâot par sa femme. Les comtés de Beaune, dâvoit tout lâe partie de la Champagne et beau-frère de dâée 957 dans la région de Dijon. Lâe rapidement et sa femme et ses biens. Lothaire en profite pour sâ Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
Otto-Henry (also Odo, or Eudes-Henri; 946 âny and thus the younger brother of King Hugh Capet. As Otto, he enterred the church at a young age and was a cleric at the time of the death of his brother Otto, Duke of Burgundy, on 22 February 965. He was elected by the Burgundian counts to succeed his brother and they gave him the name Henry. In 973, he married Gerberga of Mâcon, the widow of Adalbert II of Italy, who had sought refuge at Autun. Through Gerberga, he had a stepson named Otto William. He married a second time to Gersenda of Gascony. He died without any children of his own by his two wives and was succeeded by his stepson. His illegitimate children may be the progenitors of the line of the counts of Vergy. Source : http://en.wikipedia.org/wiki/Otto-Henry%2C_Duke_of_Burgundy |
Sans postérité |
Sans postérité |
Relation |
Évêque |
Au château de Toucy Décédé selon MM. de Ste-Marthe le 16 août 994, et le 23 août 994 selon P. Anselme. |
Fils illégitime dâ En 977, il organisa l'intronisation du nouvel archevêque de Sens, Sevin, que son oncle Raigenard avait exilé. En 983, Héribert fut en retour invité à prendre part à la bénédiction de la nouvelle église de Sens ; il assista égalementaux conciles d'Orléans et de Saint-Basle-de-Verzy en 992, près de Reims lors duquel lâ Il fit édifier les églises fortifiées de Saint-Fargeau 1 et de Toucy. C'est dans ce dernier château qu'il tomba malade et mourut.2 Sa dépouille fut inhumée à Notre-Dame d'Auxerre, aujourd'hui détruite. Une autre définition Héribert ou Herbert était fils de Hugues le Grand, duc des Français, et dâil suivit trop les coutumes des nobles de son temps, et se distingua surtout par son amour pour la chasse. Il fit bâtir dans son diocèse deux châteaux-forts, uniquement pour sâdeux étaient situés dans la Puisaye, lâenvirons; mais ils ne servirent quâ Bien quâ-Georges dâint à lâ Il fut présent au sacre de Sévin, archevêque de Sens le 10 juin 977 et peut-être même est-ce lui qui en fit la cérémonie. Il se trouva avec Milon, évêque de Troyes, et Rocléne, évêque de Nevers, à la dédicace de la cathédrale de Sens, le jeudi 5 octobre 986, et souscrivit à une charte de ce dernier prélat concédant quelques biens à son chapitre. Héribert assista le 1er janvier 988 à Orléans au sacre du roi Robert, fils de Hugues Capet, et enfin, le 17 juin 981, au concile qui se tint en lâ Après un épiscopat de vingt-cinq ans, sept mois et seize jours, Héribert, au grand regret des habitants dâà Notre-Dame-de-la-Cité qui nâ Sous son épiscopat, saint Mayeul, abbé de Cluny, réforma le monastère de Saint-Germain dâ Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Héribert_d'Auxerre |
Eglise Notre-Dame près Auxerre (89) |
Abbé laïc de Saint-Germain-des-Près |
Hugues le Grand, né vers 898, mort à Dourdan en 956, comte de Paris, marquis de Neustrie de 923 à 956, puis duc des Francs à partir de 936, comte d'Auxerre de 954 à sa mort. Biographie Il est le fils de Robert Ier, roi de Francie occidentale, et de Béatrice de Vermandois. Descendant au 6e degré par sa mère de Charlemagne, il est souvent surnommé le faiseur de rois et est souvent considéré comme le véritable fondateur de la dynastie capétienne. On l'appelait aussi parfois : - Hugues le Blanc à cause de son teint pâle - Hugues l'Abbé à cause de ses nombreux monastères ( Saint-Denis, Saint-Martin de Tours, Saint-Germain-des Prés) dont il était l'abbé laïque. Après la mort sans descendance de son beau-frère le roi Raoul, Hugues le Grand, alors sans descendance et ne voulant abandonner le bénéfice du puissant ensemble robertien au profit d'une royauté d'une valeur toute relative, refuse la couronne de Francie occidentale et rappelle sur le trône le fils de Charles III le Simple, Louis IV d'Outremer qui avait suivi sa mère lors de son exil en Angleterre. Croyant pouvoir gouverner à la place de Louis IV, il le fait élire roi afin de contrer les ambitions de son autre beau-frère, Herbert II de Vermandois dans la lutte pour l'hégémonie en Francie occidentale. Le dimanche 19 juin 936, Louis IV est couronné et sacré roi par Artaud, lâ Le 25 juillet 936, Louis IV lui donne le titre de dux francorum duc des Francs. Cependant la personnalité d'Hugues le Grand finit par exaspérer le jeune roi qui, cherchant à s'émanciper, va prendre les armes pour le combattre. Hugues s'allie alors avec Herbert de Vermandois et Guillaume Longue-Épée, duc de Normandie. En 940 Louis IV est battu près de Reims puis en 945, capturé par les Normands et remis à Hugues qui le confie à Thibaud de Blois. Hugues le libère sous lapression de l'empereur, mais obtient la ville de Laon en échange. En 946, il règle la succession d'Herbert de Vermandois entre les enfants de celui-ci, qui sont ses neveux, et affaiblit ainsi la puissance de la dynastie. Ayant déjà la suzeraineté sur la Bourgogne que Louis IV lui a accordée en 943, il obtient en échange de sa non-opposition à la montée de Lothaire sur le trône de Francie occidentale, l'Aquitaine dont il assure la tutelle de 954 à sa mort en 956. Lors du synode d'Ingelheim en 948, troisième de la série après ceux de Verdun et de Mouzon, visant essentiellement à régler la question du siège archiépiscopal rèmois, Louis IV parvint à faire excommunier Hugues le Grand. De Raingarde sa concubine, il eut Herbert ou Héribert (âe Saxe (922-965, fille d'Henri Ier l'Oiseleur) vers 937, dont il eut : - Béatrice, mariée à Frédéric Ier, comte de Bar et duc de Haute-Lotharingie - Hugues Capet, roi des Francs en 987 - Emma, mariée à Richard Ier, duc de Normandie - Otton et Eudes-Henri, ducs de Bourgogne. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Hugues_le_Grand_(Robertien) |
A Saint-Denis |
Relation |
Robert le Fort, (né entre 815 et 820, semble-t-il en Neustrie - tué le 15 septembre 866 à la bataille de Brissarthe, Maine-et-Loire) était un membre important de l'aristocratie franque, issu de la famille des Robertiens, ancêtre de la dynastie capétienne, et marquis de Neustrie à partir de 862. Il fut comte de Tours et d'Anjou. Le roi Charles II le Chauve le nomme en 853 missus dominicus pour ces régions. Après une révolte contre Charles II en 855, il devient duc de Neustrie, la région entre Seine et Loire et s'illustra dans sa lutte contre les Bretons et les Normands. Robert le Fort est très probablement fils de Robert (â'historien Karl Ferdinand Werner a confirmé l'origine rhénane de Robert le Fort en s'appuyant sur le témoignage de Réginon de Prüm et a confirmé la réussite de son implantation dans la région ligérienne par les attaches familiales qui l'auraient lié au clan animé par le sénéchal Adalard et à deux groupes de parenté de l'Ouest, les comtes Géroldiens installés à Blois, Châteaudun et Angers et les Widonides basés dans la marche de Bretagne. Robert le Fort est cité dès 836, mais sans être titré. Lors des luttes de pouvoir entre les fils de Louis Ier le Pieux, il prit parti pour Charles le Chauve, qui était le gendre d'Eudes d'Orléans, et il dut abandonner ses terres, incorporées dans le royaume de Lothaire Ier, pour se réfugier à l'Ouest, dans sa famille maternelle. En 852, Charles le Chauve le fait abbé laïc de Marmoutier, puis l'année suivante missus dominicus des régions de Tours et d'Angers et probablement comte de Tours. En 858, Charles le Chauve installe son fils Louis II le bègue à la tête du comté du Mans et Robert, inquiet, se révolte en rejoignant Louis le Germanique. Il ne se soumet qu'en 861, en échange du marquisat de Neustrie. Après les premières offensives des Vikings âéfendre. Il fut donc de sa responsabilité de lutter contre les Bretons et les Normands et il fut finalement tué en combattant ces derniers à la bataille de Brissarthe en 866. L'épouse de Robert le fort n'est pas mentionnée par les documents contemporains. Une interpolation de la chronique de Saint-Bénigne de Dijon, laisse penser qu'il s'agit d'Adélaïde, fille d'Hugues d'Alsace, comte de Tours. Il semblerait qu'il s'agisse en fait d'une fille de Conrad Ier de Bourgogne et cette Adélaïde, fille qui pourrait se prénommer Emma. Il est le père d'Eudes et Robert Ier de France qui furent tous deux rois de France. Par ce dernier, il est l'arrière-grand-père d'Hugues Capet et donc l'ancêtre de toute la lignée capétienne. Une légende prétendait qu'il serait le fils d'un boucher... (par exemple dans : Jean Duché, Histoire de France racontée à Juliette, Paris : Amiot-Dumont, 1954, p.112). Dante, dans la Divine Comédie, affirmait la même chose d'Hugues Capet. Les travaux actuels en ont démontré la fausseté et ont montré que l'entourage familial de Robert le Fort plonge dans des familles proches du pouvoir et est issu de l'aristocratie franque. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Robert_le_Fort Fils d'un boucher de Dreux surnommé Capet, d'après la légende... L'analyse du cartulaire de l'abbaye de St-Nazaire de Lorsch près de Worms donnerait une origine plus ancienne : LAMBERT (vivant le 08-04-630) référendaire de Dagobert 1er roi de Neustrie, ROBERT son fils maire du palais de Clovis II, chancelier de Clotaire III entre 639 et 675, LAMBERT son fils, ROBERT 1er son fils mort vers 764 duc en Hesbaye (Liège), TUREMBERT son fils, ROBERT II son fils, ROBERT III décédé vers 764 son fils administrateur royal à Hornbach, ROBERT le Fort 800-866 abbé laïc de Marmoutier etc. (sources le Quid). (message de Péronnet, sur le Forum, 11.10.2006) Les saisies sont (en principe) faîtes sur des certitudes, et non sur des hypothèses. Il est vrai que Christian Settipani et Patrick Van Kerrebrouck dans "La préhistoire des Capétiens" 1993 disent "Toutefois, nous considérons comme définitive son identification, démontrée par K.Glöckner en 1936, avec Rodbert, fils du comte de Wormsgau, Rodbert". Les mêmes auteurs citent toute une bibliographie de travaux, critiques et contre-critiques (de 1753 à 1992) montrant que le consensus n'est pas encore atteint chez les chercheurs modernes... D'ailleurs eux-mêmes donnent le degré I à Rodbert Fortis (Robert le Fort) ! Donc pour l'instant nous restons toujours avec des doutes et pas encore avec un travail historiquedéfinitif. Disons que nous attendons la deuxième partie, à venir (mais quand ?), de l'ouvrage des mêmes auteurs... (réponse de J.-C. de Vaugiraud, sur le Forum, 11.10.2006) |
Ou 864 |
Abbé de Saint-Denis |
Abbé laïc de Saint-Germain-des-Prés |
Tué |
Robert le Fort est très probablement fils de Robert (â'historien Karl Ferdinand Werner a confirmé l'origine rhénane de Robert le Fort en s'appuyant sur le témoignage de Réginon de Prüm et a confirmé la réussite de son implantation dans la région ligérienne par les attaches familiales qui l'auraient lié au clan animé par le sénéchal Adalard et à deux groupes de parenté de l'Ouest, les comtes Géroldiens installés à Blois, Châteaudun et Angers et les Widonides basés dans la marche de Bretagne. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Robert_le_Fort |
Tisserand Source : acte de décès de sa fille Maire DUREAU |
Alarico II extendió los dominios visigodos por el sur de Francia y estableció su capital en Tolosa, dentro del llamado reino visigodo de Tolosa. Proporcionó un código legal a sus súbditos y murió en la batalla de Vouillé frente al rey franco Clodoveo, a pesar del apoyo brindado por el ostrogodo Teodorico. Source : http://www.artehistoria.com/frames.htm Source : http://www.artehistoria.com/historia/personajes/4823.htm Rey de los visigodos desde el año 484 hasta el 507. Se casó con Tiudigoto, una hija ilegítima de Teodorico el Grande, rey de los ostrogodos. Muere en la batalla de Vouillé en 507, que enfrentó a los visigodos con las tropas del rey franco Clodoveo I. La derrota de los visigodos en esta batalla marca la desaparición del reino de Tolosa (Toulouse), pues las posesiones galas, excepto la Narbonense, se perdieron. Le sucede su hijo Gesaleico, el cual emprende el repliegue de losrestos del reino de Tolosa hacia Hispania. Alarico II elaboró un Código de leyes para sus súbditos âecopilado en el año 475 por el rey Eurico en el Codex Euricianus o Código de Eurico) y con los hispanorromanos el viejo derecho romano. El mismo año permitió a los Obispos católicos de La Galia que se reunieran en un Concilio en Agatha (Agde) en la Narbonense. Source : http://es.wikipedia.org/wiki/Alarico_II |
Assassiné |
Hijo de Alarico II, Amalarico ve su posición amenazada por Gesaleico quien ha sido aceptado como rey por una parte de sus nobles. La minoría de edad de Amalarico era una ventaja para los ostrogodos ya que ejercían su tutela por lo que pusieron en marcha sucesivas campañas contra Gesaleico y contra los francos. Teodorico se convierte en el verdadero dueño de la situación y el reino visigodo -con las provincias de Narbona y Provenza en las Galias y Tarragona y Cartaginense enHispania- forma parte del reino italiano. Los prefectos del pretorio dirigen la administración y la Iglesia del reino visigodo desde Arles. A la muerte de Teodorico se produce la división del reino godo y los visigodos se desentienden de Italia. Amalarico es atacado por los francos y huye de Narbona, siendo asesinado por las guarniciones de la Tarraconense que eligen rey a Teudis. Son pocos los datos que disponemos del reinado de Teudis. De origen ostrogodo, sucedió a Amalarico a la muerte de éste en el año 531. En su gobierno podemos manifestar que se produce una creciente hispanización del reino, identificándosecon las clases predominantes hispano-romanas y visigodas. Los reyes francos empiezan sus penetraciones en territorio hispano, saqueando la provincia de la Tarraconense. La ciudad de Toledo se convirtió en la corte del monarca. Como solía ocurrir entre los godos, Teudis murió asesinado, posiblemente debido a una conjura nobiliaria por hacerse con el poder. Su sucesor será Teudisclo. Las líneas generales del reinado de Teudis se repiten con su sucesor. Continúa la hispanización del reino al estrechar lazos con los dirigentes visigodos e hispano-romanos al tiempo que las invasiones francas son rechazadas gracias al pagode un fuerte canon en dinero. Los francos que se quedaron en territorio hispano serían asesinados. La corte abandonó Toledo para instalarse en Sevilla. Al igual que su antecesor Teudisclo murió víctima de una conjura nobiliaria fruto de la cual Agila se hizo con el poder. Los inicios del reinado de Agila fueron tumultuosos. Se hizo con el poder tras el asesinato de Teudisclo y sufrió un rápido levantamiento en Córdoba -¿quizá en apoyo del rey depuesto?- del que salió derrotado. Agila perdió a su hijo y su tesoro personal en la revuelta, refugiándose en Mérida. Sin resolver el estallido cordobés se produjo una nueva sublevación, esta vez en Sevilla donde el noble Atanagildo derrotó al ejército real. La guerra civil que vive Hispania parece resolverse a favor de Atanagildo, quien cuenta con el apoyo bizantino tras el desembarco de tropas en la península con este fin. La zona sur de la Bética y el sudeste de la Cartaginense caen en manos bizantinas, haciéndose fuertes en Málaga y Cartagena. Esta invasión formaba parte de los planes de Justiniano para restaurar el Imperio Romano y la ayuda solicitada por Atanagildo no fue más que una vulgar excusa para intervenir en Hispania. Agila salió mal parado del enfrentamiento al ser asesinado por sus partidarios, quienes entregaron el poder a Atanagildo. Source : http://www.artehistoria.com/frames.htm?http://www.artehistoria.com/historia/personajes/4823.htm Amalarico (muerto en 531), rey de los Visigodos, hijo de Alarico II, era un niño cuando su padre murió en batalla contra Clodoveo I el Grande, rey de los francos (507). Por su seguridad fue llevado a España, que junto con la Provenza eran por aquel entonces gobernadas por su abuelo materno, Teodorico el Ostrogodo. En el 522 el joven Amalarico fue proclamado rey, y cuatro años después, a la muerte de Teodorico, fue coronado rey de los visigodos, cediendo la Provenza a su primo Atalarico. Se casó con Clotilde, hija de Clodoveo I; pero sus peleas con ella, siendo el arriano y ella católica, condujeron a una invasión de los Francos, donde perdió la vida en el año 531. Regencia de Teodorico (511-526) Amalarico gobernó bajo regencia de su abuelo Teodorico rey de los Ostrogodos. Sabemos que Teodorico exigía a los visigodos el pago de un tributo en grano que servía para abastecer a Roma. A cambio entregaba al reino visigodo un donativo anual. Aunque los impuestos recaudados eran importantes, Teodorico exigió que aumentaran hasta alcanzar los niveles de Eurico y Alarico II (que gobernaban sobre un territorio mayor). Se produjeron diversos actos injustos de los recaudadores ordinarios (exactores) y de los recaudadores de impuestos atrasados (compulsores), y se hizo habitual el uso de pesos falseados para medir los granos entregados. Las rentas de los dominios reales fueron aumentadas en exceso. Los derechos aduaneros alcanzaron un nivel exagerado. En la misma época se sabe que los homicidios eran bastante corrientes y que la situación general era poco estable. Parece ser que fue Teodorico quien estableció un nuevo tipo de tremisses (moneda), fabricado ya en cecas peninsulares, que no habían existido en tiempos del Imperio, a imitación de los cuales fabricaron sus monedas los borgoñones y francos, y que eran más fáciles de distinguir de las monedas bizantinas y cuyo peso y aleación eran buenos. Hacia fines de su reinado Teodorico nombró comandante militar al ostrogodo Teudis, quien casó con una dama hispano-romana de gran riqueza (podía mantener un ejército privado de unos mil hombres), gracias a lo cual gobernó el país a su antojo, si bien no descuidó enviar a Italia el tributo anual. Reinado de Amalarico (526-531) Amalarico firmó un tratado con Atalarico, nieto y sucesor de Teodorico en Italia, en virtud del cual se fijaron los límites de ambos reinos y se anuló el tributo visigodo a los ostrogodos, y la subvención de éstos a aquellos. El tesoro real visigodo le fue reintegrado. En virtud de los acuerdos con los ostrogodos se fijaron definitivamente los límites de la provincia Narbonense (Gallia Narbonensis), llamada también Septimania o Gallia. Source : http://es.wikipedia.org/wiki/Amalarico |
Exécutée à Renève sur Vingeanne, près de Dijon |
Mariée en 576, Rouen, avec Mérovée (Mérovingiens) 552-577 Source : Daniel de RAUGLAUDRE Also known as Brunhilde, the Visigothic princess exerted great influence over political life in the Frankish kingdoms of Austrasia, Neustria, and Burgundy. Brunhilde married King Sigebert of Austrasia in 567, while her sister Galswintha married Sigebert's brother Chilperic, king of Neustria. Rivalry between the brothers developed into open war when Chilperic had Galswintha murdered and Brunhilde demanded that her sister's death be revenged. When Sigebert was assassinated on the orders of Fredegunde, Chilperic's second wife, in 575, Chilperic claimed his lands. Brunhilde resisted this claim in the name of her son Childebert II. However, her nobles deserted her and she fled to Burgundy. Childebert remained in Austrasiaand in 592 inherited Burgundy. When Childebert died in 595, Brunhilde attempted to assert her control as regent over Burgundy and Austrasia, which her grandsons Theodoric II and Theodebert II had inherited. After successfully resisting attacks by Chilperic's heir Clotaire II, Brunhilde tried and failed to conquer Neustria in 600 and again in 603-04. In 612 Theodoric murdered his brother Theodebert at her instigation. Theodoric himself died in 613. When Brunhilde tried to make her great-grandson Sigebert II king, the nobles rebelled and acknowledged Clotaire as king. In the autumn of 613, near Dijon, France, Clotaire had both Sigebert and Brunhilde executed. Brunehaut fut horriblement suppliciée pendant trois jours. Il existe manifestement une controverse quant à sa date de naissance : Pour certains (D. Feuer & J. d'Hendecourt dans "Dictionnaire des rois et des reines de France", Quid-2000) elle serait née en 534, ce qui fait qu'elle se marie tard, pour l'époque. Pour d'autres (Prof. Dr. Luiz de Mello Vaz de São-Payo, «Ascendência de D. Afonso Henriques», cité par Manuel Abranches de Soveral, elle est née en 511). On trouve même dans Quid (éd. 2000), à une autre page, qu'elle serait née en 543, mais quand même morte à près de 80 ans (donc vraisemblablement une faute de frappe). La figure de Brunehaut est l'une des plus connue et des plus controversées de son siècle. Sa guerre mortelle avec Frédégonde ne saurait être rapportée ici. Rappelons brièvement les faits. Après les noces de Sigebert et de Brunehaut, son frère Chilpéric obtient la main de Galwintha, la soeur aînée de Brunehaut. Mais Frédégonde, la concubine de Chilpéric fait étrangler la jeune femme. Il en résulta une haine impitoyable entre les deux reines. Frédégonde assassineMerovech, deuxième époux de Brunehaut, qui est aussi le fils de son mari, mais Brunehaut élimine Chilpéric. Brunehaut, en dépit de la haine des chroniqueurs, notamment Frégédaire, fut certainement une grande reine. Elle gouverna le royaume d'une main de fer pendant 38 ans, durant la minorité de son fils, puis de ses petits-fils, se tenant à Metz ou en Alsace. A la suite d'une révolution de palais au profit de Chlothaire II, elle doit se réfugier en Bourgogne. A la fin, Brunehaut est capturée à Orbe et amlenée auprès de son neveu Chlothaire II, le fils de Frédégonde, qui lui fait subir les derniers outrages avant de la faire traîner par des chevaux emballés, à Renève-sur-Vingeanne (Côte-d'Or) àl'automne 613; elle est inhumée à l'abbaye Saint Martin à Autun (Saône et Loire) qu'elle avait fondée. Je retiens les dates de naissance et mariage données par P.Van Kerrebrouck: La Préhistoire des Capétiens, 1993 qui se base sur les travaux de Kurth, Nelson, Ewig, Martindale et Rouche.[J-C de Vaugiraud - 29/05/2006] Fille dâtarda pas à lârte opposition en Austrasie, Brunehaut orienta son fils Childebert II vers une alliance avec son beau-frère Gontran qui régnait alors sur lâde la Bourgogne et de lâta entre ces derniers que par un parti de seigneurs austrasiens dévoués au fils de Chilpéric et de Frédégonde, Clotaire II, roi de Neustrie. Les chefs de ce parti, Pépin de Landen et lâAustrasie. Brunehaut lui fut livrée et subit une mort ignominieuse à Renève (est de Dijon). Très diversement jugée par ses contemporains, Brunehaut semble avoir été une femme autoritaire, efficace, rusée et sans scrupules. Son souvenir survit dans un certain nombre de toponymes et dans lâ Source : Encyclopaedia Universalis, Robert Folz |
A l'abbaye de Saint-Martin |
Alaric's brother-in-law & cousin, had been busy suppressing other barbarians in Pannonia. Having restored order there, he kidnapped Galla Placida during the sack of Rome. On Alaric's death, he was elected King & made an honest woman of Galla in a spectacular Roman-style marriage. There was a son who died young after the marriage. Whether the daughter, Clothilde, actually existed is moot. Presumably, if she did, she was the product of Athaulf & Galla's three year pre-honeymoon, asthe record suggests that Galla was quite happy to be kidnapped... St. Clothilde's Burgundian ancestors include Alaric I's brother or half-brother (the hot money seems to be on the latter) Athaulf, who's wife was the daughter of the Spanish-born Roman emperor, Theodosius the Great, the last one to rule over both halves of the Empire. Their daughter, Clothilde, is a shadowy figure & we suspect that she was either born before Athaulf & Galla's spectacular nuptials or does not exist in that line. Source : http://www.art-science.com/Ken/Genealogy/PD/ch43_Early_Goths.html |
Teoderico se casa con Ermenberta, hija del rey visigodo Recaredo. Brunegilda vuelve a protestar por esta boda y consigue que se divorcie. Source : http://es.wikipedia.org/wiki/Teoderico_II |
Répudiation |
A Toledo (Espagne) |
Galswintha (540-568) was the daughter of Athanagild, Visigothic king of Spain; the sister of Brunhilda, queen of Austrasia; and the wife of Chilperic I, the Merovingian king of Neustria. Galswintha and Chilperic were married at Rouen in 567, but soon afterwards she was murdered at the instigation of Chilperic's mistress Fredegund, who then married him. Her death aroused the enmity of her sister Brunhild against Chilperic, bringing about 40 years of warfare between the Frankish kingdoms of Austrasia and Neustria. Source : http://en.wikipedia.org/wiki/Galswinthe |
Goswintha o Gosuinda (¿?-589), reina de los visigodos; esposa de Atanagildo y, tras enviudar de él, de Leovigildo. Sólo tuvo frutos de su primer matrimonio, del que nacieron dos hijas: Brunegilda (casada con Sigeberto I de Austrasia), primera reina de Francia, y Galswinta (casada con Chilperico I de Neustria) y asesinada por su concubina y después reina, Fredegunda (segunda esposa de Chilperico I, quien también ajusticiría a Brunekhilda, cuarenta años después. Su presencia tuvo una gran importancia dentro de la corte toledana: en una monarquía electiva como la visigoda, pero con un derecho personalista que influiría en la sucesión entre reyes que eran parientes, Goswintha supuso un enlace entre el estabilizador del reino visigodo, Atanagildo, y el hermano de Liuva I, Leovigildo, que ocuparía más tarde el trono. Además, fue la instigadora del matrimonio entre su nieta Ingunda, hija de Brunekhilda y Sigeberto I, con su hijastro Hermenegildo, primogénito, del primer matrimonio, de su marido Leovigildo. Consideró que su joven nieta sería una persona manejable, pero se llevó una gran sorpresa ante la determinación de Ingunda a negarse a su conversión al arrianismo (siendo franca, era católica), razón por lo que fue maltratada y despreciada por su suegra y abuela. La relación entre estas dos mujeres constituyó un gran problema para sus esposos, Leovigildo y Hermenegildo, por lo que el viejo rey decidió asociar al trono a su primogénito, tras exigirle que se traslade a Hispalis para gobernar la Bética y hacer frente a la presencia bizantina, alejándolo así de la corte toledana. Goswintha fue apartada entonces por su marido de la influencia política en Toledo, por lo que urdió un plan para acabar con él y con Hermenegildo: incitó a este último a rebelarse contra su padre para hacerse cargo del poder. Esta lucha concluirá con el asesinato de Hermenegildo por orden de su padre, y la huida de la princesa Ingunda a Roma. Era una arriana de fe ferviente y defendió el estatus religioso de los visigodos frente al unionismo católico que puso en marcha su hijastro Recaredo I; de hecho, participó en la segunda rebelión arriana contra Recaredo, con el obispo arriano Uldila. Murió tras fracasar esta conspiración en 589. Bibliografía José ORLANDIS ROVIRA, "La reina en la monarquía visigoda" en 'El poder real y la sucesión al trono en la monarquía visigoda' Alejandrina PARDO FERNÁNDEZ, 'La imagen de la mujer en la España visigoda, a través del estudio del pensamiento judeo-cristiano' (tesis doctoral inédita/ Universidad Complutense de Madrid, 1992) Alejandrina PARDO FERNÁNDEZ, "La condición de viuda en el mundo visigodo, a través de las actas conciliares" en ANTIGÜEDAD Y CRISTIANISMO, 3 (1986) (ISSN 0214-7165), págs. 209-220 Source : http://es.wikipedia.org/wiki/Gosuinda D'après la base "Auréjac", elle serait une princesse Vandale. Ascendance et descendance du second mariage à prendre avec des pincettes (E.Polti). Goswinta era uma princesa visigótica, segundo as melhores opiniões neta de Alarico II. Casou com o nobre Atanagildo, que ascendeu ao trono em boa parte justamente por estar casado com ela. No caso de ser filha do príncipe vândalo Hoamer, então a mãe, Gossana, era uma princessa visigótica, filha de Alarico II. (Manuel Abranches de Soveral) Princesse Wisigoth ou Vandale? Il paraît possible qu'il existe ici la fusion de deux dames du même , ou presque, nom. Les dates ne sont pas moins confuses. L'ascendance romaine est donc à prendre avec la plus grande réserve. Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
2255596 - 314 |
29 frimaire an XIII Déclarants : - MALLET Louis (cultivateur à Rouchaube), parent et voisin de la défunte, ne signe pas - ROUSSEL Antoine (cultivateur à Rouchaube), parent et voisin de la défunte, ne signe pas |
2255595 - 301-1 |
L'époux est majeur. Présents : - MALLET Louis, ne signe pas - QUINSAT Jean, ne signe pas - ACARIAS Martin, ne signe pas - TIXIER Antoine, ne signe pas |
6E272/2 - 181 |
Témoins : ACCARIAS Louis de La Roche, CHATANIER Antoine de La Roche et TROTTIER Michel de Laqueuille qui ne signent pas. |
frère aîné de l'épouse |
6E272/2 - 123 |
Dispense du 3ème au 4ème degré de consanguinité Témoins : CHARDON Antoine; ACCARIAS Jean, Jean et Martin qui ne signent pas. |
Frère aîné de Marie ACCARIAS épouse d'Antoine FAURET |
Descendance : - DUPRÉ Blaise (laboureur à Jougeat / Saint-Bonnet-près-Orcival) marié le 25/4/1741 (Source : Microfilm 2255595 - 266-2) à Orcival avec Marie MORGE (née à Jougeat / Saint-Bonnet-près-Orcival, Métayer aux Planchettes), fille de Antoine MORGE et de Marie LACOMBE. - DUPRÉ Michel de Jougeat / Saint-Bonnet-près-Orcival marié le 25/4/1741 (Source : Microfilm 2255595 - 266-2) à Orcival avec Anne GIRARDIAS (née à Jougeat / Saint-Bonnet-près-Orcival, Métayer aux Planchettes), fille de Jean GIRARDIASet de Anne MORGE. |
4E148/15 - 18 |
Marié le 31 décembre 1485 avec Béatrix ALLEMAN, fille de Guillaume ALLEMAN (Seigneur de Séchilienne et de Bos) et de Clémence de LAUDUN Source : Denis de RAUGLAUDRE |
Mariée avec Antoine de CLERMONT, fils de Claude de CLERMONT et de Jeanne de GROLÉE. Source : courriel de L. DESCHÉ (19/2/2008) - http://fr.groups.yahoo.com/group/genallier/message/41776 |
Ces pages ont été fabriquées avec le logiciel Oxy-Gen version 1.38j, le 03/01/2015. Vous pouvez le télécharger sur ce site.