Marié vers 870 avec Ne N, dont : - Garcia Eneco Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
6E272/2 - 137 |
Témoins : GARDETTE Louis; GIRAUD Michel, Pierre et Jacques qui ne signent pas. |
Courriel de J.P. Desnoyer (19/4/2012) - http://fr.groups.yahoo.com/group/genealogie-aveyron/message/141564 |
De Castres Source : Jean-François DEGA |
Courriel de Beernard FOURNIÉ (27/6/2007), http://fr.groups.yahoo.com/group/genealogie-aveyron/message/66581 |
Courriel de Beernard FOURNIÉ (27/6/2007), http://fr.groups.yahoo.com/group/genealogie-aveyron/message/66581 |
Courriel de Beernard FOURNIÉ (27/6/2007), http://fr.groups.yahoo.com/group/genealogie-aveyron/message/66581 |
Chez maître Pierre Banchereau, noraire à Bordeaux, un testament Jean GARRIGUES en date du 11/2/1733 (Source : AD 33 - 3 E 655 page 32/82) et un codicille GARRIGUES du 25/1/1733 (Source : AD 33 - 3 E 655 page 31/82 - Pierre Banchereau notaire à Bordeaux). Ces actes ne concernent pas de Jean GARRIGUES |
"Natif de la paroisse du ba? en quercy diocèse de Cahors" Source : son contrat de mariage |
Valet/homme de chambre de Mr de SAINT CRICQ escuyer ? |
Table des contrats de mariage 2 C 551, volume 1, page 794/964 |
Chez maître DUBOS Les futurs époux sont majeurs La future épouse agit sur le conseil de son cousin Henry SEHAN? maître cordonier à Bordeaux, présent |
L'époux agit du consentement de sa mère L'épouse majeure maître de ses droits n'ayant ni père ni mère Présents : - Antoine LAFARGUE domestique - Pierre SENIGON maître célier, signe - Henri IEHUN maître cordonier, signe - Bernard ALZIER, signe |
Il sont tous les deux employés en la maison de Mr de SAINT CRICQ esuyer située sur les fossés de l'hôtel de ville, paroisse de Saint-Eloi. C'est une ancienne voie de la ville de Bordeaux pouvant être partiellement localisée sur ce plan au niveau de la lettre "F" placée pour désigner l'église Saint-Eloi. La localisation de cette maison ne permet en rien de préjuger de la qualité de ce Mr de SAINT-CRICQ employeur des deux futurs époux. En consultant les Annales politiques, littéraires et statistiques de Bordeaux, on trouve à la page 100 la mention d'un ST-CRIC, bourgeois, qui fut désigné comme membre de la Jurade de Bordeaux le 26 août 1716. A priori, il s'agirait d'une personne différente du ST-CRICQ, écuyer, qui est cité dans ce CM. Ceci dit, un anoblissement n'est pas à exclure... La société d'Ancien Régime n'était pas aussi figée qu'on le pense, l'ascenseur social fonctionnait (un peu) pour qui en avait les moyens et ce d'autant plus que les caisses du Royaume étaient (souvent) vides. Source : G E G - GenHiLib |
Source : acte de décès de sa fille Anne BARTHE |
11 vendémiaire an VI Source : son acte de mariage |
Nom = GAU sur l'acte de décès de son fils Jean Joseph Auguste ROBERT en date du 5/11/1836 |
Cultivateur |
4E077008_5 pages 36 et 37/38 |
Témoins : - Antoine VILLENEUVE, 27 ans, cultivateur à la Claverie / Curvalle, signe. Par acte du 18/11/1831, il est nommé procureur fondé et spécial par la mère de l'épouse qui, pour cause d'infirmité ne peut être présente, à l'effet de consentir en son nom à ce mariage. - Baptiste JANI, 38 ans, cultivateur à la Claverie / Curvalle, signe - Antoine GISCLARD, 50 ans, cultivateur à la Claverie / Curvalle, ne signe pas - Pierre PUSTHOMI, 23 ans, cultivateur à la Claverie / Curvalle, ne signe pas |
Source : acte de mariage de sa fille Françoise Rose |
Descendance : - Oton I DONAT (? - > 1009) Source :F. CAYRE |
http://www.clairsud.com/dhuoda.html Aristocrate austrasienne et femme de lettres, Dhuoda épouse en 824 le comte Bernard de Septimanie, cousin germain de Charlemagne. Nous ne connaissons d'elle que son Liber manualis, un manuel d'éducation qu'elle compose entre 841 et 843 pourson fils aîné Guillaume, lorsque celui-ci entre au service de Charles le Chauve. Parfois considéré comme un testament spirituel, cet ouvrage se présente comme un manuel de vie chrétienne, en vers et en prose. Son auteur y explique les devoirs envers Dieu, envers les grands, ses proches et soi-même. Il offre un précieux témoignage sur la vie intérieure et sur la culture d'une femme de l'aristocratie dans le midi de la France. Elle rédige un "Manuel pour Mon Fils" 1, premier traité d'éducation connu, pour son fils aîné Guillaume, entre le 30 Novembre 841 et le 2 Février 843. Son origine fait débat parmi les historiens médiévistes. Cf le message de Michel Barbeau sur le forum le 18 novembre 2009: "Jocelyne Godard, dans sa biographie "Dhuoda la carolingienne" dit notamment : "Fille d'une petite cousine d'Hildegarde, mère de Louis le Pieux, la souche noble de Dhuoda remontait au siècle de Gontran, roi de Bourgogne et petit fils de Clovis. Lorsque ses parents, tués à Byzance dans les querelles de l'iconoclastie, la laissèrent orpheline, elle se vit dotée de territoires en Bourgogne et en Austrasie que l'on plaça sous la tutelle de Louis, roi des Francs" (P10, livre édité en 2001)". Jeannine Durrens, dans "Dhuoda duchesse de Septimanie" reprend cette hypothèse. Sa dernière demeure Elle repose depuis près de onze cents ans quelque part en terre uzétienne, on ne sait où. Les orages se sont déchaînés, les révolutions ont passé, son épitaphe, si son fils Guillaume comme elle le lui avait si instamment recommandé,a pris soin de la faire graver sur la pierre, est recouverte par les ruines accumulées sur lesquelles l'herbe a poussé, et qui sait, peut-être a-t-elle été brisée et dispersée par l'impiété de l'hommes. Mais les doux horizons qui furent familiers à Dhuoda n'ont point changé, ou si peu. Nos yeux les contemplent encore et nous nous demandons sur quelle butte, au bord de quelle sente fleurie, s'élevait en Uzès le palais où l'épouse du duc Bernard, laissant parler soncoeur de mère, dicta son Manuel au chapelain Wislabert. Marcel Fabre, 1930. Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
Marié vers 830 avec Ne N, dont : - Aznar de Comminges Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
Sans postérité |
Ou 998 |
Marié vers 810 avec Ne N, dont : - Centulle Loup de Béarn Marié vers 830 avec Ne de Bigorre, dont : - Lopo Lopez +ca 910 Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
Ainda em meados do séc. XIX, historiadores e genealogistas não duvidavam de que esse Lopo era filho de Gaifer (745, +768), neto de Hunaldo (735-45, +756), bisneto de Eudo (735), que tinham governado o ducado da Aquitânia, defendendo tenazmente a sua autonomia contra a dinastia carolíngia; e esse Eudo, em muitos documentos intitulado rei, também combatera com incansável energia os sarracenos, derrotando-os (721) na batalha de Toulouse (a primeira derrota que eles sofreram naEuropa), e, onze anos mais tarde, vencido por eles, apelando para o seu inimigo Carlos, o mordomo do Palácio e duque dos Francos, que ao esmagá-los próximo de Poitiers (25.10.732), ganhou o cognome de âo como neto de Cariberto II rei da Aquitânia, irmão do grande Dagoberto; portanto com varonia merovíngia, que transmitiria à sua descendência. Este riquíssimo esquema histórico-genealógico vem descrito em pormenor âistoire Génerale du Languedoc», de 1872, referia como coisa assente que a chamada ârigem merovíngia, seriam mais antigas que a capetíngia. Na verdade, grande número das personagens nela citados não consta de documentos autênticos, além de que é impossível estabelecer uma cronologia minimamente compatível com o desenvolvimento das gerações, sendo fortemente de estranhar que os nomes gloriosos dos duques nacionais, Eudo, Hunaldo e Gaifer nunca voltassem a ser usados pelos seus alegados descendentes. Desde o século XIX mantém-se portanto misteriosa a origem do ilustre Eudo, que poderia ser filho aquele Lopo que se revoltou contra os Francos (671), se apoderou de Limoges e se faz proclamar duque, e mesmo rei, da Aquitânia, e se aliou aoduque Paulo que levantara a vizinha Septimânia contra o rei Vamba, e se apoiou nos Vascos, a cuja nação devia pertencer. Mas o rei Vamba esmagou esses temíveis guerreiros, e perto de Béziers, na Gália visigótica, pôs em fuga (675) o próprio Lopo, que viria a socorrer Paulo. Dele não se tem mais notícia depois de 676. A sua carreira prefigura tão bem e de Eudo e as sua pretensões a reinar como soberano na região entre Loire e Pirinéus, que é de facto possível queele fosse seu filho ou genro, o que de resto está muito de acordo com a cronologia. Source : Manuel Abranches de Soveral |
Sanche (III ou IV) Garcia duc et comte de Gascogne, comte d'Agen eut deux femmes, le premier mariage fut annulé pour cause de parenté. Sanche IV-Garsie (qui succède de 920 à 930 à Garsie II-Sanche "Le Tors" ou "Le Courbé") est toujours qualifié de "comte et marquis de Gascogne" et de "comte d'Agen". Marié deux fois, il est à l'origine de la plupart des grands lignagesgascons par ses nombreux enfants dont la postérité forme notamment les comtes de Barcelone, ceux d'Angoulême (ville dont les armes sont celles des Marsan), les vicomtes de Lomagne, d'Oloron, de Dax, de Gabarret, de Tursan, de Maremne, de Marsan, de Louvigny, et les seigneurs d'Albret, ceux de Doazit, et ceux de Samadet. Sanche IV fut père notamment de deux personnages contemporains d'Hugues Capet : par le premier lit, Guillaume Sanche, le fondateur du monastère de Saint-Sever, dont le prénom est issu d'une lignée nordique, celle de sa mère Aremburge de Périgord, et, par le second lit - d'une épouse dont on ne connaît pas le nom - Ezi Sanche, septième ou huitième fils (et dernier en tout cas), premier vicomte de Marsan, marié vers 935 et tige des vicomtes de Marsan, ancêtres des seigneurs de Cauna, des vicomtes de Maremne et des seigneurs de Samadet. Source : BdeRauglaudre, Jacques de Cauna in Cadets de Gascogne, la Maison de Marsan de Cauna, tome I |
Tué dans une bataille |
Sancho Lopes é o â Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
Mittara : le montagnard ou le terrible. Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
Marié avec Jeanne de CAZENAC Source : Denis de RAUGLAUDRE |
Propriétaire cultivateur |
Descendance : - GASC Jean Pierre (né le 7/6/1796 à Saint-Sernin) marié le 8/9/1818 à Saint-Sernin avec MAS Marie Rose (née le 18/6/1796 à Segondin), fille de MAS Jacques (propriétaire cultivateur) et de CHAMAYOU Marie, témoins du mariage : ALBERGEAmbroise (41 ans), PEYRE Alexandre (63 ans), CONSTAN Pierre (64 ans) et BONNEVIALE Joseph (68 ans) tous habitants de Saint Sernin |
Témoin du futur : GASQ Joseph son cousin germain (32 ans, cordonnier, Brasc) |
beau-frère de la future |
frère de la future |
Seigneur établi à Sens, puis Vicomte d'Orléans du chef de sa femme. Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
Il fut retenu de l'hôtel du Roi pour l'accompagner en son voyage d'Allemagne. |
Assasiné. |
Bon soldat et diplomate. Source : Denis de RAUGLAUDRE Notes relatives à la famille De GAUCOURT : Jean De GAUCOURT et Louis De GAUCOURT, deux frères issus de Raoul De GAUCOURT (Grand maître d'hôtel de France) ont été évêques d'Amiens, respectivement sur les périodes de 1473-1476 et 1476-1482. Source : Ph. CONTAMINE - La noblesse au royaume de France de Philippe le Bel à Louis XII - PUF, 1997 (1ère édition) - ISBN 2 13 048763 7- page 241 |
Descendance : - GAUDELLE Marie de Rouchaube mariée le 4/2/1744 (Source : Microfilm 2255595 - 287-2) à Orcival avec François BONNABRY de Ribeyre / Vernines, fils de Pierre BONABRY et de Marie TOURREIX. |
2255595 - 295-2 |
Présents : - GAUDELLE Annet, ne signe pas - LOYSEAUX Annet, ne signe pas - MALLET Michel, ne signe pas |
1754 : Témoin au mariage de Louis FERRAN et de Marie GAUJAL ca 1728 1764 : Témoin au mariage de Pierre FOURNIER et de Marguerite GAUJAL ca 1732 Marié le 27 novembre 1758 à Alban avec Jeanne GATUMEL, fille de Jacques GATUMEL & Francoise POMIE, dont : - Antoine GAUJAL 1761 - Francois GAUJAL 1764 - Jacques GAUJAL 1766 - Jean GAUJAL ca 1766-1826 Source : Catherine POMMIER |
Chez Maître PENCHENIER |
Mariée le 20 novembre 1764, Villefranche 81, avec Pierre FOURNIER (Parents : Antoine FOURNIER & Marie AUGE) (témoins : Antoine GAUJAL ca 1718 , FERRAN Louis beau-frère de l'épouse ) Source : Catherine POMMIER |
Servante chez NESPOULOUS Jean-Pierre à Ortiguet |
Mariée le 26 février 1754, Paulinet 81, avec Louis FERRAN (Parents : Jacques FERRAN & Catherine BIAU) (témoins : Pierre FERRAN , Jean FERRAN , Antoine GAUJAL ca 1718 ) Source : Catherine POMMIER |
http://fr.groups.yahoo.com/group/genealogie-tarn/message/39880 |
Contrat de mariage passé au Fraysse chez Maître ROTOULP |
Ces pages ont été fabriquées avec le logiciel Oxy-Gen version 1.38j, le 03/01/2015. Vous pouvez le télécharger sur ce site.