Berthe, épouse en 843 Girart de Roussillon qui devient ainsi par son mariage le beau frère de Lothaire Ier. Vers 858/859, Girart de Roussillon, comte de Paris et de Fézensac, fonde l'abbaye de Vézelay. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Girart_de_Roussillon |
Fille du comte Hugues III de Tours et de la Haute Alsace ou Hugo (-â Biographie Noble et très pieuse, elle est élevée par sa mère, Ava, dans l'esprit de la religion chrétienne, au milieu d'un monde encore semi-barbare. Elle passe probablement une grande partie de sa jeunesse au monastère de Sainte-Julie à Brixen, (connue aujourd'hui sous le nom de Bressanone) dans la province autonome de Bolzano au nord de l'Italie où elle achève son éducation. À la mort d'Amalperge, elle est élue pour lui succéder au siège abbatial. Lorsqu'en 817 Louis le Débonnaire associe son fils aîné Lothaire Ier à l'empire, ce dernier demande à Ermengarde de lui accorder sa main. Le mariage a lieu le 15 octobre 821 à Diedenhofen[3] aujourd'hui Thionville. La cérémonie se déroule en présence de trente-deux prélats et seigneurs, dont l'évêque Adeloch de Strasbourg. Par son mariage avec Lothaire Ier, la famille d'Etichon-Adalric d'Alsace se trouve ainsi alliée à la dynastie carolingienne. Par la suite Lothaire concède à son épouse le protectorat de l'abbaye de Brixen, qu'elle va défendre toute sa vie. À la mort du vénérable abbé Wala de Corbie, précepteur de Lothaire Ier, survenue le 31 août 836, elle y fait faire des prières pour le repos de son âme. Les premières années de son mariage sont assez heureuses. Lors de la révolte des fils de Louis le Débonnaire contre leur père, son époux ayant fait partie de conjuration est frappé de disgrâce. Elle se trouve aussi fortement affectée par le divorce suivi du mariage avec Waldrade de son fils Lothaire II de Lotharingie et le rapt de sa fille Ermengarde (846) par Gislebert de Maasgau, comte de Maasgau. Au milieu de ces tribulations et de ces épreuves, elle pousse sa patience et sa résignation jusqu'à l'héroïsme. Par sa gentillesse et sa douceur, elle parvient à gagner le cÅur de son époux et à adoucir son caractère, comme en témoigne plusieurs diplômes qu'il établit sur les instances de son épouse. Plus tard en 836, un an avant le décès de son père, Ermengarde reçoit de celui-ci en accord avec son oncle paternel Leuthard de Sundgau[4] de vastes terres situées en Alsace, dont entre autres Échery au Petit Rombach[5]. Elle y fait construire un petit sanctuaire[6]qu'elle remet en pleine plénitude à l'abbaye de Gorze avec l'approbation de son époux. L'appartenance de ses biens à l'abbaye de Gorze est confirmée plus tard par son fils Lothaire II dans un diplôme envoyÀ 2 CONC ) de Strasbourg le 15 octobre 859[7]. En 849, la pieuse princesse fonde l'abbaye d'Erstein, fondation que Lothaire Ier reçut en 817 de son père Louis le Pieux par un diplôme daté de Remiremont et qu'il accorda à son épouse. Le diplôme |
Ambassadeur à Constantinople |
Hugues III ou Hugo, comte de Tours et duc de la Haute Alsace Fils de Luitfrid II de Sundgau, il est né en 765 et décédé le 20 octobre 837. Il fait partie de la famille des Etichonides et est comte de Tours et duc de la Haute Alsace durant les règnes de Charlemagne et Louis le Pieux. Il a un frère, Leuthard de Sundgau, père de l'évêque Otbert de Strasbourg qui est assassiné en 913. Sa fille aînée, Ermengarde de Tours fut impératrice en épousant Lothaire Ier. Une autre de ses filles, Berthe, épousa en 843 Girart de Roussillon qui devint ainsi par son mariage le beau frère de Lothaire Ier. Vers 858/859, Girart de Roussillon, comte de Paris et de Fézensac, fonde l'abbaye de Vézelay. Biographie En 811, il est nommé par Charlemagne ambassadeur de Constantinople, charge qu'il conserve jusqu'en février 828 quand il est destitué de cette fonction par Louis le Pieux pour avoir tardé à porter secours à Bernard de Septimanie qui combattait les Sarrazins commandés par Abou Marvan au sud de l'Aquitaine. Lui et le comte Matfrid ou Mainfroi d'Orléans furent sévèrement réprimandés par Louis le Pieux qui les destitua de leur titre. C'est à la suite de cet épisode que Hugues fut affublé du nom d'Hugues le Peureux. Hugues III marie sa fille Ermengarde de Tours à Lothaire Ier le 15 octobre 821. La cérémonie de mariage se déroule à Diedenhofen aujourd'hui Thionville en présence des plus hautes personnalités de l'époque dont l'évêque de Strasbourg, Adeloch [1] et 31 autres prélats. Il a pour adversaire les fils de Guillaume de Gellone, petit fils de Charles Martel, Bernard de Septimanie, Gaucelme, comte de Roussillon et leur parent Bernard de Gothie. Tandis que tous les trois soutiennent l'empereur Louis le Pieux, lui soutient son gendre Lothaire. En 833, Louis le Débonnaire est fait prisonnier par ses propres fils au Champ du Mensonge, près de Colmar à la suite d'une révolte fomentée par Lothaire Ier. En 835, Louis le Débonnaire est remis sur son trÀ 2 CONC 4ne et vint à Thionville pour tenir la diète qu'il avait convoquée pour le mois de février.Lothaire Ier, après avoir continué quelque temps sa révolte, se rendit aux invitations de son père avec le comte Hugues qui l'avait soutenu. Lothaire Ier implora sa grâce avec le comte Hugues. Il lui pardonna et rétablit par la même occasion le comte Hugues dans toutes ses terres de l'Alsace sans toutefois qu'il puisse exercer une quelconque autorité sur ses terres. C'est grâceà l'intervention de Wala de Corbie ancien précepteur de Charlemagne et conseiller de Lothaire Ier que les deux personnages seront graciés . Ils perdent toutefois tout deux leur comté et une partie de leurs biens. Hugues III sera contraint de s'exiler en Italie et Wala de Corbie doit s'exiler à l'abbaye de Corbie.Ce sont deux personnages assez importants. Ils se rangeront du côté de Lothaire Ier (795-855)le fils de Louis le Pieux. Hugues III est exilé avec Lothaire Ier enItalie après que celui soit obligé de signer la paix à Chouzy-sur-Cisse, près de Blois. Peu avant sa mort Hugues III et son frère Leuthard donneront des terres situées à Echéry au Petit Rombach secteur de Sainte Croix-aux-Mines) à Ermengarde qui y construira en 836 un petit sanctuaire qui deviendra une centaine d'années après un prieuré bénédictin dirigé par un moine de l'abbaye de Gorze du nom de Blidulphe [2]. Hugues fut aussi le bienfaiteur de l'abbaye Sainte-Marie de Niedermunster à Saint-Nabor près du Mont Sainte-Odile en Basse-Alsace. Avant son dÀ 2 CONC )cès il légua ses biens à la chapelle Saint-Jean Baptiste de Monza en Lombardie. Hugues y mourut le 20 octobre 837 en Italie de la peste. Il repose en compagnie de sa femme Ava de Morvais (décédée en 839) à Locate près de Milan. Descendance Avec Ava Hugues III aura cinq enfants : - Ermengarde (née en 804- Décédée le 20 mars 851) épouse de Lothaire Ier - Adélaïde ou Aélis (née en 805)- Mariée en premières noces avec Conrad Ier de Bourgogne, frère de l'impératrice Judith de Bavière, épouse de Louis le Pieux, elle eut un fils du nom de Hugues qui fut pour un temps archevêque de Cologne. Une interpolation de la chronique de Saint-Bénigne de Dijon, laisse penser qu'Adélaïde, veuve de Conrad Ier de Bourgogne, aurait épousé en secondes noces le comte Robert le Fort, l'arrière-grand-père de Hugues Capet et donc l'ancêtre de toute la lignée capétienne. Il semblerait qu'il s'agisse en fait, non pas d'Adélaïde mais d'une fille de cette dernière et de Conrad Ier de Bourgogne, fille qui pourrait se prénommer Emma. - Luitfrid de Monza (vers 810-866)[3], comte d'Alsace et de Lombardie , conseiller de Lothaire II, dont la fille Eve de Tours se mariera avec Unroch III de Frioul. - Berthe (décédée en 870) - Epouse en 843 Girart de Roussillon Légende Un manuscrit du Père jésuite Lyra rapporte que Hugues III avait été accusé de trahison envers Charlemagne; il devait être décapité mais il fut entièrement innocenté. Pour le dédommager de cette injustice, Charlemagne lui fit don en802 d'une parcelle de la vraie croix, que lui-même avait reçue en 799 des mains du patriarche de Jérusalem en Terre sainte. Le duc Hugues, père d'Ermengarde, ne se trouvant pas digne de posséder cette relique, la fit enchâsser dans un grand reliquaire en forme de croix et le mit au cou d'un chameau, tandis que sa femme Ava y avait ajouté un évangile richement orné. On convint que le précieux don resterait et serait vénéré à l'endroit où la bête s'arrêterait de son gré. Une sonnette au cou et suivi de cinq chevaliers, le chameau partit de Bourgogne, où les parents d'Ermengarde possédaient de nombreux biens, et arriva enfin en Alsace au pied du Mont Sainte-Odile où il s'arrêta le 7 des Ides de juillet. C'est cet endroit qui fut choisi pour y élever l'abbaye Sainte-Marie de Niedermunster. Cette relique fut vénérée à Niedermunster jusqu'au XVIe siècle date où l'abbaye fut dévastée lors de la guerre des Paysans et par deux incendies, en 1542 et 1572. Les reliques furent transférées à Molsheim où elle disparurent. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Hugues_III_de_Tours_et_de_la_Haute_Alsace |
A Locate près Milan, Italie |
Mariée le 30 novembre 1527 avec Antoine IV du PRAT (Seigneur de Nantouillet. Chevalier, gentilhomme ordinaire de la chambre du Roi. Chevalier de l'Ordre de Saint-Louis, Prévôt de Paris en 1547. Décédé en 1554), fils de Antoine III du PRAT (Chancelier de France (7 janvier 1514), Baron de Thoury, Seigneur de Nantouillet, né le 17 janvier 1463 à Issoire 63, décédé le 9 juin 1535 au Château de Nantouillet 77, Chancelier de Bretagne en 1515. 1489 lieutenant général au baillage de Montferrand, 1495 avocat général au parlement de Toulouse, 24/11/1503 maître des requêtes, 2/11/1506 président à mortier au parlement de Paris, 1507 1er président, 1515 chancelier de France) et de Françoise de VEYNY. Après la mort d'Antoine III du PRAT, sa femme embrasse l'état ecclésiastique, négocie le mariage de Charles VIII avec Anne de BRETAGNE. Il est pourvu successivement des évêchés de Valence, Die et Gap ; nommé en 1525 à l'archevêché de Sens, puis abbé de Saint-Benoît-sur-Loire, il fut crée cardinal du titre de Sainte-Anastasie par le pape Clément VII, le 3 mai 1527, puis légat perpétuel et enfin évêque de Meaux en 1534. Son coeur porté en la cathédrale de Meaux. Source : Jean-Michel GIL Mariée avec Georges Ier de CLERMONT (Marquis de Gallerande, sans hoirs), fils de Louis de CLERMONT (Seigneur de Clermont-Gallerande. Décédé après 1539) et de Renée d'AMBOISE (Dame de Bussy. Décédée après 1561) Source : Denis de RAUGLAUDRE Dame de Viteaux. Prénom = Marie Anne. Mariée avec Antoine III du PRAT (Chevalier. Marquis de Barbançon, comte de Nantouillet. Prévôt de Paris), fils de Antoine II DUPRAT (Né le 26/1/1463 à Issoire, décédé le 19/7/1535 à Nantouillet (71). Cardinal, chancelier de France) et de Françoise de VERNY d'ARBOUSE, mariés en 1493. Source : Ascendance de Geneviève de CHABANNES LA PALICE - Fichier "CHABANNES Genevieve.pdf" - page 11 |
Page 22 |
Mariée le 18 avril 1493 avec Charles de BOURBON (Prince de Carency. Née en 1444, décédé vers 1504) Source : Denis de RAUGLAUDRE Mariée le 18 avril 1493 avec Charles de BOURBON (Prince de Carency. Décédé vers 1504), fils de Jacques de BOURBON (Seigneur de Carency. Décédé après 1493) et de Antoinette de La TOUR d'AUVERGNE (Née posthume vers 1416), mariés en 1451. Source : Jean-Michel GIL |
Marié le 31 janvier 1530 avec Madeleine Le LOUP, fille de Blain Le LOUP et de Paule du PUY Source : Denis de RAUGLAUDRE |
Après 1521 - Source : Ascendance de Geneviève de CHABANNES LA PALICE - Fichier "CHABANNES Genevieve.pdf" Avant 24 octobre 1525 - Source Daniel de RAUGLAUDRE |
BIOGRAPHIE: Grand Maître des Eaux et Forêts de France Comte de Joigny Seigneur de Precy Source : GIL Jean-Michel |
Marié le 26 avril 1513 avec Marie d'ESTOUTEVILLE, fille de Jacques d'ESTOUTEVILLE (Seigneur de Blainville, décédé le 11 septembre 1509) et de Gilette de COËTIVY, mariés après 1478. Source : Jean-Michel GIL Marié le 26 avril 1513 avec Marie d'ESTOUTEVILLE, fille de Jacques d'ESTOUTEVILLE (Baron de Saint-André. Décédé en 1509) et de Gilette de COËTIVY (Décédée en 1510) Source : Denis de RAUGLAUDRE |
Mariée le 10 janvier 1498 avec Pierre de BOURBON-BUSSET (Chevalier. Baron de Busset et de Puisagut. Seigneur de l'Isle. Né en novembre 1464 aux Pays-Bas, décédé en 1529), fils de Louis de BOURBON (Évêque de Liège. Né en 1437. Décédé en 1482) et de Catherine d'EGMONT (Duchesse-régente de Gueldre. Née en 1439, décédée en 1496) Source : Denis de RAUGLAUDRE Mariée le 1er janvier 1498 avec Pierre de BOURBON-BUSSET (Baron de Busset et de Puisagut. Seigneur de l'Isle. Né en novembre 1464, décédé en 1529), fils né de la relation entre Louis de BOURBON (Prince-évêque de Liège (1456). Né en 1437. Décédé le 30 août 1482 à Werz en Belgique) et de Catherine d'EGMONT (Duchesse-régente de Gueldre (1477-1481). Née en 1439, décédée en 1496) Source : Jean-Michel GIL |
Mariée le 24 avril 1472 avec Antoine II de SAINT-NECTAIRE, fils d'Antoine de SAINT-NECTAIRE et d'Antoinette de MONTMORIN (Dame de Saint-Hérem) Source : GIL Jean-Michel |
Tué à la bataille d'Azincourt |
Il teste avant de partir pour l'armée, dans la guerre contre les anglais, blessé devant la ville d'Acqs, il mourut peu après. |
Entre 1433 et 1439, Yves d'ALÈGRE, seigneur d'Alègre et de Tourzel, signe "Yves d'Alegre". En 1440, son successeur, Yves, seigneur d'Alègre et de Livradois, signe "Alegre". Entre 1476 et 1491, Bertrand d'ALÈGRE, seigneur de Busset, signe "B. d'Alegre". A la fin du XVème siècle, Yves d'ALÈGRE, seigneur de Rioux, François d'ALÈGRE, seigneur de Précy, signent respectivement "Y. d'Alegre" et "F. d'Alegre". Quant à Marguerite d'APCHIER, dame d'Alègre et de Livradois, veuve d'Yves, jadis seigneur d'Alègre, elle signe, comme souvent les dames, de son seul nom de baptême : "Marguerite". (BnF, P.O. 31, dossier d'Alègre ou d'Allègre, n° 648, passim.) Source : Ph. CONTAMINE - La noblesse au royaume de France de Philippe le Bel à Louis XII - PUF, 1997 (1ère édition) - ISBN 2 13 048763 7- page 224 |
Tué |
BIOGRAPHIE: Seigneur d'Alègre Source : GIL Jean-Michel |
fils de la défunte |
fils de la défunte |
oncle du futur |
frère de la future |
Notes relatives à la famille De LA TRÉMOILLE : - Autour du seigneur, Louis Ier De LA TRÉMOILLE, figure tout un personnel fait de petits nobles et de gens de loi : maître Nicolas DARY, licencié en lois, bailly de Sully, Saint-Gondon et Sennely; Jean De GIVERLAY, chevalier, capitaine de Sully; maître Etienne Des MAROIS, licencié en lois, procureur du seigneur de Sully; Guillaume De DICY, maître des eaux et forêts; maître Etienne LULIER, licencié en lois, conseiller et avocat du dit seigneu; Guillaume CHARRETON, sergentde la forêt; Jean De RUAN receveur dont le rôle était à l'évidence essentiel Source : Ph. CONTAMINE - La noblesse au royaume de France de Philippe le Bel à Louis XII - PUF, 1997 (1ère édition) - ISBN 2 13 048763 7- page 113 Louis Ier De LA TRÉMOILLE est mort dans son château de Bommiers (en Berry). Source : Ph. CONTAMINE - La noblesse au royaume de France de Philippe le Bel à Louis XII - PUF, 1997 (1ère édition) - ISBN 2 13 048763 7- page 23 - En 1396, Guy De LA TRÉMOILLE commande au peintre Jehannin CRETON d'"historier" de 64 miniatures à raison de 2 sous 6 deniers tournois par "histoire" "Le livre de deduit de chace de bois et d'oiseaux appellé le Livre du roy Modus" qu'il avait fait copier. Livres de comptes 1395-1406 de Guy de la Trémoille et Marie de Sully, éd. L. de La Trémoille, Nantes, 1887, p. 50. Source : Ph. CONTAMINE - La noblesse au royaume de France de Philippe le Bel à Louis XII - PUF, 1997 (1ère édition) - ISBN 2 13 048763 7- page 267 Noble et puissant seigneur monseigneur Guy (Seigneur de La Trémoille, de Sully et de Craon. Chevalier; grand panetier de France; Conseiller et chambellan de Charles VI; Grand chambellan de Philippe, duc de Bourgogne). En octobre 1395, il fit prendre par son conseil des dispositions financières en vue de l'entretien pour un an, à compter du 1/111395, de l'hôtel de son épouse, Marie De SULLY. Lui-même, pendant ce temps devait s'installer à Paris, à la cour du roi de France, pour préparer le "voyage de Hongrie", qui devint la croisade de Nicopolis, du nom de la bataille des suites de laquelle il devait mourir, à Rhodes, en 1397. Il fut prévu que, pendant l'absence de son marie, la dame de La trémoille résiderait en permanence, avec ses gens, dans l'in de ses nombreux châteaux, celui de Courcelles-lès-Semur, dans le duché de Bourgogne. Là devaient également séjourner une partie de son écurie et sa meute de chiens de chasse. Guy De LA TRÉMOILLE possédait des vignes dans la région de Beaune. La suite de Marie De SULLY était composée de 32 femmes, depuis les dames d'honneur et de compagnie jusqu'aux lavandières en passant par les 4 nourrices des enfants du seigneur et de la dame, et 42 hommes, dont un tailleur, 4 valets de chambre, un nain nommé Yvon, 3 clercs pour la chapelle, le dépensier, les queux, etc. Guy De LA TRÉMOILLE et Marie De SULLY possédaient une bonne trentaine de seigneuries dont les revenus fonciers (environ 11 000 francs) etaient loin de représenter toute la richesse des La Trémoille : chaque année en effet, des milliersde livres leur étaient versées par l'antipape, la reine de Sicile, divers souverains étrangers, le roi de France et surtout le duc de Bourgogne. Livres de comptes, 1395-1406. Guy de La Trémoille et Marie de Sully, éd. L . de La Trémoille, Nantes, 1887. Source : Ph. CONTAMINE - La noblesse au royaume de France de Philippe le Bel à Louis XII - PUF, 1997 (1ère édition) - ISBN 2 13 048763 7- page 123 - Serviteur de Louis XI, Georges de LA TRÉMOILLE, seigneur de Craon, en dehors même de ses séjours à la cour (ainsi à Tours, où il devait disposer d'une résidence fixe en tant que bailli de Touraine) et de ses nombreux déplacements àdes fins militaires, diplomatiques et administratives, résidait dans plusieurs de ses châteaux : Craon, Rochefort-sur-Loire, L'Ile-Bouchard, Ligny-en-Barrois, etc. Source : Ph. CONTAMINE - La noblesse au royaume de France de Philippe le Bel à Louis XII - PUF, 1997 (1ère édition) - ISBN 2 13 048763 7- pages 143 et 144 Georges de LA TRÉMOILLE signait "La Trémoille" au temps de sa jeunesse, puis, lorsqu'il eut hérité de la seigneurie ou baronnie de Craon, il signa régulièrement "Craon". Source : Ph. CONTAMINE - La noblesse au royaume de France de Philippe le Bel à Louis XII - PUF, 1997 (1ère édition) - ISBN 2 13 048763 7- page 224 Georges de LA TRÉMOILLE (Sire de Craon) reçu du roi Louis XI une lettre adressée de Montreuil-Bellay le 17/3/1473. Lettres de Louis XI, éd. J. Vaescen et A. Charavay, t. V, Paris, 1895, p. 130-131, n° DCCXXIV. Source : Ph. CONTAMINE - La noblesse au royaume de France de Philippe le Bel à Louis XII - PUF, 1997 (1ère édition) - ISBN 2 13 048763 7- page 225 Georges de LA TRÉMOILLE (Sire de Craon) possédait un Lucain qui passa ensuite à son neveu Louis II De LA TRÉMOILLE. Source : Ph. CONTAMINE - La noblesse au royaume de France de Philippe le Bel à Louis XII - PUF, 1997 (1ère édition) - ISBN 2 13 048763 7- page 272 - En 1494, Louis II De LA TRÉMOILLE, arrière-petit-fils de Guy, époux de Gabrielle De BOURBON, possédait une bonne quinzaine de seigneuries dont le revenu total disponible montait à 7 600 livres. Source : Ph. CONTAMINE - La noblesse au royaume de France de Philippe le Bel à Louis XII - PUF, 1997 (1ère édition) - ISBN 2 13 048763 7- page 130 |
Marié vers 1470 avec ? Source : Jean-Michel GIL |
Marié vers 1455 avec Hélène de ROQUELAURE, fille de Pierre de ROQUELAURE Bonafos et de Hélips de MONTPEYROUX, mariés en 1422 Source : Denis de RAUGLAUDRE |
Tué par les habitants de Béziers |
Fille d'un notaire d'Aubin [Massip, d'après un folio détaché d'un terrier d'Aubin; ce folio semble perdu] Source : Louis D'ALAUZIER - Généalogie des Boysson ou Buisson (alauzier.pdf) - Page 2 |
ou de Poitiers Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
Évêque de Trèves |
Les alliances de Cunégonde de Gand, née vers 893, semblent confuses car on la dit mariée vers 907/909 tantôt avec Wigeric de Luxembourg, tantôt avec Wigeric de Trêves. En outre, ces deux personnages n'en forment sans doute qu'un seul car Wigeric de Trêves était comte palatin de Luxembourg. Source : Jean-Marie Thiébaud (forum) 05/10/2009 "Le père de Wigéric peut être identifié comme étant Odacar, comte lorrain, proche de Régnier." Source : J-C de Vaugiraud (Régine Le Jan: Famille et pouvoir dans le monde franc: VIIe-Xe siècle, p. 384) 05/10/2009 "Le comte Odacar aurait sans doute épousé une soeur du comte Rénier 1° [comte de Hainaut]. De cette union serait né le comte Wigéric dont les descendants allaient dominer l'Ardenne au X° siècle." Source : J-C de Vaugiraud (Régine Le Jan: Femmes, pouvoir et société dans le haut Moyen Âge, p. 215) 05/10/2009 Voir ces deux références pour leurs analyses (Medieval genealogy) : - http://fmg.ac/Projects/MedLands/LOTHARINGIAN%20(UPPER)%20NOBILITY.htm - http://fmg.ac/Projects/MedLands/LOTHARINGIAN%20(LOWER)%20NOBILITY.htm |
1E_019_002_4 page 13 |
Chez Jean LACOMBE, notaire |
Marié le 15 fevrier 1742] à Assac (AD 81, 1E_019_002_04) avec Catherine FLOUTARD (1719-) |
Cultivateur |
Descendance : - Pierre TROUCHE né le 28/1/1815 à 1h au Brugas / Saint Juéry, Source : AD 12, 4E17/2 (4E049432, page 25/31); décédé le 15/2/1815 à 1h au Brugas / Saint Juéry, Source : AD 12, 4E17/2 (4E049435, page 23/31) |
2E_019_001_9 page 3 |
4E17/2 (4E049433, page 5/26) |
Présents : - BEL Louis, 25 ans, tailleur à Saint Sernin, signe - ALBERGE Ambroise, 38 ans, propriétaire cultivateur à Saint Sernin, signe Officier de l'état civil : AUGÉ Antoine, adjoint de la mairie de Saint Sernin |
père du nouveau né |
Après 18 avril 1878 |
CM chez Maître Lasbordes |
4E193/12 - 29 |
Témoins : Victor GIRY (70 ans) et Joseph BERTRAND (44 ans), cultivateurs à Plaisance, signent. |
Ces pages ont été fabriquées avec le logiciel Oxy-Gen version 1.38j, le 03/01/2015. Vous pouvez le télécharger sur ce site.