| Page 6 |
| Nommée ainsi que son mari dans le testament de 1484 de sa mère |
| Mariée avant le 26 août 1484 avec Rigal BOYER (Bachelier és droits) Source : Louis D'ALAUZIER - Généalogie des Boysson ou Buisson (alauzier.pdf) - Page 6 |
| Mariée en 1504 avec Jean "de CASAS", marchand à Marcolès [AD 46, 111 E 27-10, f° 85 de 1504] Source : Louis D'ALAUZIER - Généalogie des Boysson ou Buisson (alauzier.pdf) - Page 4 |
| Page 5 |
| Dans le CM de Borgue, Pierre BOYSSON promet de donner à celle-ci des vêtements nuptiaux comme à ses autres soeurs Antonie et Marguerite Mariée avant le 17/2/1484 [AD 12, 3 E 6016 f° 168] avec Jean D'ANGLES (Marchand à Aubin), d'où : - Adhémar D'ANGLES qui, le 26/4/1507, donna à son oncle Pierre BOYSSON quittance de partie de la dote constituée à ses parents [AD 12, 3 E 6025 f° 12] Source : Louis D'ALAUZIER - Généalogie des Boysson ou Buisson (alauzier.pdf) - Page 5 |
| Il fait une donation à son gendre Jean de La GRANGE [AD 46, 111 E 27-20 f° 4] Source : Louis D'ALAUZIER - Généalogie des Boysson ou Buisson (alauzier.pdf) - Page 3 |
| Cohétier de son père avec son frère Alric. Il se qualifia de seigneur de Sayrignac, hameau de la commune de Lunan, près duquel il construisit la plus grande partie du château qu'on voit de nos jours. Source : Louis D'ALAUZIER - Généalogie des Boysson ou Buisson (alauzier.pdf) - Page 3 |
| Marchand |
| 111 E 27-3 f° 37 |
| Cheptel en faveur de Marquèze de GAULÉJAC Source : Louis D'ALAUZIER - Généalogie des Boysson ou Buisson (alauzier.pdf) - Page 3 |
| Il se qualifiait de coseigneur d'Aubin et Auzits (12, non loin d'Aubin), seigneur de La Boyssonie, c'est-à-dire des biens des Boysson et "del Potz" (Poux, commune d'Aubin) Marié avant le 21/12/1489 [AD 12, 3 E 6023 f° 60 - Acte par celle-ci] avec noble Cébélia de MARQUÈS Puis avant le 26/2/1513 [AD 12, 3 E 6027 f° 65 - Acte par celle-ci] avec noble Gabrielle AZÉMAR Descendance : - Benoît. Seigneur de La Boyssonie, héritier de son père [AD 12, 3 E 1978, f° 157, acte du 15/4/1529] - Jean. Alors habitant de Toulouse, il testa le 14/1/1528, nommant son père, ses frères Benoït, son héritier, et Christophe, recteur de Cayssac, ses soeurs Gaillarde et Jeanne [AD 31, 3 E 11816, n° 1174]. Mais il dut survivre, car on le voit paraître, lui ou un autre Jean il est vrai, jusqu'en 1539 au moins - autre Jean. Il fut prieur de Vialareilles dès 1489, prieur d'Aubin et de Vialareilles en 1509 [actes par son père et procureur, AD 12, 3 E 6023, f° 62 et 3 E 6026, f° 39]. Citons aussi un acte du 10/8/1512 où il est dit prieur d'Aubin,frère de Christophe, recteur de Cayssac [AD 12, 3 E 6027, f° 20] - Christophe. Recteur de Cayssac, puis prieur de Vialareilles (à partir de 1539 au moins), prieur d'Aurignac (31) - Jeanne. Nommée dans le testament de son frère Jean - Gaillarde. Nommée dans le testament de son frère Jean. Elle épousa Gui de CAMBEFORT, fils de Pierre et de noble Antonia de BRATS ou de BRACH. Marchand à Aurillac, puis à Figeac où il paraît avoir fait des affaires importantes, il devint viguier de Figeac. A la fin de sa vie, il est qualifié noble, seigneur de Cambion (paroisse d'Ytrac, 15) et de Vaureilles, qu'il dut acheter aux descendants de Jean junior BOYSSON. Le 19/6/1558, noble Gailharde BOYSSON, veuve de Gui de CAMBEFORT, donna à son frère, noble Benoït BOYSSON, seigneur de la Boyssonie, habitant à Aubin, le reste de sa dot, ses droits sur les biens paternels, etc [AD 46, 111 E 45/4, f° 140] - Madeleine. Par contrat du 15/5/1520, elle épousa Jean BOYER, bachelier ès droits, bourgeois de Rodez, procureur de la temporalité de l'évêque de Rodez [AD 12, 3 E 1515, f° 83 et 81]. Elle mourut sans postérité avant le 15/4/1529 Source : Louis D'ALAUZIER - Généalogie des Boysson ou Buisson (alauzier.pdf) - Page 5 |
| Page 5 |
| Marchand |
| Page 3 |
| Décédé mineur |
| 2 E, cadastre d'Aubin de 1435, f° 130 |
| Il avait une maison qui confrontait celle de son frère Jean senior |
| E.B. 143 - Copie officielle faite en 1621 à la demande de Jacques de BUISSON, seigneur d'Ausonne, cette pièce vient du château de Bournazel |
| Le roi anoblit Pierre BOYSSON et 3 de ses frères (Jean sénior, Jean junior et Hugues), fils de feu Jean du "château" d'Aubin (12), née "ex plebeiis parentibus" |
| 3 E 1719 f° 60 |
| Avec ses 3 frères et son beau-frère Hugues ALBRESPY (probablement anobli le même jour), ils nommèrent des procureurs pour faire enregistrer au sénéchal de Villefranche de Rouergue les lettres d'anoblissement qu'ils venaient d'obtenir Source : Louis D'ALAUZIER - Généalogie des Boysson ou Buisson (alauzier.pdf) - Page 2 |
| Marchand |
| A notre connaissance, personne n'a jamais parlé de la descendance en Rouergue des BOYSSON de cette branche. Cette partie de la famille dut s'éteindre, tomber dans l'obscurité ou quitter le pays. Source : Louis D'ALAUZIER - Généalogie des Boysson ou Buisson (alauzier.pdf) - Page 8 |
| Marchand |
| 111 E 27-43, f° 343 |
| Il fut avec son frère Forton héritier universel de son père [AD 46, 111 E 16/8, f°189] Ayant acquis des droits dans la "baronnie" de Felzins (46) et Montmurat (15), il prit le titre de seigneur des Fargues (commune de Saint-Félix) et coseigneur de Felsins. Il épousa noble Adhémare LHYA, fille de noble Pierre, à Villeneuve d'Aveyron; le 2/11/1453; ce dernier versa à BOYSSON les 600 moutons d'or qu'il avait promis de donner avant la célébration du mariage [AD 31, 3 E 12023, f° 16. Bien queson père ne soit pas dit ici seigneur de Camboulan, Adhémare devrait être la soeur d'Hélène, femme de Jean BOYSSON, seigneur de La Gache] Descendance : - Etienne, bachelier ès droits, prêtre, précepteur de l'Hôpital d'Aujou, à Figeac [AD 46, 111 E 27/19, f° 125] - Irlande. Par contrat du 20/1/1472, elle épousa Guillaume de BIA, marchand à Figeac [AD 46, 111 E 16/8, f° 196]. Elle fut héritière de ses parents. Ses descendants se qualifièrent de nobles, seigneurs des Fargues - Jean. Fils naturel, marchand à Figeac. Il épousa par contrat du 28/6/1475 Adhémare JACQUES, fille de Jean, marchand à Figeac [AD 46, 111 E 20/2, f° 208]. Nous n'avons pas recherché sa destinée. Source : Louis D'ALAUZIER - Généalogie des Boysson ou Buisson (alauzier.pdf) - Page 7 |
| Page 7 |
| Marchand |
| 111 E 27-12 f° 188 |
| Elle partage avec sa soeur Gaspare les biens de Pierre BOYSSON; en particulier, chaque partie eut la moitié de "la tour" de Sayrignac Source : Louis D'ALAUZIER - Généalogie des Boysson ou Buisson (alauzier.pdf) - Page 3 |
| Héritière substituée de sa soeur Catherine. Mariée avant le 9/3/1510 avec Pierre La GRANGE (Comme son beau-frère François SÉGUIER, il fut marchand à Figeac), fils de Pierre La GRANGE et de Marquèze "de BROLIO" [Maintenues de noblesse de 1699, BNF, 32295 f° 199 et 293], d'où lesbranches des seigneurs de La Pannonie, des seigneurs de Rouffillac et des Lagrange Gourdon de Lavercantière. Ces derniers portaient les armes des Boysson, au lion issant d'un buisson. Source : Louis D'ALAUZIER - Généalogie des Boysson ou Buisson (alauzier.pdf) - Pages 3 et 4 |
| 3 E 6552 f° 149 et 151 |
| Dans son ouvrage "La coseigneurie d'Auriac-le-Château et de Saint-Rome du Tarn" - Mémoires de la Société des Lettres de L'Aveyron, Tome 34, 1910 - Bonnetis n'a pas mentionné ce mariage, il a cru que Guillaume devint prêtre, il a cependant exploité certains registres du même notaire, il y a trouvé en particulier le mariage de Jean TUBIÈRES avec Galharde BOYSSON Source : Louis D'ALAUZIER - Généalogie des Boysson ou Buisson (alauzier.pdf) - Page 4 |
| Page 4 |
| Elle épousa Jean Del BRUELH, marchand de Toulouse, parfois qualifié de noble. Sa dot avait été de 400 écus [quiitances au sujet de paiements partiels de sa dot des 3/11/1472 et 29/5/1478 - AD 12, 6035, f°187 et AD 31, 3 E 6087, f° 207]. Source : Louis D'ALAUZIER - Généalogie des Boysson ou Buisson (alauzier.pdf) - Page 12 |
| 3 E 6014, f° 198 |
| Il fit une donation à ses frères Pierre, seigneur de Vaureilles, et Jean. Source : Louis D'ALAUZIER - Généalogie des Boysson ou Buisson (alauzier.pdf) - Page 10 |
| Cadastre d'Aubin, f° 322 |
| Il figure pour un hôtel au Paradou et divers autres biens |
| 3 E 6025, f° 96 |
| Prieur Source : Louis D'ALAUZIER - Généalogie des Boysson ou Buisson (alauzier.pdf) - Page 10 |
| Begon (Bec en occitan) Source : Louis D'ALAUZIER - Généalogie des Boysson ou Buisson (alauzier.pdf) - Page 10 |
| Page 10 |
| Prêtre, recteur |
| Née du 1er ou 2nd mariage de son père ? |
| 3 E 5724, 1er cahier, f° 145 |
| Sa belle-mère transigea avec lui et son frère Jean pour réclamer plus que le legs fait par son mari Source : Louis D'ALAUZIER - Généalogie des Boysson ou Buisson (alauzier.pdf) - Page 12 |
| Page 12 |
| Il fait héritiers ses fils Jean et Paul. Au premier, il attribuait sa seigneurie de Mirabel; Source : Bibliothèque Nationale Carrés d'Hozier, n° 141, page 212, copie de son testament partielle et non officielle de la fin du XVIème siècle |
| 3 E 12001 (30), f° encarté |
| Ouverture de son testament du même jour Source : Louis D'ALAUZIER - Généalogie des Boysson ou Buisson (alauzier.pdf) - Page 12 |
| Héritier de son père Nous connaissons le nom de deux femmes d'Hugues : - Jeanne BATALHA décédée avant le 1/4/1492, son marie fut son héritier (AD 12, 3 E 6019, 2ème foliotation, f° 7). Néanmoins, ses "consanguinei", dont Jacques ARLAND, receveur des amendes au parlement de Paris, réclamèrent 600 livres de sa dot à Hugues BOYSSON; il s'en suivit un procès; le 21/7/1503. Hugues BOYSSON nomma des procureurs pour transiger à ce sujet (AD 31, 3 E 2743, folio 203). - Noble Hélips BOYSSE, veuve de Jean BÉNÉDICTI. Sa fille Constance BÉNÉDICTI, femme de noble Nicolas DULCIS, seigneur d'Ondes, réclama aux héritiers d'Hugues BOYSSON les 150 l. d'augment "gagnées" par sa mère, comme on disait autrefois, par suite de la mort de son premier mari; elle en donna quittance le 16/3/1519 (AD 31, 3 E 12004 (30), f° 89). D'après les actes ci-dessus concernant Jeanne BATALHA et Hélips de BOYSSA, il ne semble pas qu'elles aient laissé des enfants d'Hugues BOYSSON (c'est certain pour Jeanne BATALHA). Ce dernier eut donc au moins une autre femme. Il laissa comme enfants : - Jean, seigneur de Mirabel. Il fut d'abord changeur à Toulouse, comme son père. Mais ayant épousé Charlotte MASSIP, dame de Bournazel (12), héritière de sa maison (La chose est bien connue. Citons ccependant une reconnaissance du 2/6/1516 en faveur de noble et puissant Jean BOYSSON et Charlotte MASSIP, sa femme, seigneurs de Bournazel, Mirabel et autres lieux - AD 12, E 66, parchemin. La généalogie des MASSIP serait probablement à revoir, car un Pierre MASSIP "dominus pra parte ville de Bornazel" sénéchaussée du Rouergue fut anobli en 1321 "Rect ex nobili non fuerit genere procreatus" - Archives Nationales JJ 60, n° 73, f° 108), il abandonna le commerce et alla s'établir chez sa femme où vers 1525, il fit construire le beau château de Bournazel. Il vendit sa maison à Toulouse en 1535 (Cholonde, Histoire des rues de Toulouse). il fut la tige des BUISSON de Bournazel, qui occupèrent un haut rang dans la noblesse de la province. Son fils fut sénéchal de Rouergue (à partir de 1586) et trois autres de ses descendants le furent aussi au XVIIème siècle. Bournazel fut érigé en marquisat en 1624 (pour tout ceci, voir Borrou, loc. cit.). - Paul, cohéritier de son père. Nous ne savons pratiquement rien de plus sur lui, ayant arrêté nos recherches vers 1510. Il aurait été tué à Cerisoles (en 1544), ce qui parait peu probable, puisqu'il avait commencé par être marchand(en tout cas pas à Cerignoles, en 1503, comme on l'a dit aussi, puisqu'il survécut à son père). - Pierre, prieur de Capdenac (Lot) de Grèses, diocèse de Carcassone, et de Saint-Laurent-de-Brolio, diocèse de Tarbes (acte de 1519 - AD 31, 3 E 2770, f° 300. Un Pierre, titulaire de ces deux derniers bénéfices était frère de Jean, seigneur de Bournazel, d'après un acte de 1528 - AD 31, 3 E 12004 (30), f° 160 et un Pierre est bien nommé au testament d'Hugues). - Jean, prieur de Rossenac en 1529, 1539, 1543, puis chanoine d'Albi en 1545, il est dit frère de Pierre BOYSSON, prieur de Capdenac dans un acte de 1545 (AD Lot, 111 E 41/11, f° 274). ce serait donc un fils d'Hugues BOYSSON, si le Pierre recteur de Capdenac de 1545 était bien le même que le prieur de Grèzes, recteur de Saint-Laurent-de-Brolhio de 1528. - Claire, femme de Giraud AMIELH, seigneur de "Tribus Vallis", bourgeois de Toulouse (testament de son père Hugues et ouverture de ce testament). - Béatrix, par contrat du 23/11/1507, épousa noble Vincent de BELVÉZER, seigneur de Gardouch, fils de feu Raymond Arnald (AD 31, 3 E 5126, f° 173). Vincent, comme son père, et comme son frère Jean, était marchand à Toulouse. Vincent, Jean et un troisième frère qui fut ecclésiastique, furent cohéritiers de leur père (voir par exemple AD 31, 111 E 5425, f° 529). - Madeleine, par contrat du 12/9/1512, épousa noble Jean de RAMES, seigneur de Beynne, habitant Requista (12), fils de feu Pierre et de noble Marguerite VIGOUROUX (AD 12, 3 E 6058, f° 78). - Astrugue, par contrat du 7/11/1517, épousa noble Jean de BELVÉZER (AD 31, 3 E 5125, f° 72). Ce dernier était sans doute le Jean frère de Vincent marie de Béatrix BOYSSON. Source : Louis D'ALAUZIER - Généalogie des Boysson ou Buisson (alauzier.pdf) - Pages 12 à 14 |
| Page 12 |
| Changeur il se spécialisa dans les prêts et expéditions d'argent pour frais de bulle |
| 3 E 11991, f° 3 |
| Changeur Source : Louis D'ALAUZIER - Généalogie des Boysson ou Buisson (alauzier.pdf) - Page 11 |
| il est dit changeur rue des Changes Source : Louis D'ALAUZIER - Généalogie des Boysson ou Buisson (alauzier.pdf) - Page 11 |
| E.B. 143 - Copie officielle faite en 1621 à la demande de Jacques de BUISSON, seigneur d'Ausonne, cette pièce vient du château de Bournazel |
| Le roi anoblit Pierre BOYSSON et 3 de ses frères (Jean sénior, Jean junior et Hugues), fils de feu Jean du "château" d'Aubin (12), née "ex plebeiis parentibus" |
| 3 E 1719 f° 60 |
| Avec ses 3 frères et son beau-frère Hugues ALBRESPY (probablement anobli le même jour), ils nommèrent des procureurs pour faire enregistrer au sénéchal de Villefranche de Rouergue les lettres d'anoblissement qu'ils venaient d'obtenir Source : Louis D'ALAUZIER - Généalogie des Boysson ou Buisson (alauzier.pdf) - Page 2 |
| Marchand |
| 3 E 5922, f° 1, non numéroté |
| Source : Louis D'ALAUZIER - Généalogie des Boysson ou Buisson (alauzier.pdf) - Page 11 |
| Source : Louis D'ALAUZIER - Généalogie des Boysson ou Buisson (alauzier.pdf) - Page 11 |
| Dans le cadastre d'Aubin de 1502, ses deux fils et héritiers sont inscrits pour un hôtel, une maison avec boutique et 36 autres articles. Seigneur de Mirabel, commune de Rignac dans l'Aveyron (source : Bibliothèque Nationale Carrés d'Hozier, n° 141, page 206). Dans sn testament qui n'est connu que par des extraits, il fit une fondation dans la chapelle construite dans l'église d'Aubin, par son frère Jean, seigneur de Vaureilles, ce qui prouve bien que le seigneur de Mirabel, changeur à Toulouse,était l'un des anoblis de 1437. Ajoutons que d'après Bibliothèque Nationale Carrès d'Hozier, 141, page 206, le 7/1/1453, Pierre BOYSSON d'Aubin (branche I) agissait comme procureur de son frère n. Hugues BOYSSON, seigneur de Mirabel. Parmi ses enfants, peut-être faudrait-il ajouter Jeanne, femme de noble Simon BERTIER, seigneur de Pinsaguel. Le 3/4/1497, Hugues BOYSSON, seigneur de Mirabel, demanda en son nom au juge de Toulouse que les tuteurs des enfants de BERTIER désignés dans le testament de ce dernier en acceptent la tutelle [AD 31, 3 E 5118, f° 133]. Source : Louis D'ALAUZIER - Généalogie des Boysson ou Buisson (alauzier.pdf) - Pages 11 et 12 |
| Il habite près de ses neveux Pierre et Jean BOYSSON, une maison rue des Changes et rue Malcousinat. on y voit encore la "tour d'Hugues Boysson" (source : Chalande, Histoire des rues de Toulouse) Source : Louis D'ALAUZIER - Généalogie des Boysson ou Buisson (alauzier.pdf) - Page 11 |
| D'après Barrau ("Documents Historiques et généalogiques sur les familles du Rouergue, tome II 1854, page 300, d'après une quittance de dot mentionnée dans l'inventaire des titres de Bournazel). Ceci parait exact, sous la réserve que l'épouse n'appartenait pas à une famille noble. Elle devait être la fille de Guillaume de CROSO, un des frères de ce nom, marchands à Toulouse, originaires de Figeac semble-t-il, qui avaient été associés d'Hugues BOYSSON (source : AD31 - 3 E 12016 (94), registre réservé à des actes pour Déodat et Guillaume de CROSO et leurs enfants en particulier, f° 1). En effet, dans son testament du 7/1/1488, Jean de CROSO, marchand, fils deGuillaume, fit un legs à son neveu Hugues BOYSSON (source : AD31 - 3 E 5109, f° 158). Or, un des fils d'Hugues portait bien le même prénom que son père. Source : Louis D'ALAUZIER - Généalogie des Boysson ou Buisson (alauzier.pdf) - Page 12 |
| 3 E 5934, f° 202 et 3 E 6015, f° 33 |
| Source : Louis D'ALAUZIER - Généalogie des Boysson ou Buisson (alauzier.pdf) - Page 12 |
| Peut-être fils de la deuxième épouse de son père. Source : Louis D'ALAUZIER - Généalogie des Boysson ou Buisson (alauzier.pdf) - Page 12 |
| 3 E 5724, 1er cahier, f° 145 |
| Sa belle-mère transigea avec lui et son frère Hugues pour réclamer plus que le legs fait par son mari Source : Louis D'ALAUZIER - Généalogie des Boysson ou Buisson (alauzier.pdf) - Page 12 |
| Héritier de son père Il se qualifia d'abord de coseigneur de Mirabel, puis le titre de seigneur de Malaval. Il vécut surtout en Rouergue. Comme son frère Hugues, il se spécialisa dans des prêts et des envois d'argent pour des bulles. Il fut peut-être pour cela son associé pour la région d'Aubin. Il avait épousé Calharde TUBIÈRES [AD 12, 3 E 601?, f° 108, acte du 18 février 1495. Elle ne peut donc avoir été la femme d'Hugues BOYSSON comme on l'a prétendu], qui d'après Barrau était la nièce par alliance de Calharde (et donc de Cébélia) BOYSSON, de la branche de Pierre De BOYSSON. Il ne laissa pas de descendance, et fit héritier son neveu Jean BOYSSON, dont il avait été tuteur [Bibl. Nat. Carrés d'Hozier, n° 141 ou 111, p. 225, d'après un extrait papier du XVIIème siècle. Ce testament serait du 20 avril 153?]. On lui connait bien deux fils, mais ils n'eurent pas de postérité : - Jean, prieur d'Aurignac en 1523 [AD 31, 3 E 12001, f° 136], - Pierre, dont on ne connaît que le nom [le 9/11/1490, achat par Pierre BOYSSON (sans qualification), fils de noble Jean, changeur à Toulouse. AD 31, 3 E 5093, f° 119. L'absence de qualification pourrait faire croire à un fils naturel. Onpourrait aussi penser à un fils de Jean BOYSSON de la branche de Jean junior BOYSSON ou d'un Jean BOYSSON d'une famille autre. Mais le seigneur de Malaval est, semble-t-il, le seul Jean à avoir été qualifié changeur à cette époque]. Source : Louis D'ALAUZIER - Généalogie des Boysson ou Buisson (alauzier.pdf) - Page 12 |
| Etudiant Source : Louis D'ALAUZIER - Généalogie des Boysson ou Buisson (alauzier.pdf) - Page 10 |
| 3 E 6031, f° 69 |
| Une chapellenie est donnée à noble Jean BOYSSON, étudiant à Toulouse, fils de Jean et frère de Pierre Source : Louis D'ALAUZIER - Généalogie des Boysson ou Buisson (alauzier.pdf) - Page 10 |
| Il est difficile à distinguer d'autres Jean BOYSSON de la même époque qui furent comme lui marchands à Toulouse. Il parait avoir vécu dans l'ombre de son frère Pierre. Il épousa Catherine De RESTE (de RESTA en occitan, mais de RESTIS en latin), fille de feu Simon, marchand à Touloouse et de Jacquette de ROBIAN, est veuve de Nicolas PLANCHARD, marchand à Toulouse. Sources : testament de Jean BOYSSON (copie non signée du XVIème siècle et avec date incomplète - AD31 - E 3 11816, n° 1173) où il nomme sa femme et son frère Pierre, seigneur de Vaureilles; codicille de Catherine de RESTE (d'après Bibliothèque Nationale Carrès d'Hozier, 141, page 223) où elle nomme son second mari, ses fils Jean, seigneur de Beauteville et Hugues, seigneur de Montmaur et sa fille Anne PLANCHARD; son contrat de mariage du 29/9/1468 avec Nicolas PLANCHARD (AD31 - 3 E 5104, f° 104); testament de Jacquette de ROBIAN (AD31 - 3 E 5106, f° 112). Au moment de son 1er mariage, Catherine avait environ 14 ans (AD31 - 3 E 5104, f° 107). Dans la seconde moitié du XVème siècle, plusieurs RESTE furent capitouls de Toulouse. Source : Louis D'ALAUZIER - Généalogie des Boysson ou Buisson (alauzier.pdf) - Page 10 Descendance : - Jean, seigneur de Beauteville; il épousa par contrat du 20/3/1510 Claire FABRE, fille de Raymond, seigneur de Puimisson et Hérépian (Hérault), juge royal à Béziers et de Catherine YNARDE. A cette occasion, son oncle Pierre lui donna, ou lui promit à sa mort, Vaureilles, Beauteville, sa part d'Aubin, sa maison de Toulouse (source : contrat de mariage, d'après Bibliothèque Nationale Carrés d'Hozier, 141, page 294. Dans les notaires de Toulouse, le nom de sa femme est mentionné). Il fut la tige des branches de Beauteville et d'Aussonne. - Hugues, cohéritier de son oncle Pierre et de son père. En commun avec ce dernier, il acquit le 6/4/1512 la seigneurie de Montmaur (Aude) par échange avec celles de Montauriol et Molleville (source : AD31 - 3 E 5423 et 3 E 5431, f° 349).Il épousa Anne de LAURET (source : codicille de Catherine de RESTE), et fut la tige des Buisson de Montmaur, des Buisson de Baragnes, des Buisson de La Bastide Beauvoir et des Buisson d'Ayroux. - Pierre. Le 7/3/1500, il entra aux frères Mineurs (AD31 - 3 E 2746, f° 110). Il avait probablement alors un certain âge, si c'est le même fils de Jean qu'on voit agir dès 1491 et peut-être 1489. - Claire. Par contrat du 31/7/1505, elle épousa n. Jean LHYA?, seigneur de Cambolan. Son oncle Pierre lui donna en dot 600 écus, payables en pastel (source: AD31 - 3 E 2798). - Autre Claire. Par contrat du 5/10/1505, suivant des pactes du 31/7, elle épousa prudent Raymond SÉGUY, que des actes ultérieurs qualifient de noble et de marchand. Sa dot fut de 600 écus, que son oncle Pierre paya en pastel (source : AD31 - 3 E 2750, f° 316). Elle eut la seigneurie "d'Ychaussas" (Chaussas, commune d'Hauterive, Haute-Garonne) qui avait appartenu à son oncle puis à son père. En 1532, elle la cèda à son mari, par échange (source: AD31 - 3 E 5407, f° 109 de la foliotation arabe). Si l'on en croyait Aragon, "Aussonne, ses seigneurs, son église", Toulouse, 1896, on devrait ajouter "Plancharde BOYSSON" soeur de Jean, seigneur de Beauteville, femme et héritière de Géraud HÉBRARD, seigneur d'Aussone, par laquelle Aussonne serait parvenu aux BOYSSON. Mais la femme d'HÉBRARD ne fut que la légataire de son mari, et elle s'appelait Anne PLANCHARD (source : testament d'Hébard et quittance d'un legs de ce dernier donnée par Anne à l'héritier - AD31 - 3 E 5432, f° 657 et 3 E 5423, f° 318). Elle était fille du premier mariage de Catherine de RESTES, la femme de Jean (source : contrat de mariage du 31/3/1487 de Géraud HÉBRARD avec Anne PLANCHARD, fille de feu Nicolas et de Catherine de RESTE - AD31 - 3 E 5109 (1), f° 79) Source : Louis D'ALAUZIER - Généalogie des Boysson ou Buisson (alauzier.pdf) - Page 11 |
| 3 E 11991 (1), f° 3 |
| Témoin avec son frère Jean sénior d'Aubin |
| Série 2 E, cadastres d'Aubin de 1435 (f° 135) et 1502 (f° 300) |
| Il figure dans le cadastre avec une maison franche dans Aubin, à La Roque, qui donnait une rente de 7 sous pour obit, et avec la borie del Poget. On retrouve ces biens également dans le cadastre de 1502 dans l'article de noble Pierre BOYSSON, seigneur de Vaureilles, qui était fils d'un Jean. D'ailleurs un Jean fut aussi seigneur de Vaureilles avant Pierre. Source : Louis D'ALAUZIER - Généalogie des Boysson ou Buisson (alauzier.pdf) - Page 9 |
| 3 E 5847, f° 62 |
| Dans une quittance, il est dit fils de feu Jean et de Serdane de Belloc |
| E.B. 143 - Copie officielle faite en 1621 à la demande de Jacques de BUISSON, seigneur d'Ausonne, cette pièce vient du château de Bournazel |
| Le roi anoblit Pierre BOYSSON et 3 de ses frères (Jean sénior, Jean junior et Hugues), fils de feu Jean du "château" d'Aubin (12), née "ex plebeiis parentibus" |
| 3 E 1719 f° 60 |
| Avec ses 3 frères et son beau-frère Hugues ALBRESPY (probablement anobli le même jour), ils nommèrent des procureurs pour faire enregistrer au sénéchal de Villefranche de Rouergue les lettres d'anoblissement qu'ils venaient d'obtenir Source : Louis D'ALAUZIER - Généalogie des Boysson ou Buisson (alauzier.pdf) - Page 2 |
| Marchand |
| AD12 - 3 E 1515, f° 44 |
| Il acquiert la seigneurie de Vaureilles (Aveyron) comme "donataire" d'Antoine BALSENEX par transaction avec Durand VIGUIER, bourgeois de Rodez, fils et héritier d'Adalaxie BALSENEX. Les BALSENEX (ou BALSENOX ?) en étaient coseigneurs depuis 1369 au moins, et paraissent en avoir été les seuls seigneurs depuis 1395. Source : AD12 - ER, en aprticulier ER 206 à 209. Source : Louis D'ALAUZIER - Généalogie des Boysson ou Buisson (alauzier.pdf) - Pages 9 et 10 |
| Pour mieux prouver que Jean junior était un des anoblis de 1437 : - Suite à l'anoblissement de 1437, on trouve souvent à Aubin un noble Jean junior. Auparavant, on n'y rencontre qu'un providus Jean Junior. - En dehors de nombreux actes où Hugues BOYSSON, seigneur de Mirabel, auteur de la branche IV, parle de ses neveux Pierre et Jean, frères, habitant toulouse, ainsi que le firent deux fils de Jean junior portant ce nom, Hugues fonda par testament une messe à Aubin, dans la chapelle appelée N.-D. de Vaureilles construite par son frère Jean, seigneur de Vaureilles. Source : quittance du 26/9/1473 donnée à un fils d'Hugues (AD12 - 3 E 5992, f° 1). - Le 3/2/1515, Jean BOYSSON, fils d'Alric (branche I) donna à Hugues BOYSSON, seigneur de Montmaur, et à Jean BOYSSON, seigneur de Beauteville, frères, ses cousins, quittance de 100 livres comme suite au testament de Pierre, seigneur de Vaureilles, oncle d'Hugues et de Jean. Ces 100 livres leur avaient été versées par les mains de Jean BOYSSON, seigneur de Malaval (branche IV) aussi leur cousin. Source : AD12 - 3 E 6029, f° 130. Source : Louis D'ALAUZIER - Généalogie des Boysson ou Buisson (alauzier.pdf) - Page 9 Outre Provence, probablement d'autres filles. Ainsi, parmi les "institutores" (employés) de Pierre BOYSSON son fils, seigneur de Vaureilles, ses neveux : - Pierre CASSANHE (AD31 - 3 E 6077, 2ème foliotation, f° 181) peut-être originaire de La Guiole (Aveyron). - Pierre THALAMAS (AD31 - 3 E 12002 (2), f° 2) qui parait souvent, mais uniquement, chose curieuse, comme agent de son oncle; sauf en 1509, dans un acte avec la veuve de son frère Aymeric, il y est dit marchand, habitant Beauteville (AD31 -3 E 7464). Source : Louis D'ALAUZIER - Généalogie des Boysson ou Buisson (alauzier.pdf) - Page 10 |
| BIOGRAPHIE: Fille de Hugues de BOYSSON et de Hélix BOIX Source : GIL Jean-Michel |
| 3 E 1317, f° 22 |
| Il transigea avec autre Pierre BOYSSON au sujet d'une maison située dans un faubourg d'Aubin Source : Louis D'ALAUZIER - Généalogie des Boysson ou Buisson (alauzier.pdf) - Page 12 |
| 127 H., n. 54, grosse originale, et 3 E 6051, f° 493, registre de Pansier |
| Il fit une fondation aux Augustins de Toulouse. Les généalogistes ont daté à tort de 144x cette fondation, et l'ont attribué à un Pierre qui aurait été, d'après eux, le grand-père de celui de 1478. Source : Louis D'ALAUZIER - Généalogie des Boysson ou Buisson (alauzier.pdf) - Page 10 |
| 3 E 6085, f° 515 |
| Il achète la seigneurie de Beauteville à Jean YSALGUIER La seigneurie de Beauteville ne fut pas achetée en 1449 comme prétendu. D'après Duthil, la Haute-Garonne, 1929, tome II, page 623, il ne l'aurait même acquis qu'en 1489, d'Antoine QUABIER, auquel Jean YSALGUIER l'aurait cédé. Si la chose à un fondement, il doit s'agir en 1489 de l'achat d'une plus-value seulement. Source : Louis D'ALAUZIER - Généalogie des Boysson ou Buisson (alauzier.pdf) - Page 10 |
| 3 E 12002 (2), f° 53 |
| Il dona à faire le choeur de l'église des Augustins de Toulouse. Source : Louis D'ALAUZIER - Généalogie des Boysson ou Buisson (alauzier.pdf) - Page 10 |
| Page 10 |
| Dans les actes, il est qualifié le plus souvent de seigneur de Vaureilles et de Beauteville. Il fit des spéculations et des placements en immeubles et en seigneurie. C'est ainsi qu'en plus de biens en Rouergue, dont une part d'Aubin, il acheta plusieurs des seigneuries du Toulousain qui appartinrent aux premiers descendants de son frère Jean. Par contrat du 15/9/1469, il épousa Claire de BORDERIE (en occitant, de La BORDIEYRA), fille d'Armand Guillaume, marchand à Toulouse, et de Peyroune PICOT (source : AD31 - 3 E 6077, 2ème foliotation, f° 190). Les BORDERIE devaient être originaires de Montgiscard (Haute-Garonne), où Pierre de BODERIA, frère d'Arnaud Guillaume, était marchand (source : AD31 - 3 E 5019). La dot de Claire fut de 800 écus, dont 400 donnés par son oncle Pierre de BORDERIE. Le nom de la mère de Claire ne figure pas au contrat, mais en 1484, on trouve Arnaud Guillaume de BORDERIA et sa femme Pétronne PICOT (source : AD31 - 3 E 6083, f° 192), et Paul de PICOT, marchand à Toulouse, figure au contrat de lariage comme oncle maternel de Claire. Ce Paul de PICOT était patron d'une chapellenie à Asprières (source : AD31 - 3 E 6083, f° 58). On voit que Pierre BOYSSON se maria dans une famille ayant des attaches avec la région d'Aubin. N'ayant pas de postérité, Pierre BOYSSON parait avoir considéré comme les siens les enfants de son frère Jean. Il semble avoir donné l'argent de la dot de ses nièces. Il fit une donation importante à son neveu Jean au moment du mariage de celui-ci. Enfin, il institua ses héritiers son autre neveu Hugues et son frère Jean lui-même (source : copie de ce testament à la Bibliothèque Nationale Corrès d'Hozier, n° 141, page 300). Source : Louis D'ALAUZIER - Généalogie des Boysson ou Buisson (alauzier.pdf) - Page 10 |
| Marchand |
| Abbesse au monastère de Clarisses de Lévignac Source : Louis D'ALAUZIER - Généalogie des Boysson ou Buisson (alauzier.pdf) - Page 10 |
| En tant qu'abbesse du monatère de Clarisses de Lévignac, elle est nommée dans un enquête pour un procès entre son monastère et les coseigneurs de Pibrac, dont "son frère" Pierre BOYSSON, seigneur de Vaureilles; elle fut représentée À
2 CONC l'enquête par son autre frère Jean (source : AD31 - 211 II/44). Source : Louis D'ALAUZIER - Généalogie des Boysson ou Buisson (alauzier.pdf) - Page 10 |
| Elle épousa Jean De SAINT-MARCEL, le 5/4/1511, son fils et héritier Antoine De SAINT-MARCEL, marchand à Toulouse, céda à Jean BOYSSON, seigneur de Malval, ses droits sur la dot de sa mère [AD 31,3 E 2760, f° 219]. Source : Louis D'ALAUZIER - Généalogie des Boysson ou Buisson (alauzier.pdf) - Page 12 |
| Il commandait une compagnie de trois chevaliers et dix huit écuyers. |
| N'ayant pas eu d'enfants de ses deux mariages, elle institua comme légataire universel son beau-frère Guillaume de STUER. Cette successsion fut contestée et entraîna de nombreux procès. |
| Salagnac, près du Grand Bourg (23). Après la mort de Poton de XAINTRAILLES, elle prit possession de la vicomté de Bruilhois par acte du 1er mai 1455. Cependant le comte Jean V d'ARMAGNAC se qualifiait de vicomte de Bruilhois en 1464 et en 1469. C'est son second mari, Jean d'ESTUER de Caussade, qui vend, en son nom, par acte du 27 juillet 1470, à Jean, vicomte de Rochechouart Pontville, la vicomté, terre et seigneurie de Bruilhois. Les vicomtes de Rochechouart furent vicomtes de Bruilhois, du 27 juillet 1470 jusqu'au 19 avril 1555, jour où les parties terminent leur long procès par une transaction entre Claude, vicomte de Rochechouart et Antoine de BOURBON. Source : Denis de RAUGLAUDRE |
| Mariée en 1439 avec Jean de CREVANT (Seigneur de Bauché - en Touraine. Décédé en novembre 1485), fils de Hugues de CREVANT (Décédé en 1428) et de Michelle de CHÂTEAU Chalon (Décédée en 1441) Source : Denis de RAUGLAUDRE |
| Marié avec Charlotte de TRANCHELION Source : Jean-Michel GIL |
| Mariée en 1440 avec Geoffroy de ROCHECHOUART (Seigneur du Bourdet, Yvoy, Malvoisine et de Bréviande. Né vers 1412, décédé après 6 juillet 1462), fils de Jean de ROCHECHOUART (Seigneur de Jars. Né vers 1390, décédé en 1437) et de Jeanne de CRAON Source : Denis de RAUGLAUDRE |
| Marié le 25 août 1452 avec Marguerite d'AUBUSSON, fille de Renaud d'AUBUSSON (Seigneur du Monteil. Décédé avant 1433) et de Marguerite de COMBORN Marié en 1458 avec Catherine de ROCHECHOUART-Pontville, fille de Jean de PONTVILLE (Vicomte de Breuilhez) et de Anne de ROCHECHOUART (Vicomtesse de Rochechouart. Décédée en 1486) Source : Denis de RAUGLAUDRE |
| 6 E 48 20 (Décès Bourg-Lastic 1811-1820), page 19/84 |
| Age : ? mois Présents : François OLLIER meunier au moulin du Faleix et M. PARRIE journalier à Bourg-Lastic, âgés de plus de 21 ans, ne signent pas |
| son père |
| 6 E 48 20 (Décès Bourg-Lastic 1811-1820), page 28/84 |
| Age : 5 semaines Présents : Michel PARRI de Bourg-Lastic et Joseph VIGIER du Fraisse / Meisseix, âges de plus de 21 ans, ne signent pas |
| son père |
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