| Propriétaire |
| BAPTEME: Parrain : COMAILLE Jean Marraine : ? |
| BAPTEME: Parrain : COMAILLE Jean Marraine : PETIT Claude |
| BAPTEME: Parrain : PETIT Jean Marraine : PETIT Jeanne |
| 4E275/8 - 11 |
| Déclarant :BROT Louis (37 ans, journaliers aux Simonots) ne signe pas |
| fils du deffunt |
| Indigent |
| Propriétaire |
| 4E275/5 - 9 |
| Déclarants : - COURROUX François (65 ans, manouvrier à Saxi-Bourdon), ne signe pas - GIRARD Guillaume (50 ans , tailleur d'habits à Saxi Bourdon), ne signe pas |
| 4E 275/03 - 14 |
| COMMAILLE Jean, propriétaire à Saxi-Bourdon |
| Parrain : FLEURY Claude (beau-frère du père, 42 ans, Saxi-Bourdon), ne signe pas Marraine : ROBERT Jeanne (belle-sÅur du père, 26 ans, Saxi-Bourdon), ne signe pas |
| Journalier |
| 4E176/10 - 1 |
| Décédée entre le 6/9/1837 et le 24/10/1880 Déclarants : - PIEUCHOT Marite (45 ans, journalier à Nailles), son fils, ne signe pas - GIRARD Léonard (59 ans, charbonnier à Nailles), ne signe pas Sur cet acte de décés, Jeanne COMAILLE est dite : - veuve en 1ères noces de François PIEUCHOT - veuve en 2ndes noces de Jean DURET |
| 4E 275/03 - 45 |
| En novembre 1817 à Saxi-Bourdon selon son acte de mariage avec Joséphine DONJEAN. Prénom non mentionné sur l'acte de naissance. Déclarants : - BELLON Pierre des Loges, ne signe pas - PARISOT Louis, propriétaire à Saxi-Bourdon, ne signe pas - TAILLON Edmé, propriétaire à Saxi-Bourdon, ne signe pas |
| Salarié |
| Sans profession |
| Témoin : AUMEUNIER Antoine son voisin (47 ans, cordonnier) de Luthenay-Uxeloup |
| gendre de la défunte |
| Ascendance non certaine. Ce qui est connu avec certitude : elle est née en novembre 1817 à Saxi-Bourdon, elle est fille naturelle de Jeanne COMMAILLE Sa mère Jeanne COMMAILLE (date de naissance inconnue) est-elle la fille de Jean et Marie MASSACRIER ? Si oui, deux dates de naissance possible : - le 10 frimaire an 5 (30 novembre 1796) - ou le 15 germinal an 7 (4 avril 1799) Naissance possible également avant 1793 (actes de naissance d'avant RF non balayés) Autres naissances à Saxi-Bourdon d'enfants naturels ayant pour mère Jeanne COMMAILLE (fille de Jean et Marie MASSACRIER) : - Jean Louis le 24/10/1809 - Jeanne le 6/11/1811 => Mère = Anne ? COMMAILLE, témoin = Jeanne COMMAILLE fille de Jean et Marie MASSACRIER - Charles le 7/6/1812 - Elizabeth le 13/11/1813 => Vérifier l'existence à Saxi-Bourdon et ses environs d'un acte de mariage postérieur au 7/11/1817 concernant Jeanne COMMAILLE (fille de Jean et Marie MASSACRIER) Cuisinière de Monsieur Desnoyers à la Seigneurie de St Parize le Châtel |
| Parrain : Claude BARBIER, propriétaire à Saxi-Bourdon le 6/9/1837 (49 ans) |
| 4E148/12 - 15 |
| Prénom de l'époux = Joséphine Publications du mariage dans les mairies de Luthenay-Uxeloup et de Saxi-Bourdon les dimanches 27/8 et 3/9 Témoins : - GODEMARD Jean (25 ans, journalier à Luthenay), ami du futur, ne signe pas - BARBIER Claude (49 ans, propriétaire à Saxi Bourdon), parrain de la future, ne signe pas - RIGAULT Jacques (25 ans, salarié à Luthenay-Uxeloup), ami de la future, ne signe pas |
| frère du futur |
| BAPTEME: Parrain : CHATILLARD Annet Marraine : MARILLé Pierrette |
| Mariée en 1448 avec Jean de CARMAING (Né vers 1400, décédé après 1479. Vicomte de Carmaing (31), Seigneur de Négrepelisse (82), Baron de St-Félix (Lauragais), Sénéchal de Quercy. Attesté en 11/1439. Il vendit Castelsarrazin en 1477). Mariage sans descendance connue. Source : Jean-Michel GIL |
| Séparés. |
| Courriel de L. DESCHÉ (19/2/2008) - http://fr.groups.yahoo.com/group/genallier/message/41776 |
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| Auteur des comtes de Carcassonne (2ème race) Auteur de la première dynastie des comtes de Comminges On croyait à tort que les premiers comtes de Comminges étaient issus des comtes d'Aragon. En fait, ils sont probablement des seigneurs de l'entourage des comtes de Toulouse. L'ascendance actuelle serait donc à revoir : Voir la Généalogie du Puy-Melgueil (http://roglo.eu/roglo?lang=fr;m=NOTES;f=Familles:Genealogies_Historiques:Maison_du_Puy-Melgueil) Source : J-P de Palmas: Christian Settipani, La Noblesse du Midi Carolingien, Prosopographica et genealogica, Oxford, 2004, 388 p. (ISBN 1-900934-04-3), p. 67-72 Charles HIGOUNET. Le comté de Comminges de ses origines à son annexion à la Couronne. Toulouse-Paris, Privat-Didier, 1949. (Bibliothèque méridionale, 2e série, t. XXXII.) Charles Higounet. Le comté de Comminges de ses origines à son annexion à la Couronne. Toulouse-Paris, Privât -Didier, 1949. In-8°, lxi-745 pages en 2 vol., avec 6 cartes et 7 tableaux généalogiques. (Bibliothèque méridionale, 2e série, t. XXXII.) En rédigeant cet ouvrage, sa thèse de doctorat, M. Higounet a eu un triple dessein : écrire l'histoire du comté de Comminges pendant tout le Moyen Age, faire une monographie féodale, tenter un essai de géographie historique. En fait, c'est seulement à la fin du xe siècle que commence l'histoire du comté. La tentative pour débrouiller, selon la méthode exposée à la p. 25, n. 1, la chronologie de la famille comtale, d'Arnaud, au milieu du xe siècle, à l'entrée de Dodon au Temple de Montsaunès, en 1176, offre surtout l'intérêt de « donner des cadres à l'histoire primitive du comté ». Le père de Dodon, Bernard Ier, par son mariage avec l'héritière de Muret a orienté le comté vers Toulouse et contribué fortement à sa formation territoriale. L'activité diplomatique déployée par Bernard IV (1176-1225), la plus fortepersonnalité de la maison de Comminges, pour rapprocher le comte de Toulouse du roi d'Aragon, et sa participation à la croisade albigeoise accentuèrent cette orientation. Ses successeurs eurent une politique aux horizons moins larges. Bernard V liquida la situation née de la croisade. Bernard VI (1241-1295) fit hommage de son comté à Raymond VII, et la réunion des possessions raimondines au domaine royal, en 1271, fit des comtes de Comminges les vassaux directs du roi de France. Avec Bernard VII et Bernard VIII, le déclin s'annonce, d'autant que la royauté, par la constitution de paréages, par la fondation de bastides, par la création de la jugerie de Rivière, déjà réalisée en 1280, pousse des antennes de plus en plus nombreuses en pays commingeois. La mort de Bernard VIII en 1336 clôt l'ère des grands comtes, et la mort en 1339 de son fils posthume, Jean Ier, provoque une crise de succession. En 1375, l'avènement de Marguerite, fillede Pierre-Raimond II, ouvre une nouvelle période difficile dans l'histoire du Comminges. C'est que depuis la perte du Nébouzan, au milieu du xine siècle, ses comtes avaient toujours été les ennemis des comtes de Foix, tandis qu'au coursdu xive siècle, par suite des guerres anglaises et de la rivalité entre Foix et Armagnac, ils avaient toujours été les alliés des comtes d'Armagnac. Le comté devint ainsi l'enjeu de la lutte entre les deux grandes maisons méridionales. Si les mariages de Marguerite avec Jean III d'Armagnac, puis avec Mathieu de Foix, parurent faire pencher la fortune d'un côté, puis de l'autre, ce futla royauté qui l'emporta en intervenant dans le conflit et en se faisant, par l'accord du 9 mars 1443, céder les droits du dernier mari. La contribution qu'apporte M. Higounet à l'histoire du long conflit des maisons de Foix et d'Armagnacsera précieuse à l'historien qui tentera de la retracer en tous ses aspects. A la mort de Mathieu de Foix, l'union du comté au domaine royal ne fut pas définitive ; elle ne le devint, en droit tout au moins, qu'en 1502, par un arrêt du Parlement de Toulouse qui marque la fin de son histoire. Ce court résumé ne peut donner une idée de la richesse d'un exposé à la construction duquel ont concouru saine méthode, curiosité d'esprit et sens des nuances. La monographie féodale (livre III) offre une image complexe du comté pendant sa période d'épanouissement au ??? et au xive siècle. Réserve foncière, forêts, banalités du moulin, du four et de la forge, albergue et taille, péages et leude, exercice de la justice, tous éléments d'origine impossible à établir, formaient le domaine des comtes. Il faut y ajouter les châteaux que l'auteur nous montre plus comme lieux de résidence, souvent temporaire, car les comtes n'eurent pas à proprement parler de capitale avant que Bernard VIII n'ait fixé son choix sur Muret, que comme forteresses. C'est au début du ??? siècle que s'est formée une ébauche d'administration centrale. Sous le règne de Bernard VI apparaissent le sénéchal, lieutenant du comte, toujours pris dans la noblesse du comté, le juge ordinaire, qui avait la garde des sceaux (on ne sait si c'est dès 1246 ou plus tard, car il semble y avoir contradiction entre les p. 208 et 211), et le trésorier, principaux officiers de l'administration centrale du comté. L'administration locale avait commencé à s'organiser dès le xne siècle où apparaissent les bayles, représentants du comte, dont le nombre s'accroît aux ??? et xive siècles, et qui furent supplantés au xivè siècle par les châtelains, ou capitaines des forteresses comtales. Ce changement semble recouvrir non l'introduction d'un nouvel élément dans la hiérarchie, mais une dégradation du pouvoir du bayle dont les fonctions primitives de représentant du comte auraient passé au châtelain. Il est dommage que M. Higounet n'ait pas davantage éclairci ce problème institutionnel. Source : Bibliothèque de l'école des chartes,année 1951, volume 109 (http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/bec_0373-6237_1951_num_109_2_461402_t1_0324_0000_000#) |
| Marié avec Ne N, dont : - Arnaud +988 - Roger +ca 1035 - Odon Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
| Courriel de L. DESCHÉ (19/2/2008) - http://fr.groups.yahoo.com/group/genallier/message/41776 |
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| Marié avec x x, dont : - Pépin Source : Daniel de RAUGLAUDRE |
| Mariée en 1497 avec Raymond de COMMINGES, fils de Roger de COMMINGES (Seigneur de Roquefort) et de Alix de RIVIÈRE Source : Denis de RAUGLAUDRE |
| L'ascendance d'Eleonore de COMMINGES peut être connue de manière certaine grâce à des procès et des jugements au parlement de Toulouse. Cette ascendance a été très compliquée à démeler car son père, vicomte de Couserans, s'est marié 4 fois et a eu 9 enfants avec des enfants de chacune des quatre épouses. Source : Jean-Louis DEGA - 8/5/2007 - http://fr.groups.yahoo.com/group/genealogie_albigeois/message/3401 |
| Mariée en 1462 avec Jean d'YSALGUIER, fils de Jean d'YSALGUIER et de Condorine de CASTEL Source : Denis de RAUGLAUDRE |
| Mariée le 13 octobre 1455 avec Jean de CARMAING-NÈGREPELISSE (Seigneur de Nègrepelisse), fils de Arnaud III de CARMAING-NÈGREPELISSE (Seigneur de Nègrepelisse et de Launac, Seigneur de Nègrepelisse en Quercy. Chevalier, noble et puissant homme) et de Marguerite d'ESTAING, mariés en 1401. Jean de CARMAING-NÈGREPELISSE a été marié, en 1ères noces en 1397, avec Eléonore de COMMINGES-BRUNIQUET, fille de Roger V de Palhars de COMMINGES-BRUNIQUET (Vicomte de Bruniquel, Né vers 1345, Décédé en 1401) et Jeanne de RABASTENS (Née vers 1360). Source : Jean-Michel GIL Mariée en 1455 à Bruniquel avec Jean de CARMAING, fils de Arnaud de CARMAING (Vicomte de Caraman) et de Marguerite d'ESTAING Source : Denis de RAUGLAUDRE |
| Mariée le 8 juin 1480 avec Arnaud de RIGAUD de Vaudreuil (Seigneur d'Aigrefeuille. Ecuyer. Né entre 1442 et 1445, décédé entre mai 1492 et 1495) Source : Denis de RAUGLAUDRE |
| Mariée en 1459 avec Guy de CARBONNIÈRES, fils de Rigald de CARBONNIÈRES et de Catherine de BELCHAIRE Source : Denis de RAUGLAUDRE |
| MARIAGE: Mariée vers 1410 avec Jean de MAULÉON, fils de Géraud de MAULÉON (Seigneur de Belpuech, né vers 1370, décédé avant 1444, Chevalier, Seigneur de Belpuech, Prat & Durban (09)) et de ? Source : GIL Jean-Michel |
| Marié le 25 septembre 1465 avec Yolande de CARMAING, fille de Hugues de CARMAING (Vicomte de Rodès et de Lautrec, Baron de Saissac et de Venes) et de Jeanne de BONNAY (Dame de Montauriol et de Villeneuve le Comtat), mariés en 1469 Source : Jean-Michel GIL Marié le 26 septembre 1475 avec Violante de CARMAING (Décédée après 1500), fille de Hugues de CARMAING (Vicomte de Rodès) et de Jeanne de BONNAY (Née vers 1425) Source : Denis de RAUGLAUDRE |
| Mariée en 1441 avec Jean III de VOISINS-LAUTREC (Vicomte de Lautrec et baron d'Ambres, Né en 1415. Auteur de la branche des barons d'Ambres, vicomtes de Lautrec, éteinte au XVIIÀ siècle), fils de Jean II de VOISINS (Seigneur de Coufolens, Vicomte de Lautrec, né vers 1370, décédé le 30 juin 1437) et de Jeanne de MONTAUT (Née vers 1375, décédée vers 1435), mariés le 9 août 1396 à Auch (32). Source : Jean-Michel GIL Mariée en 1441 au château de Bruniquel avec Jean de VOISINS, fils de Guillaume de VOISINS (Vicomte de Lautrec. Né vers 1410, décédé après 1478) et de Aude de FAUDOAS Barbazan (Née vers 1420) Source : Denis de RAUGLAUDRE |
| MARIAGE: Mariée avec Arnaud II dâ Source : DE BOYSSON Benoît |
| Mariée le 5 décembre 1427 avec Odet ou Odon II de LOMAGNE (Seigneur de Fimarcon (alias de Fiemarcon). Né vers 1406, décédé en 1478), fils de Géraud de LOMAGNE et de Cécile de PERELLóS Source : Denis de RAUGLAUDRE |
| A Saint-Girons |
| Coseigneur de Bruniquel [VASSEUR Eugène - Nobles Aîeux de Trois Rouergats p 167] Source : Jean-Michel GIL |
Ces pages ont été fabriquées avec le logiciel Oxy-Gen version 1.38j, le 03/01/2015. Vous pouvez le télécharger sur ce site.