Mariée le 2/7/1857 à Saint-Mandé avec Pierre AMELINE (Né le 22/7/1834 à Belligné (44). Jardinier), dont : - Louise Pauline AMELINE 1858 Source : N. SOULOUMIAC - http://gw4.geneanet.org/index.php3?b=nclc&lang=fr;pz=laura;nz=souloumiac;ocz=0 |
A l'âge de 10 jours |
Paroisse Sainte-Marguerite |
Domestique au 2 rue de Montreuil. Département de la Seine. |
Née de père non dénommé au 116, rue du Faubourg Saint Antoine |
Déclaration de la naissance en mairie Témoins : - Anne Augustine CHOUVAL, 28 ans, sage-femme demeurant au 116 rue du faubourg Saint Aintoine à Paris, signe - Charles BICHLMANN, 28 ans, ébéniste demeurant au 108 rue Vuille du Temple à Paris, signe - Jean HEINER, 21 ans, ébéniste demeurant au 36 rue Travernier à Paris, signe |
Enfant reconnu par sa mère Témoins : - Jean SCHUMACHER, 48 ans, employé demeurant au 231 rue de Charenton à Paris, signe - Pierre SEGUI, 61 ans, cantonnier demeurant au 222 rue de Charenton à Paris, signe |
Cote du répertoire : D3X4 177 N° du registre des entrées : 634 Source : répertoire d'admission des enfants en dépôt de la Seine, page 2/12 Cote du répertoire : D3X4 39 N° du registre des entrées : 71208 Source : répertoire d'admission des enfants assistés de la Seine, page 3/66 http://canadp-archivesenligne.paris.fr/autres_archives_genealogiques/_repertoire_enfants_assistes/rech_ap_1761.php |
En tant que pupille de l'hospice des Enfants Assistés de la Seine, elle est autorisée à contracter mariage par le directeur dudit hospice. |
Témoins : - DAILLAND Antoine (62 ans, négociant à Fleury-sur-Loire), parrain du futur - AUDIN François (33 ans, boulanger à Fleury-sur-Loire), ami de la future - CORDILLOT Claude (21 ans, La Machine), ami de la future |
beau-frère du futur |
8, rue Saint-Ambroise |
10, rue Saint-Ambroise |
Jardinier |
20, rue de l'Alouette |
1, rue Plisson |
L'époux est majeur, l'épouse est mineure Témoins de l'époux : BAIGNIX Annet et BROUSSE Jacques Témoins de l'épouse : BRUN Jean et GAUTIER Gilbert |
2255595 - 558 |
Parrain : QUINSSAT Jean, ne signe pas Marraine : RIGAUD Antoine, ne signe pas |
Témoins de la future : BRUN Jean et Michel ses frères, journaliers à Vernines |
beau-frère du futur |
beau-frère du futur |
Dispense accordée par le Vicaire Général pour 3ème degré de consanguinité |
2255595 - 588 |
Parrain : BRUN Jean, ne signe pas Marraine : QUINSSAT Françoise de Ribeyre / Vernines, ne signe pas |
2255595 - 713-2 |
A l'âge de 8 jours |
2255595 - 550 |
Parrain : BRUN Jean, ne signe pas Marraine : MALLET Marie, ne signe pas |
Laboureur |
Fils de Jacques BRUN (décédé avant le 17/2/1744) et de Antoinette GIRAUD (décédée avant le 17/2/1744) |
2255595 - 288-1 |
Présents : - LEGAY Louis, ne signe pas - MIGNOT Jacques, ne signe pas - CLEMENT Louis, ne signe pas - TIXER Antoine, ne signe pas |
Descendance : - BRUN Marguerite née le 17/1/1745 au Deveix et baptisée le 18/1/1745 (Source : Microfilm 2255595 - 294) à Orcival, parrain : BRUN Michel, marraine : DUGAT Marguerite. - BRUN Louise née au Deveix et baptisée le 3/10/1746 (Source : Microfilm 2255595 - 306-2) à Orcival, parrain : RIGAUD Pierre, marraine : NEYRAT Louis. - BRUN Marie née au Deveix et baptisée le 26/2/1755 (Source : Microfilm 2255595 - 373-2) à Orcival, parrain : QUINSAT Joseph, marraine : BRUN Marie. - BRUN Jean né au Deveix et baptisé le 8/2/1758 (Source : Microfilm 2255595 - 393) à Orcival, parrain : LEGAY Jean, marraine : MALLET Anna. - BRUN Marguerite née le 6/6/1761 au Deveix et baptisée le 7/6/1761 (Source : Microfilm 2255595 - 466) à Orcival, parraine : GAUTIER Gilbert, marraine : DUGAS Marguerite. - BRUN Michel né le 29/6/1765 au Deveix et baptisé le 30/6/1765 (Source : Microfilm 2255595 - 493-1) à Orcival, parrain : PLANCHAT Michel, marraine : BRUN Marie. - BRUN Marie mariée le 31/5/1768 (Source : Microfilm 2255595 - 510) à Orcival avec Jean TIXIER (majeur) de Plagrai / Saint-Bonnet-près-Orcival, fils de feu Jean TIXIER et de Jeanne CHANTADUC. |
2255595 - 274.1 |
Parrain : VEYSSET Jean, ne signe pas Marraine : MALLET ? Marie, ne signe pas Présent : ? Antoine, ne signe pas |
2255595 - 572 |
Parrain : MALLET François, ne signe pas Marraine : BRUN Marguerite, ne signe pas |
2255595 - 303.2 |
Parrain : VAYSSET Damien, ne signe pas Marraine : BRUN Marie, ne signe pas |
2255595 - 287.1 |
Parrain : BRUN Jean, ne signe pas Marraine : NAIRAT Marie, ne signe pas |
Laboureur |
2255595 - 239.2 |
Le futur est autorisé de Michel VAISSET La future est autorisée de Michel BRUN son tuteur Dispense du troisième ban Présents : - BRUN Michel, ne signe pas - VAISSET Michel, ne signe pas - TROUCHE Dery, ne signe pas - FAURE Jean, ne signe pas |
Laboureur |
2255595 - 239.2 |
Le futur est autorisé de Michel BRUN son tuteur La future est autorisée de Michel VAISSET Dispense de troisième ban Présents : - BRUN Michel, ne signe pas - VAISSET Michel, ne signe pas - TROUCHE Dery, ne signe pas - FAURE Jean, ne signe pas |
2255595 - 607 |
Parrain : BRUN Michel, ne signe pas Marraine : QUINSSAT Jeanne, ne signe pas |
2255595 - 794 |
27 floréal an VII Présents : - TOURREIX Pierre (60 ans, cultivateur à Soussat), ne signe pas - NEYRIAL Michel (40 ans, cultivateur à Soussat), ne signe pas |
Cultivateur |
Fille de Pierre BRUN (décédé avant le 9/2/1832, ne signe pas) et de Marie MALLET Marie (décédéé après le 9/2/1832). Nom = ESBELIN sur l'acte de mariage de sa fille Marie avec Antoine RANDANNE en date du 3/5/1857. |
Cultivateur |
2255595 - 1425 |
Publications du mariage faites devant la principale porte d'entrée de l'église d'Orcival les dimanches 22 et 29 janvier 1832. Témoins : - CHOCOL Jean (32 ans, cultivateur à Fléchat), cousin du futur, ne signe pas - GIRAUD Annet (26 ans, cultivateur à Soussat), cousin du futur, ne signe pas - MALLET Etienne (26 ans, cultivateur à Soussat), cousin de la future, ne signe pas - TOURREIX Martin (22 ans, cultivateur à Soussat), cousin de la future, ne signe pas |
Descendance : - HEBRARD Louise née le 28/8/1839 (Source : Microfilm 2255595 - 1058-2) à 23h à Fléchat; mariée le 17/7/1860 (Source : Microfilm 2255596 - 79) à Orcival avec Michel DUTHON (né le 14/7/1821 à Masagette / Saint-Pierre-Roche), fils de An? DUTHON (habitant à Rochette / Gelles) et de feue Marie VALLIERE (décédée le 4/11/1849). Contrat de mariage passé le 12/7/1860 devant Maître GIRARD, notaire à Rochefort-Montagne. |
2255595 - 329-1 |
Parrain : NEIRAT Pierre, ne signe pas Marraine : RIGAUD Anne, ne signe pas |
Laboureur |
2255595 - 546-2 |
Présents : - RIGAUD Joseph, ne signe pas - BRUN Jean, ne signe pas |
Cultivateur |
33J867 / 154 |
Après les 3 publications de bans faites au prone des messes paroissiales de Saulzet-le-Froid pour l'époux et de Vernines pour l'épouse le jour de l'ascension et les 2 dimanches suivants Fiançaille célébrée en face de l'église de Vernines Les époux sont majeurs Témoins : MESURE Annet, PAUMIER François, BOURDIER Louis et FOUGéRAS Louis, ne signent pas |
2255595 - 635 |
Présent : BROULIER Pierre son gendre, ne signe pas |
son gendre |
BIOGRAPHIE: Jean III de BRUYÈRES (Baron de Chalabre) et de Cécile de VOISINS-LAUTREC, mariés le 8 juillet 1489 Source : GIL Jean-Michel |
Marié le 14 mai 1520 avec Hélène de PANISSE, Jean de PANISSE (Baron de Malijay. Décédé en 1544) et d'Alizette de' PAZZI (Dame d'Aubignan et de Meyras). Famille d'Avignon. Il meurt sans héritier légitime et désigne son frère Jean comme héritier universel pour la baronnie de Portes, à l'exception des seigneuries de Saint-Jean-de-Valèriscle, Bellecoste et Saint-Victor-de-Malcap qu'il donne à son autre frÀ 2 CONC (re Thibaud. |
Mariée le 25 juillet 1513 avec Jehan I de GABRIAC (Seigneur de Cadoëne, de Gabriac, de Pierrefort, de Béasses, de Mas Roussel et de Tarabias. Co-seigneur de Barre-des-Cévennes. Né vers 1480 à Gabriac (48). Décédé en 1538), fils de Raymond de CADOëNE (Seigneur de Gabriac. Né vers 1435. Décédé vers 1499) et de Françoise ALAMAN (Née en 1445. Décédée après 1504). Source : DE RAUGLAUDRE Denis |
Le fils de Thibaut, André servit le roi de France, Charles VII, avec tant de fidélité et de zèle qu'on le surnomma le «Fléau des Anglais». Il devint gouverneur de Bazas (1424). L'abandon de la cause anglaise par André de BUDOS fut un événement qui eut un grand retentissement. Henri V, roi d'Angleterre, possédait alors presque tout le royaume de France, et c'était le moment où son autorité semblait indiscutable qu'André de BUDOS choisissait pour lever l'étendard de la révolte. On disait à Bordeaux qu'André de BUDOS, dont l'esprit fin et le noble coeur étaient connus, était resté fidèle à Heuri V tant que celui-ci n'avait été que duc de Guienne, et qu'il comprenait que si les PLANTAGENETS devenaient rois deFrance, il n'y aurait plus dès lors qu'un seul maître. Il prévoyait que justice ne serait plus rendue aux seigneurs gascons qui voudraient passer d'une domination à l'autre. C'était donc plus par espoir d'indépendance et de liberté que par intérêt qu'André de BUDOS s'était rallié au roi de France. La capitale anglaise ne pouvait laisser sans châtiment un aussi puissant voisin. Les jurats de Bordeaux, présidés par Jean TIPTOST, Sénéchal de Guienne au nom du roi d'Angleterre, se préoccupèrent de cette situation, en 1420, ils ordonnèrent de faire achever au plus tôt le grand canon qui était commencé pour le siège des châteaux. "Item, ordonnat que lo gran canon loquau es commensat qué siat acabat to plustot que poyrat ; bonament loquau deu tirar VII quintaus" Dans les séances des 7 et 8 mai 1421, les jurats étudièrent la question du siège. Le 14 juin 1421, ils émirent l'opinion que la défection d'André de BUDOS était un mauvais exemple et décidèrent qu'il fallait à tout prix lui prendre son château, un des plus important de la terre gasque. Menaut de FABARS commanderait les troupes anglaises. Les troupes bordelaises étaient sous les ordres des jurats Vigouroux ESTÈVE et Arnaud MIQUEU. On emporta vingt francs par homme et un tonneau de vin. Un gabarier du quai de la Saline, Fontbodeau, fut réquisitionné avec six matelots, des charpentiers et un balistier, «per anar a Budos ab lo son baysset» porter par la voie du Ciron, la bombarde tirant plus de sept cents livres de balles et deux canons de moindre calibre. Il devait prendre à Podensac des boulets de pierre. Pour ce service, Fontbodeau reçut huit francs. Cette bombarde était, paraît-il, monstrueuse ; par son poids elle faisait la charge d'une gabarre de dix neuf tonneaux. Forgée à Bordeaux, par Jean GAUTIER, officier d'artillerie qui avait des ateliers à la porte Calhau (Caillou), elle avait coûté fort cher ; les jurats lui avait fourni «tot Io fer et tot Io carbon que beson sara affar lo deyt canon». Ses réparations, suivant un état qui en fait mention, allaient de quinze à vingt quintaux de fer. Devant un pareil déploiement de forces et comprenant que les murailles de son château seraient incapables de résister à cet énorme canon, André de BUDOS consentit, le 29 juin 1421, en présence de Galanor, capitaine de Saint Macaire, àune entrevue avec Menaut de FABARS, à qui il déclara «qu'à la vérité il ne se ferait point Anglais» (c'était ainsi qu'on désignait à cette époque ceux qui suivaient le parti du roi d'Angleterre), mais qu'il mettrait son fils en otage entre les mains du roi d'Angleterre aussi bien que le lieu de Budos, pourvu que les terres du Bordelais qu'il avait vendues pour le service dudit roi lui fussent restituées. Menaut de FABARS fit part de ces propositions aux jurats de Bordeaux qui les acceptèrent. De Budos, Menaut de FABARS emmenant le même canon qui avait servi au siége de Budos alla prendre Saint Macaire. Charles VII, en témoignage du désintéressement d'André de BUDOS qui avait abandonné ses biens «à la mercy des ennemis pour maintenir le juste parti du roy et avoir fait preuve d'un si louasble mespris», l'honora de l'état de conseiller et chambellan de sa maison, en 1424 ; il lui donna aussi des rentes et revenus sur Marvejols, Beaucaire et Nîmes. (BdeRauglaudre, Histoire de Budos par Louis Bacque, s/web) Après avoir guerroyé dans le Languedoc avec le comte de Foix, André de BUDOS se retira à Portes Bertrand où il finit tranquillement ses jours. Source : DE RAUGLAUDRE Denis |
A Saint Pierre de la Tour. |
Mariée en 1509 avec Jean de GOÃ?S, fils de Guilhaume de GOÃ?S et d'Antoinette de CAYRES d'ANTRAIGUES. Source : DE RAUGLAUDRE Denis |
Marié le 22 juillet 1535 à Beaucaire, avec Louise de PORCELET (Née vers 1515. Décédée après 16 février 1591), fille de Pierre des PORCELLETS (Seigneur de Maillane et Fournès) et de Marguerite de PIQUET. Le fils aîné de Thibaut fut Jean de BUDOS, baron de Portes. Il était colonel de gens à pied, au siège de Perpignan. Il fit la campagne d'Italie avec François ler, et rendit en 1533 hommage au roi en raison de sa baronnie de Budos. Il vendit en 1527 sa terre et sa seigneurie d'Ayran, dont sa famille était propriétaire depuis deux siècles, à Antoine de COUSINIER, qui s'en qualifia seigneur en 1539. (BdeRauglaudre, Histoire de Budos par Louis Bacques s/web). Source : DE RAUGLAUDRE Denis |
Marié avec Firmine BATAILLE. Relation avec ? Source : DE RAUGLAUDRE Denis |
Ces pages ont été fabriquées avec le logiciel Oxy-Gen version 1.38j, le 03/01/2015. Vous pouvez le télécharger sur ce site.