Mariée en 1501 avec Jean de BONFONTAN, fils de Arnaud de BONFONTAN et de Marguerite de GUITARD de Taurines, mariés vers 1435 Source : Denis de RAUGLAUDRE |
Marié avec Anne de VILLENEUVE Source : Denis de RAUGLAUDRE |
Sa filiation n'est pas prouvée à ce jour, mais elle reste très probable. Source : Jean-Michel GIL Elle devrait être fille de Jean de SAUNHAC et Marie d'ASTARAC, compte tenu de son prénom rare de Christine, qui était aussi celui de Christine de BAUDÉAN, nièce à la mode de Bretagne de Marie d'ASTARAC. Source : Denis de RAUGLAUDRE |
Marié le 13 février 1537 avec Hélène de MONTBERON, fille d'Adrien de MONTBERON (Seigneur de Villefort et d'Archiac, né vers 1485, décédé en 1538) et de Marguerite d'ARCHIAC (née vers 1490, Héritière d'Archiac pour 1/3), mariés le 1er septembre 1518 Source : Jean-Michel GIL Marié en 1537 avec Helene de MONTBERON, fille de Adrien de MONTBERON (Baron d'Archiac; Seigneur de Thors. Né vers 1485, Dédcédé après le 22 septembre 1538) et de Marguerite d'ARCHIAC (Née vers 1490), mariés vers 1510 Source : Denis de RAUGLAUDRE |
Non mariée au 29 novembre 1365 Source : "SAUNHAC 1070-1926 - Vicomte de BONALD - Toulouse - 1926", page 95 |
BIOGRAPHIE: 6ème enfant du troisième mariage de son père. Source : GIL Jean-Michel |
BIOGRAPHIE: Seigneur de Périé Source : GIL Jean-Michel |
2E80-5, page 14/26 |
Ensevelie dans l'église |
son beau-fils |
son fils |
A Durenque ? |
Page 23 |
Sa grand-mère paternelle lui fait un lègue en tant fille naturelle de son fils Guillaume |
Entre 1144 et 1159, deux de ses petits-fils font une donation à l'abbé de Loc-Dieu. En estimant que celle-ci a été faite en 1159, les donateurs étaient nés au plus tard en 1134 (âgés de 25 ans au moins lors de la donation) puis application d'un espace inter-générationnel de 25 ans. |
Son existence est indiscutablement prouvée par celle de deux de ses fils : Raimond de SAUNHAC et Hugues de SAUNHAC, archidiacre de Rodez, son frère. En effet, on voit dans le Cartulaire de Loc-Dieu, une donation faite à Amélius, abbé de Loc-Dieu en Rouergue (près de Villefranche). Amélius ayant gouverné Loc-Dieu de juillet 1144 à 1159 (Gallia Christiana, t. I, p. 263), c'est entre ces deux dates extrêmes qu'il faut placer la donation. Cette année-là, les donateurs, Hugues de SAUNHAC et Begon de SAUNHAC, donnent à Loc-Dieu le Mas d'Escartilhac et reçoivent 5 sols ruthénois en présence d'Adhémar de GAUBERT et d'Hugues del ESTROA. Or, dans une autre donation de 1168, ils se disent fils de Raimond SAUNHAC et neveux d'Hugues de SAUNHAC, archidiacre de Rodez, frère dudit Raimond (Hugues de SAUNACH et Bégon son frère fils l'un et l'autre de Raymond de SAUNACH, donnent le droit que leur oncle Hugues de SAUNACH Archidiacre de Rodez avait sur l'église de Fontaine. Cart. de Loc Dieu, f° 58, verso), d'où-il suit : 1°) que Raimond et Hugues étaient frères ; 2°) qu'ils avaient forcément, un père dont le prénom ne nous est pas connu d'une façon certaine. Le prénom de Gui lui est attribué dans un ancien Mémoire de famille. Source : "SAUNHAC 1070-1926 - Vicomte de BONALD - Toulouse - 1926", pages 11 et 12 ----- Notes sur la famille SAUNHAC ----- Armes : D'or au lion de sable, gueulé, armé, lampassé, couronné de gueules et entouré de douze carreaux de gueules posés en orle. Deux sauvages supportent un casque en profil avec des lambrequins et ayant pour cimier un hibou régardanten face, ailes éployées. SAUNHAC, en Rouergue, Albigeois, Quercy, Périgord, Languedoc, Pays des Landes, Bordelais, Paris, Nouvelle-Orléans ; Comtes et Marquis de Villelongue, en Rouergue ; Barons de Belcastel, Ampiac, Castelmary, Verdun, Mirabel, en Rouergue ; du Fossat, en Quercy ; de Padiès, en Albigeois ; Seigneurs de Saunhac, Aiguesvives, Almayrac, Ampiac, les Angles, La Bastide, Belcastel, Belfort, Blauzac, la Bouyssounade, le Bouyssou, Brazac, Bréganty (Quercy), Cabanes, Cadars, la Calmette, la Calsade, la Capelle, Cassagnes-Comtaux (coseigneurie), Castan, Castanet, Castelmary, Castelviel, Château-Raynal (Albigeois), la Clausade (Quercy), la Combe, les Combettes, le Couderc, Crégols (Quercy), la Croze (id.), Drulhe, Ermenguil, Escartilhac, Fabrègues, Fijaguet, Flagnac, Flavin (Albigeois), le Fossat (Quercy), Fumel (id.), coseigneurie, Gaillardet (Quercy), la Galabrunette, la Garrigue, la Gasconie, Glassac, Gayrac (Quercy), Gramond, Josac, la Julie (Quercy), la Salle (Albigeois), Laurino (Calabre), Lax, Lestelle, Limayrac, Lodières, Lombarès (Quercy), Méjanès, Mirabel, Montalègre, Montolieu, la Mothe, la Mothe-Ferrensac (Quercy), la Navette, Onet, Padiès (Albigeois), Panat, le Pas, le Périé, Peyrolles (Quercy), Piles (id.), Platon (id.), Pomiès, la Poujade, Pradels, Puy-Vinsie (Albigeois), Quins, Reilhac, Rodelle, la Roque (Quercy), la Roquette, la Rouquette (Quercy), la Rousserie, Saint-Cyr-la-Popie (Quercy), Saint-Félix, Saint-Maximin, Saint-Mayme, Salan, la Séguinie, Servières, Soturac (Quercy), le Solier, la Souyrinie, Talespues, Tanus (Albigeois), Toisac, la Tour (Quercy), Trégols (id.), la Valette (id.), la Valette (Rouergue), Verdun, Vors, etc. L'orthographe la plus usitée est Saunhac, mais, comme dans le Midi l'usage est de mouiller la lettre h quand elle est précédée de l ou de n, on écrivit indistinctement : Saugnac, Saugniac, Sauniac, Sonhac, Soniac, tandis que, dans les pays situés au nord de la Loire, on omettait, le plus souvent la lettre h et cela amena les formes : Saunac, Saunak, Saunaq, etc. On trouve aussi des exemples des formes : Saougnac, Saouignac, Songnac, Songniac, Souignac, Sauignac et même Savignac. La plupart de Méridionaux prononcent la diphtongue au comme un o ouvert moyen, tel que 0 dans homme; aussi, par suite de la tendance bien, naturelle qui nous porte à rapprocher le plus possible l'écriture de la prononciation, on vit apparaître les formes Sonac et Sonnac. C'est surtout en Quercy, près de Figeac, et aussi dans l'Aveyron, sur les limites de ce département et de celui du Lot, qu'était usitée cette orthographe. Il y avait, près de Figeac, le château de Sonnac, et, non loin de là, dans l'Aveyron, à trois lieues environ de Figeac, se trouve aussi un village nommé Sonnac. La branche de la Maison de Saunhac qui s'est établie en Amérique a adopté la forme Soniat. Des copistes maladroits ont parfois confondu Saunhac et Savignac [...]. La Maison de Saunhac est aujourd'hui représentée par deux branches principales : celle d'Amérique et celle d'Aiguesvives ou de Talespues, en Rouergue. Celle-ci est maintenant établie à Toulouse et dans le Gers. [...] Il convient de mentionner aussi deux rameaux séparés de la souche, depuis près de deux siècles, et qui existent encore dans le Tarn : ce sont les Saunhac de Tanus et de la Grandville. [...] La Maison de Saunhac paraît être originaire du Rouergue : c'est du moins à Rodez que nous voyons son nom pour la première fois. Il semble qu'elle l'ait tiré du village de Saunhac, situé à 15 kilomètres de Rodez, entre les stations de Salles-la-Source et de Nuces, qu'elle possédait encore en 1362, où nous voyons la distribution des biens de Jeanne de Saunhac, fille de Jean de Saunhac, seigneur de ce lieu (commencée à la justice de Rodelle. Arch., Av., Bureau des Finances). C'est véritablement une maison d'ancienne chevalerie, car ses premiers auteurs sont qualifiés de « chevaliers » ou de « damoiseaux ». Dès son origine, elle possédait de grands biens, comme il est aisé de s'en convaincre en parcourantles Cartulaires des anciennes abbayes où son nom reparaît à chaque instant. C'est, d'ailleurs, à ses pieuses libéralités que nous devons de pouvoir établir filiation ininterrompue, en ligne directe et naturelle, sans aucune substitution, depuis l'an 1070. Ses possessions ont été très considérables et très nombreuses, soit en Rouergue, soit en Quercy, soit en Albigeois, soit en Périgord. Pendant plus de huit siècles, elle a constamment servi dans les armées. [...] Source : "SAUNHAC 1070-1926 - Vicomte de BONALD - Toulouse - 1926", pages 5 à 11 ----- Notes sur quelques SAUNHAC isolés ----- - En 1111, Henriette de SAUNHAC, mariée à Charles de CASSAGNES, seigneur du Cayla, dont les descendants sont connus aujourd'hui sous le nom de Miramon et habitent l'Auvergne. La désignation de son nom de famille à une date aussi reculée doit nous rendre très méfiants et nous croyons qu'il doit y avoir tout au moins une erreur de date. Tel est l'avisde M. le Comte de Toucheboeuf, qui a minutieusement examiné les Archives Saunhac. - En 1165, Molto de SAUNHAC fut témoin d'une sentence rendue entre le comte de Rodez Hugues II et son frère Hugues, évêque de Rodez, lequel mourut en 1214 après un épiscopat qui avait duré plus de cinquante ans (Bosc, Mémoires, t. III, p. 221). - En 1217, sentence de l'Official de Rodez au sujet de quelque affaire survenue en l'abbaye de Bonnecombe : parmi les témoins figure Bernard de SAUNHAC (Cart. T. I, p. 79). - Les "Milites de Sonnaco" tinrent une assemblée à Rocamadour en 1230 (Justel, Preuves de la Maison de Turenne). - Raoul de SONNAC, chevalier, était déjà mort en 1297, laissant sa veuve, nommée Gailharde, qui aida Barascon de THEMINES à fonder le monastère de Fieux, près de Figeac (il y avait, près de Figeac, un château de Sonnac). - Bertrand ou Bernard de SAUNHAC, chevalier de Saint-Jean de Jérusalem, était en 1259 commandeur des Commanderies de Bordeaux et d'Agen (Lacoste, Hist. du Quercy, t. II, pp. 401 et 278). - Fine de SAUNHAC, demeurant à Rodez, était morte en 1262 au plus tard et ses héritiers devaient 1.111 deniers pour les biens qu'elle possédait au Mas de las Forcas (Arch. Municip. de Rodez, Cité CC 35). - En 1268, on voit Pierre-Raymond de SAUNHAC, religieux (Arch. de Villelongue, déposées à la Soc. des Lettres de l'Aveyron). - Bos ou Boson de SAUNHAC était Doyen des Arques, au diocèse de Cahors, en 1271 (Arch. de M. Lacabane, de l'École des Chartes, à Fons, près de Figeac). - Bertrand de SAUNHAC, mari de Véréconde, damoiseau, possédait des biens à la Galabrunette (Arch. Av., C 1379). - En 1214, G... de SAUNHAC fut témoin d'une vente faite par le Comte de Rodez au Comte de Leicester, seigneur de Montfort (Arch. Av., Bureau des Finances, liasse A, Rodez, n° 4). - En 1314, Bernard de SAUNHAC, damoiseau, est mentionné dans Gallia Christiana. - En 1250, Guillaume de SONNAC, grand maître des Templiers, fut tué à la Massoure. (cf. "fragment d'un poème anglo-normand sur la bataille de la Massoure", pages 119 à 121). Suivant une tradition constante, Guillaume de SONNAC appartenait à la Maison de Saunhac, du Rouergue. Il est vrai que le Sire de Joinville dit qu'il était d'une maison distinguée « en Languedoc » et cette assertion a été reproduite parl'Auteur de l'Art de Vérifier les Dates, mais Joinville était Champenois et, pour lui, tous les pays situés au sud de la Loire constituaient ce que nous appelons le Midi, région vaste et indéterminée dont les gens du Nord n'avaient qu'une notion assez confuse : le Midi était pour eux ce que devait être plus tard le « pays des Teurs » pour les Tarasconnais ! Or, au temps de Joinville, le Languedoc était assurément la personnification la plus représentative de toutes les provinces du sud de la France. Ne demandons pas à Joinville des connaissances géographiques par trop précises que personnene possédait à cette époque. Mais, s'il avait existé une famille de Sonnac, « distinguée en Languedoc », celle-ci aurait été connue : les Grands Maîtres du Temple n'étaient pas, comme on dit vulgairement, les premiers venus; or, on ne connaît aucune famille de Languedoc, qui ait revendiqué l'honneur d'avoir produit le grand maître Sonnac. Il est vrai que, beaucoup plus tard, quelques auteurs ont avancé, sans aucune preuve, que Sonnac était originaire du Quercy. Cette hypothèse pourrait à la rigueur se justifier de deux manières différentes, selon où ces auteurs écrivaient. Était-ce après 1530 ? En ce cas, la branche aînée de la Maison de Saunhac, ayant quitté le Rouergue pour aller s'établir au Fossat, près de Soturac, ils pouvaient, avec quelque raison, attribuer le grand maître au Quercy, puisqu'ils voyaient la Maison de Saunhac établie dans cette province. Était-ce avant 1530 ? Ils n'avaient pas tout à fait tort, puisque nous avons vu près de Figeac un château de Sonnac où résidaient les « Milites de Sonnaco ». Cependant, il n'est pas établi que le grand maître appartînt aux « Milites de Sonnaco », et, d'autre part, il est fort possible que ceux-ci fussent une branche des Saunhac, du Rouergue, établie près de Figeac. Le Rouergue et le Quercy étaient limitrophes; à quatre lieues du village de Sonnac (Aveyron), on trouve le château de Sonnac, dans le Lot. Ne peut-on pas admettre que les Saunhac, sortis du village de ce nom et établis à Rodez, se soient répandus aux environs en se dirigeant vers l'Ouest, obéissant à cet instinct qui nous pousse vers le soleil qui nous fuit ! La plupart desinvasions n'ont-elles pas eu lieu d'Orient en Occident, et n'a-t-on pas constaté qu'en règle générale les villes tendent à s'étendre vers l'Ouest ? Voilà donc les Saunhac qui s'arrêtent non loin d'Asprières et fondent un village auquel leur nom demeurera attaché. Puis, ils s'avancent encore, franchissent le Lot et arrivent près de Figeac, où ils bâtissent un château qui portera leur nom. La différence d'orthographe ne doit pas être considérée comme une difficulté, car le nom de « Saunhac » a été, en Rouergue même, écrit de toutes les manières possibles. Et comment se fait-il que, si plusieurs auteurs ont revendiqué le grand maître pour le Quercy, aucun d'entre eux n'ait dit « Voici la Maison qui a produit Guillaume de SONNAC ». L'occasion sembla bonne et pourquoi n'en a-t-on pas profité? C'est qu'on savait fort bien que Sonnac appartenait aux Saunhac du Rouergue qui, seuls, revendiquaient le grand maître. Le rôle considérable qu'ils jouèrent en Quercy même, lors des guerres de Religion, ne permettait pas de les ignorer. Leur revendication ne date pas d'hier : elle date de près de sept cents ans ! On trouve dans la salle des Croisades, au Musée de Versailles, le nom de Guillaume de SONNAC au-dessus de son écusson qui porte non pas ses armes, mais celles du Temple. Ceci prouve qu'au moment où a été aménagée, la salle des Croisades, aucune famille n'a revendiqué le grand maître. Seul, le baron de SAUNHAC du Fossat, chef de la famille, avait qualité pour intervenir; mais, déjà âgé et sans enfants, il ne fit aucune démarche. N'était-il pas d'ailleurs certain que le grand maître figurerait dans le Musée de Versailles, sans qu'il fût nécessaire de demander son admission? [...] Source : "SAUNHAC 1070-1926 - Vicomte de BONALD - Toulouse - 1926", pages 17 à 20 |
Reçut la terre de Belcastel qui appartenait au Comte d'ARMAGNAC contre service rendu. Cette terre fut acquise par donation du roi de France à l'aïeule du comte. Il fut l'exécuteur testamentaire du comte d'ARMAGNAC qui lui avait confié lagarde du château de la Roque-Valsergues. Source : Jean-Michel GIL |
Page 16 |
Le samedi après la fête de... au château du Comte à Rodez, Lettres du Comte de Rodez portant cession à Guillaume de SAUNHAC damoiseau "Curiali nostro" des biens ci-devant vendus par Hugues, Brenguier et Pierre-Raymond de SAUNHAC, damoiseaux, frères à Guillaume de CALCINHO et de ce dernier, retirés par ledit Guillaume de SAUNHAC. Ledit Guillaume rendit hommage au Comte desdits objets en fief franc et honoré, se réservant ledit Comte, la haute justice et ressort, laissant audit Guillaume la moyenne et basse justice, comme l'ont tous les Chevaliers dans leurs fiefs francs et honorés. Témoins : Pons de LUCO, Déodat BONAFOS et Bertrand de SALIS, Damoiseaux. (Original parchemin Bernard BOSC, notaire, scellé du scel du Comte de Rodez) |
Page 16 |
Donation en emphythéose de la moitié du Mas de Saunhac paroisse de Vanc par Guillaume de SAUNHAC, damoiseau, fils et héritier de feu Hugues de SAUNHAC, chevalier du Bourg à Rodez. (Arch. Aveyron, série C n°1380) La ville de Rodez était divisée en deux parties : la Cité, qui appartenait à l'Évêque, et le Bourg, qui appartenait au Comte. |
Page 23 |
Dans son testament, son père en fait son héritier universel |
Page 94 |
Le samedi après Saint-Pierre, reconnaissance féodale par noble Dame de SAUNHAC, Bertrande de CALMONT et noble Guillaume de SAUNHAC, son fils au Comte de Rodez, pour Montoulieu, la Roquette, la Navette, Saint-Maximin, Onet, le Mas de la Garrigue, la Calmette, la Boyssonade, etc. (Original au Fossat, et AD 12, Reg., de Basterii Not. à Rodez) |
Fils aîné Source : "SAUNHAC 1070-1926 - Vicomte de BONALD - Toulouse - 1926", page 23 |
BIOGRAPHIE: Chevalier de Malte en1550 Source : GIL Jean-Michel |
Marié vers 1548 avec Jacquette de MONTAMAT, fille de Jean de MONTAMAT et de Marguerite de BEAUCLAIR, mariés le 14 novembre 1534 au Château de La Voûte. Source : Denis de RAUGLAUDRE |
Non mariée au 29 novembre 1365 Source : "SAUNHAC 1070-1926 - Vicomte de BONALD - Toulouse - 1926", page 95 |
Page 23 |
L'époux est l'oncle [maternel] de l'épouse |
Mariée avec Arnaud de FOYSSAT Source : Jean-Louis HAAS - http://fr.groups.yahoo.com/group/genealogie-aveyron/message/61516 |
Tome 3 (édition 1857) - Page 472 |
Documents généalogiques sur des familles du Rouergue - Vicomte de BONALD |
Documents généalogiques sur des familles du Rouergue - Vicomte de BONALD |
Pages 11 et 12 |
Hugues de SAUNHAC et Begon de SAUNHAC donnent à Loc-Dieu le Mas d'Escartilhac et reçoivent 5 sols ruthénois en présence d'Adhémar de GAUBERT et d'Hugues del ESTROA. Donation faite à Amélius, abbé gouverneur entre juillet 1144 à 1159 (Gallia Christiana, t. I, p. 263) de Loc-Dieu en Rouergue (près de Villefranche). |
Pages 11 et 12 |
Hugues de SAUNACH et Bégon son frère fils l'un et l'autre de Raymond de SAUNACH, donnent le droit que leur oncle Hugues de SAUNACH Archidiacre de Rodez avait sur l'église de Fontaine (Cart. de Loc Dieu, f° 58, verso). |
Descendance : - Flors de SAUNHAC était abbesse du monastère Saint-Sernin, sous Rodez, en 1246, où elle reçut une reconnaissance en présence d'Hugues et de N... de SAUNHAC frères. Il paraîtrait assez vraisemblable d'admettre qu'elle était soeur d'Hugues II (collection de Doat, vol. CXXXII, p. 286, Bibl. nat.). En 1251, elle donna aux habitants de Caissiols, près de Rodez, une Charte qui fut remise à l'un d'entre eux et qui, au commencement du dix-neuvième siècle, se trouvait entre les mains de M. BOUTONNET, propriétaire audit village. Une copie de cette Charte fut produite peu de temps avant la Révolution, lors d'un procès survenu entre Jean PRIVAT, prêtre, et Pierre RODAT. Elle n'était plus abbesse en 1266, lorsque Jausionne de SAUNHAC, abbesse, reçut une donation de Bertrand de CALMONT, damoiseau (Doat, vol. CXXXII, p. 297). On voit aux Archives de l'Aveyron un titre de 1243, relatif à un différend survenu « entre Flors de SAUNHAC, abbesse, et Gibeline, princesse de Trébas » (Arch. Av., D 519). Source : "SAUNHAC 1070-1926 - Vicomte de BONALD - Toulouse - 1926", page 18 |
Page 23 |
Moine de Bonnecombe |
Page 16 |
Le mercredi avant la Nativité de la Très Sainte-Vierge, en septembre 1277, Hugues, Brenguier et Pierre-Raymond de SAUNHAC, damoiseaux, fils et héritiers de feu "Monseigneur Hugues de SAUNHAC" chevalier du Bourg à Rodez, faisant tant pour eux que pour Pétronille leur soeur, femme de Guillaume GUITARD, chevalier, font vente à Guillaume CALEINH senior du Bourg de Rodez de la moitié du Mas de Drulhe en la paroisse d'Ampiac dont l'autre moitié appartient à Guillaume de SAUNHAC damoiseau, leur "consanguin", plus la quatrième partie du Mas de Font Pouirit, plus un septier de seigle dû chaque année par Hugues de VEZINS pour certains jardins sis à Castan, enfin tous les droits qu'ils peuvent avoir dans le susdit village et dans toute la paroisse d'Ampiac, excepté ce qui pourrait leur advenir de la succession de l'épouse d'Hugues de VEZINS leur "consanguine". Cédant audit CALEINH toute la seigneurie, juridiction, droit de sang, hommages, quarts, quints, cens, etc, audit village... Confrontant le Mas de Drulhe avec le chemin de Moyrazès avec terres d'Hugues d'ARPAJON, avec la terre d'Hugues de VEZINS et de sa femme, avec la terre de Bonnecombe, avec chemin allant au moulin d'Ayssens. Intervenant audit acte Pierre-Guillaume GUITARD et Pétronille, sa femme qui approuvent et ratifient. (Original parchemin Bernard BOSC, notaire, scellé du scel du Comte de Rodez) |
sa soeur (autre vendeuse) |
son frère (autre vendeur) |
son frère (autre vendeur) |
Page 16 |
Le samedi après la fête de... au château du Comte à Rodez, Lettres du Comte de Rodez portant cession à Guillaume de SAUNHAC damoiseau "Curiali nostro" des biens ci-devant vendus par Hugues, Brenguier et Pierre-Raymond de SAUNHAC, damoiseaux, frères à Guillaume de CALCINHO et de ce dernier, retirés par ledit Guillaume de SAUNHAC. Témoins : Pons de LUCO, Déodat BONAFOS et Bertrand de SALIS, Damoiseaux. (Original parchemin Bernard BOSC, notaire, scellé du scel du Comte de Rodez) |
Page 16 |
Le Jeudi après Saint Marc. Retrait fait par le Comte de Rodez, Henri, des biens vendus par Hugues, Brenguier et Pierre-Raymond, frères, fils et héritiers de feu Messire Hugues de SAUNHAC, chevalier du Bourg à Rodez, à Guillaume CALEINH, lequel déclare avoir été remboursé de 75 l. rhodanois prix de ladite vente par seigneur Guillaume de SAUNHAC. Témoins : Guillaume de SAUNHAC, Raymond de SAUNHAC. (Original parchemin Bernard BOSC, notaire, scellé du scel du Comte de Rodez) |
Page 12 |
Témoin d'une donation avec Déodat IMBERT de Najac (Cart. de Loc-Dieu, f° 92) |
Page 12 |
Archidiacre |
Page 15 |
Raymond, Pierre-Raimond, Hugues de SAUNHAC, frères, Pétronille et Saurimonde, leurs soeurs, donnent la Calsade à l'Abbaye Bonnecombe en présence de Raymond de CALMONT et d'Hugues de la CAZE. Le Comte de Rodez, Guillaume, se porta garant pour les dits Saunhac (Cart. de Bonnecombe, vol. II, p.755, n° 24 de l'Inventaire). |
sa soeur (autre donatrice) |
sa soeur (autre donatrice) |
son frère (autre donateur) |
son frère (autre donateur) |
Page 15 |
Donation par Hugues de SAUNHAC, époux d'Hugue de la BARRIÈRE de la moitié de la vigne Bonafossenca dont l'autre moitié avait été donnée à ladite Abbaye par Pierre-Raymond de SAUNHAC frère dudit Hugues (Cart. de Bonnecombe, 2, 96 citÀ
3 CONC ) par Barrau, t. II, p. 256, en note). |
Page 15 |
Témoin de l'hommage rendu à Simon de MONTFORT par le Comte de Rodez (Bosc, Mém., t. II, p. 92). |
Page 17 |
Chevalier du Bourg de Rodez |
M. de Barrau ne commençant la filiation qu'à Hugues II, il faut prendre garde que cet Hugues qui est pour M. de Barrau Hugues I est en fait Hugues II. Source : "SAUNHAC 1070-1926 - Vicomte de BONALD - Toulouse - 1926", page 15 |
Le mercredi avant la Nativité de la Très Sainte-Vierge, en 1277, Hugues, Brenguier et Pierre-Raymond de SAUNHAC, Damoiseaux, fils et héritiers de feu "Monseigneur Hugues de SAUNHAC" chevalier du Bourg à Rodez, faisant tant pour eux que pour Pétronille leur soeur, femme de Guillaume GUITARD, chevalier, font vente à Guillaume CALCINH senior du Bourg de Rodez de la moitié du Mas de Drulhe en la paroisse d'Ampiac dont l'autre moitié appartient à Guillaume de SAUNHAC damoiseau, leur "consanguin", plus la quatrième partie du Mas de Font Pouirit, plus un septier de seigle dû chaque année par Hugues de VEZINS pour certains jardins sis à Castan, enfin tous les droits qu'ils peuvent avoir dans le susdit village etdans toute la paroisse d'Ampiac, excepté ce qui pourrait leur advenir de la succession de l'épouse d'Hugues de VEZINS leur "consanguine". Cédant audit CALCINH toute la seigneurie, juridiction, droit de sang, hommages, quarts, quints, cens, etc, audit village... Confrontant le Mas de Drulhe avec le chemin de Moyrazès avec terres d'Hugues d'ARPAJON, avec la terre d'Hugues de VEZINS et de sa femme, avec la terre de Bonnecombe, avec chemin allant au moulin d'Ayssens. Intervenant audit acte Pierre-Guillaume GUITARD et Pétronille, sa femme qui approuvent et ratifient. (Original parchemin Bernard BOSC, notaire, scellé du scel du Comte de Rodez). (Année 1277, septembre). Deuxième acte du Jeudi après Saint Marc, 1278. Retrait fait par le Comte de Rodez, Henri, des biens vendus par Hugues, Brenguier et Pierre-Raymond, frères, fils et héritiers de feu Messire Hugues de SAUNHAC, Chevalier du Bourg à Rodez, À 2 CONC Guillaume CALCINH, lequel déclare avoir été remboursé de 75 l. rhodanois prix de ladite vente par seigneur Guillaume de SAUNHAC. |
Non mariée Source : "SAUNHAC 1070-1926 - Vicomte de BONALD - Toulouse - 1926", page 24 |
Les époux sont cousins |
Blason de SAUNHAC (armorial des familles d'Auvergne par Tardieu) : d'or, au lion de sable, armé, lampassé et couronné de gueules, accompagné de 12 carreaux de gueules. Famille de SAUNHAC (armorial Quercynois) : Élection de Cahors, barons de Belcastel, le Foussat, Verdun, Castelmary... : d'azur, au lion d'or, armé, lampassé et couronné de gueules. Alias : à l'orle de sable de 12 carreaux de mesme. Aliaspour la branche de SAULNHAC de REILHAC : coupé : au 1, d'or au lion de gueules, au 2 de gueules, au lion contourné d'argent. Famille de SAUNHAC BELCASTEL : coupé d'or, et de gueules, à 2 lion de l'un en l'autre, celui de la pointe contourné et d'argent. Alias : d'azur, au lion d'or, accompagné de 8 besants du mesme posés en orle. Ou encore : d'or, au lion couronné de sable, entouré de 12 carreaux de gueules, posés en orle (source : armorial de Raoul de Waren). Source : Jean-Michel GIL |
Dans ce testament, il institue Marie dâ Il donne et lègue Talespues à sa fille Marie de SAUNHAC. Testament disponible aux AD 12. Source : http://mapage.noos.fr/bertrand.auschitzky/AppendicesGisclard/LesSaunhac.htm |
Partagé en 1468 avec les MORLHON, et conserve la seigneurie de Verdun. Source : Jean-Michel GIL Photographie du château de Saunhac (Belcastel) : http://geneweb.inria.fr/roglo?lang=fr;i=901530 On ne dispose pas de son dernier testa ment. Source : http://mapage.noos.fr/bertrand.auschitzky/AppendicesGisclard/LesSaunhac.htm |
BIOGRAPHIE: Seigneur de La Poujade Source : GIL Jean-Michel MARIAGE: Marié vers 1550 avec Claude de ROSSIGNOL (Demoiselle héritière de Boussac), fille de Jean de ROSSIGNOL (Seigneur de Boussac, décédé avant 1571) et de Isabelle de TREMOUILLES Source : GIL Jean-Michel |
Marié avec Catherine de REILHAC Source : Jean-Louis HAAS - http://fr.groups.yahoo.com/group/genealogie-aveyron/message/61516 |
Il est présent lors de l'établissement du contrat de mariage de Jean de SAUNHAC de Colombiès avec Jeanne de BELCASTEL. Il y est qualifié à deux reprises de frères du futur époux et de Pons de SAUNHAC Talespues. Il est dit seigneur, baron de Belcastel, Verdun, Ampiac, etc. Source : http://mapage.noos.fr/bertrand.auschitzky/AppendicesGisclard/LesSaunhac.htm |
Documents généalogiques sur des familles du Rouergue - Vicomte de BONALD |
Héritier de son père et issu du troisième lit. Source : http://mapage.noos.fr/bertrand.auschitzky/AppendicesGisclard/LesSaunhac.htm |
Source : http://mapage.noos.fr/bertrand.auschitzky/AppendicesGisclard/LesSaunhac.htm |
Documents généalogiques sur des familles du Rouergue - Vicomte de BONALD |
Ces pages ont été fabriquées avec le logiciel Oxy-Gen version 1.38j, le 03/01/2015. Vous pouvez le télécharger sur ce site.